La France veut développer dans les trois prochaines années le recours au cloud pour son informatique, avec différents systèmes adaptés à la sensibilité des données concernées. Pour les données les plus sensibles des administrations, le gouvernement a fait le choix d'un "cloud d'Etat", qui sera géré par l'Etat lui-même, sur des serveurs lui appartenant. Ce système accessible à tous les ministères devrait être opérationnel "à l'horizon de juillet 2019", selon l'entourage du secrétaire d'Etat au numérique, Mounir Mahjoubi.
Il s'appuiera sur la convergence de trois systèmes de cloud actuellement en cours de constitution dans les ministères de l'Intérieur, de l'Economie et des finances et du ministère de l'Ecologie, a-t-on précisé. Pour des données et applications moins sensibles, l'Etat aura recours à un "cloud dédié", géré par un prestataire extérieur, mais sur des machines exclusivement dédiées à cet usage.
Il s'appuiera sur la convergence de trois systèmes de cloud actuellement en cours de constitution dans les ministères de l'Intérieur, de l'Economie et des finances et du ministère de l'Ecologie, a-t-on précisé. Pour des données et applications moins sensibles, l'Etat aura recours à un "cloud dédié", géré par un prestataire extérieur, mais sur des machines exclusivement dédiées à cet usage.
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