Facebook a annoncé vendredi avoir suspendu des dizaines de milliers d’applications, qui posent potentiellement un risque en termes de respect de la vie privée de ses utilisateurs, d’après une enquête interne menée sur des millions d’applications. Le réseau social a lancé cette enquête notamment en réponse au scandale de Cambridge Analytica : en 2018, un lanceur d’alerte avait révélé que cette entreprise britannique avait mené des campagnes de manipulation massives pour influencer les électeurs américains et britanniques en passant par des applications sur Facebook.
Pour cette grande enquête, la plateforme a travaillé avec des « centaines de personnes : avocats, enquêteurs externes, analystes de données, ingénieurs […] », afin de « mieux comprendre les mécanismes abusifs » et de pouvoir, in fine, « déloger les acteurs néfastes parmi les développeurs ». Les suspensions concernent 400 développeurs, mais « ne signifient pas nécessairement que ces applis représentent une menace pour les gens ». Certaines applications « n’ont pas répondu à nos requêtes pour avoir plus d’informations, donc nous les avons suspendues, conformément à nos engagements d’agir », précise le communiqué.
Pour cette grande enquête, la plateforme a travaillé avec des « centaines de personnes : avocats, enquêteurs externes, analystes de données, ingénieurs […] », afin de « mieux comprendre les mécanismes abusifs » et de pouvoir, in fine, « déloger les acteurs néfastes parmi les développeurs ». Les suspensions concernent 400 développeurs, mais « ne signifient pas nécessairement que ces applis représentent une menace pour les gens ». Certaines applications « n’ont pas répondu à nos requêtes pour avoir plus d’informations, donc nous les avons suspendues, conformément à nos engagements d’agir », précise le communiqué.
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