Publié le 18/09/2009 Dans PlayStation 3
Retour au front.
Lancé en 1992, Wolfenstein 3D est le jeu qui a initié un genre, celui du jeu de tir à la première personne, plus communément connu sous le terme FPS. Ce nouveau volet sobrement intitulé Wolfenstein se veut moins révolutionnaire que son ainé, mais propose une narration efficace et un rythme de jeu assez soutenu. On y incarne toujours B.J. Blazkowicz, un agent d'élite de l'OSA, le bureau des actions secrètes. Lors d'une mission sur un bâtiment de guerre nazi, B.J tombe sur une mystérieuse amulette qu'il décide de ramener à ses supérieurs. Après analyse, les scientifiques découvrent qu'elle est composé de cristaux venant d'Isenstadt. Dans cette ville allemande, le Général Zetta est aux commandes d'une division SS paranormale cherchant à exploiter une obscure source d'énergie, le Soleil Noir, un minerai tellement puissant qu'il pourrait changer le cours de la guerre. Mais pour cela, les nazis doivent pénétrer dans le Veil, une dimension parallèle, qui semble laisser des traces à quiconque s'y rend. Grâce à son amulette, B.J entend enrayer la menace nazi, quitte à employer des procédés peu orthodoxes ...
Sur le plan technique, Wolfenstein est un titre qui s'en sort plutôt bien. Le graphisme est plutôt coloré (à défaut d'être toujours très détaillé), les pouvoirs paranormaux sont prétexte à de jolis effets de lumière, et la localisation des dégâts se veut très précise. La jouabilité se montre facile d'accès, et reprend un concept proche des précédentes productions id Software (Doom III, Quake 4). Il faudra environ une dizaine d'heures pour terminer le mode solo, ce qui se révèle dans la moyenne actuelle. On appréciera particulièrement le fait que la progression ne soit pas linéaire, ce qui change des niveaux en couloir de certains jeux vidéo. En revanche, le mode multijoueur se montre décevant, les cartes étant petites et l'ambiance manquant cruellement d'intérêt. Quoiqu'il en soit, le titre effectue un retour aux sources agréable et réjouira les fans du genre grâce à son gameplay nerveux.
VERDICT
Wolfenstein n'a pas perdu de son peps d'antan dans ce titre de facture assez classique au final, mais plutôt sympathique en solo. En multijoueurs en revanche, on passera outre.
Lancé en 1992, Wolfenstein 3D est le jeu qui a initié un genre, celui du jeu de tir à la première personne, plus communément connu sous le terme FPS. Ce nouveau volet sobrement intitulé Wolfenstein se veut moins révolutionnaire que son ainé, mais propose une narration efficace et un rythme de jeu assez soutenu. On y incarne toujours B.J. Blazkowicz, un agent d'élite de l'OSA, le bureau des actions secrètes. Lors d'une mission sur un bâtiment de guerre nazi, B.J tombe sur une mystérieuse amulette qu'il décide de ramener à ses supérieurs. Après analyse, les scientifiques découvrent qu'elle est composé de cristaux venant d'Isenstadt. Dans cette ville allemande, le Général Zetta est aux commandes d'une division SS paranormale cherchant à exploiter une obscure source d'énergie, le Soleil Noir, un minerai tellement puissant qu'il pourrait changer le cours de la guerre. Mais pour cela, les nazis doivent pénétrer dans le Veil, une dimension parallèle, qui semble laisser des traces à quiconque s'y rend. Grâce à son amulette, B.J entend enrayer la menace nazi, quitte à employer des procédés peu orthodoxes ...
Sur le plan technique, Wolfenstein est un titre qui s'en sort plutôt bien. Le graphisme est plutôt coloré (à défaut d'être toujours très détaillé), les pouvoirs paranormaux sont prétexte à de jolis effets de lumière, et la localisation des dégâts se veut très précise. La jouabilité se montre facile d'accès, et reprend un concept proche des précédentes productions id Software (Doom III, Quake 4). Il faudra environ une dizaine d'heures pour terminer le mode solo, ce qui se révèle dans la moyenne actuelle. On appréciera particulièrement le fait que la progression ne soit pas linéaire, ce qui change des niveaux en couloir de certains jeux vidéo. En revanche, le mode multijoueur se montre décevant, les cartes étant petites et l'ambiance manquant cruellement d'intérêt. Quoiqu'il en soit, le titre effectue un retour aux sources agréable et réjouira les fans du genre grâce à son gameplay nerveux.
VERDICT
Wolfenstein n'a pas perdu de son peps d'antan dans ce titre de facture assez classique au final, mais plutôt sympathique en solo. En multijoueurs en revanche, on passera outre.