Visé par une enquête de la Commission européenne sur les livres numériques, Amazon a proposé de renoncer à certaines clauses de ses accords avec les éditeurs, afin d'éviter une possible amende. Concrètement, Amazon offre entre autres de ne plus obliger les éditeurs à lui offrir des conditions commerciales au moins aussi favorables que celles proposées à ses concurrents.
La Commission craint que ces clauses, parfois appelées clauses de la "nation la plus favorisée" (NPF) ne nuisent à la concurrence en freinant le développement de produits et services concurrents de ceux d'Amazon. Les rivaux et les clients du groupe américain ont désormais un mois pour faire part de leurs observations à Bruxelles, qui décidera ensuite d'accepter ou non les propositions.
La Commission craint que ces clauses, parfois appelées clauses de la "nation la plus favorisée" (NPF) ne nuisent à la concurrence en freinant le développement de produits et services concurrents de ceux d'Amazon. Les rivaux et les clients du groupe américain ont désormais un mois pour faire part de leurs observations à Bruxelles, qui décidera ensuite d'accepter ou non les propositions.
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