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Pour cette grande enquête, la plateforme a travaillé avec des « centaines de personnes : avocats, enquêteurs externes, analystes de données, ingénieurs […] », afin de « mieux comprendre les mécanismes abusifs » et de pouvoir, in fine, « déloger les acteurs néfastes parmi les développeurs ». Les suspensions concernent 400 développeurs, mais « ne signifient pas nécessairement que ces applis représentent une menace pour les gens ». Certaines applications « n’ont pas répondu à nos requêtes pour avoir plus d’informations, donc nous les avons suspendues, conformément à nos engagements d’agir », précise le communiqué.
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