Bluesky , le réseau social qui se présente comme une alternative à X (anciennement Twitter), est enfin accessible à tous. L'entreprise a en effet précisé dans une note : "Au cours de la dernière année, nous avons utilisé des codes d'invitation pour nous aider à gérer la croissance tout en développant des fonctionnalités telles que des outils de modération, des flux personnalisés et bien plus encore. Nous sommes désormais prêts à autoriser l'accès à tous." La principale caractéristique de ce nouveau réseau social est qu'il s'agit d'une plateforme décentralisée , c'est-à-dire que le protocole sur lequel il repose peut être partagé avec d'autres plateformes. En ce sens, cependant, au moins jusqu’à présent, il n’existe toujours pas de réseaux sociaux utilisant le même protocole que Bluesky. Quoi qu'il en soit, le lancement pour tous est désormais prêt, avec une version préliminaire prête à faire ses débuts.
La société a ensuite souligné que "dans les semaines à venir, nous lancerons des services d'étiquetage qui permettront aux utilisateurs d'empiler plus d'options en plus de leurs préférences de modération existantes. Cela permettra à d'autres organisations et personnes de gérer leurs propres services de modération qui peuvent prendre en compte des connaissances spécifiques à l’industrie ou des normes culturelles spécifiques, entre autres préférences. En particulier, un cas d’utilisation potentiel de l’étiquetage est la vérification des faits. Par exemple, une organisation de surveillance pourra gérer un service d’étiquetage et marquer les publications comme « partiellement fausses », « trompeuses » ou autres catégories.
La société a ensuite souligné que "dans les semaines à venir, nous lancerons des services d'étiquetage qui permettront aux utilisateurs d'empiler plus d'options en plus de leurs préférences de modération existantes. Cela permettra à d'autres organisations et personnes de gérer leurs propres services de modération qui peuvent prendre en compte des connaissances spécifiques à l’industrie ou des normes culturelles spécifiques, entre autres préférences. En particulier, un cas d’utilisation potentiel de l’étiquetage est la vérification des faits. Par exemple, une organisation de surveillance pourra gérer un service d’étiquetage et marquer les publications comme « partiellement fausses », « trompeuses » ou autres catégories.
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