Une nouvelle monnaie virtuelle a été lancée mardi à Genève, avec pour ambition de concurrencer le bitcoin en adossant sa valeur sur les cours du pétrole, une première dans le secteur en développement des cryptomonnaies. La devise, baptisée "bilur" et créée par la société londonienne R FinTech, vise à offrir une option alternative aux utilisateurs hésitants devant les fluctuations sauvages des monnaies numériques.
Bilur vise à séduire une clientèle attirée par une monnaie virtuelle, mais qui se sentirait plus rassurée si elle était garantie par des biens tangibles. La société se rétribuera en prélevant 0,01% par jour sur le montant détenu par l'investisseur, ce qui correspond à un peu plus de 3% par an. A noter que Bilur signifie "chaîne" en basque, une allusion à la technologie Blockchain (chaîne de blocs) utilisée dans les cryptomonnaies.
Bilur vise à séduire une clientèle attirée par une monnaie virtuelle, mais qui se sentirait plus rassurée si elle était garantie par des biens tangibles. La société se rétribuera en prélevant 0,01% par jour sur le montant détenu par l'investisseur, ce qui correspond à un peu plus de 3% par an. A noter que Bilur signifie "chaîne" en basque, une allusion à la technologie Blockchain (chaîne de blocs) utilisée dans les cryptomonnaies.
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