Google s'est résolu à payer une amende de plus de sept millions d'euros et à ouvrir davantage à ses concurrents son système Android pour smartphones pour mettre fin à des poursuites des autorités russes, en vertu d'un accord annoncé aujourd'hui.
Si la somme à payer reste relativement symbolique au vu du poids financier du géant américain, l'accord à l'amiable rendu public comprend des concessions majeures au profit de ses concurrents, alors que des procédures similaires sont en cours dans des juridictions dont l'Union européenne.
Selon l'accord, Google accepte non seulement de payer l'amende requise mais renonce à toute exclusivité de ses services sur les appareils fonctionnant sous Android. Les fabricants de ces smartphones pourront désormais pré-installer des applications concurrentes, notamment sur l'écran d'accueil. Et les utilisateurs pourront choisir leur moteur de recherche par défaut, qui ne sera plus préréglé sur celui de Google.
Si la somme à payer reste relativement symbolique au vu du poids financier du géant américain, l'accord à l'amiable rendu public comprend des concessions majeures au profit de ses concurrents, alors que des procédures similaires sont en cours dans des juridictions dont l'Union européenne.
Selon l'accord, Google accepte non seulement de payer l'amende requise mais renonce à toute exclusivité de ses services sur les appareils fonctionnant sous Android. Les fabricants de ces smartphones pourront désormais pré-installer des applications concurrentes, notamment sur l'écran d'accueil. Et les utilisateurs pourront choisir leur moteur de recherche par défaut, qui ne sera plus préréglé sur celui de Google.
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