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C'est sur base d'une base de donnée de noms et adresses appelée Crimint que notre jeune policier de 29 ans Singh Johal qu'il trouvait ses futures victimes pour un chantage peu commode.Le policier contactait les coupables de crimes sexuels les menaçant de raconter leurs exploits à leur famille ou à leurs collègues si ils ne s'acquittaient pas d'une petite rançon. Il a contacté ainsi pas moins de 11 criminels qui ont accepté de payer chacun entre 29 et 31.000£, l'un en particulier a accepté d'aller jusqu'à 89.000£, une belle somme.
Le policier a été rattrapé par Scotland Yard et condamné à 6 ans de prison, mais cela relance la polémique sur l'accès et la création de telles bases de données.
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Commentaires
users_user-179.html:
Un policier britannique corrompu détourne une base de donnée
On se dit souvent qu'une liste des criminels sexuels est une bonne chose pour "protéger nos enfants de ces crapules". Et puis, on apprend que les gens qui font le "halloween naked pumpkin run" (courir un peu à poil avec une citrouille sur la tête) sont eux aussi des "sex offenders". Puis on apprend que faire pipi dans la nature, même bien caché, en Belgique, c'est un délit d'exhibitionnisme et on se dit que finalement, les gens sur ces listes ne sont pas nécessairement de dangereux prédateurs sexuels...
zion:
Un policier britannique corrompu détourne une base de donnée
Et que la liste n'est pas toujours utilisée qu'à de bonnes fins, et puis on se dira que nous on a rien à cacher qu'on peut tout accepter, et le jour où on se réveillera on aura plus aucune liberté individuelle...
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