Publié le 02/12/2009 Dans PlayStation 3
Une adaptation fidèle ?
A la base, Bakugan Battle Brawlers était une série d'animé japonaise, qui fut diffusé entre 2007 et 2008. Comme à l'accoutumée, ce genre de production arrive des mois après en Occident, et si le programme demeure peu connu en Europe, il connaît un certain succès Outre-Atlantique. Sur le papier, on pourrait quelque peu rapprocher Bakugan de Yu-Gi-Oh!, puisqu'il est question de combats à base de cartes : Un jour, des cartes ont commencé à tomber du ciel, et les enfants du monde entier les ont ramassées. Ces cartes présentent différents personnages, différents environnements et différents pouvoirs. Les enfants ont alors inventé un jeu de bataille populaire, mais ils ne savaient pas que ces cartes correspondaient en réalité à un monde alternatif appelé Vestroia.
Même si on retrouve des figures du programme (Dan, Runo, Julie, Alice, Marucho ou encore Jun), Bakugan Battle Brawlers se base sur un scénario totalement inédit, mettant en scène un débutant des combats de Bakugan. Cela tombe bien, nous aussi. Ce qu'il faut savoir, c'est que l'environnement de Vestroia comprend six attributs différents, le Feu, la Terre, la Lumière, l'Obscurité, l'Eau et le Vent. Deux énergies y coexistent, le noyau de l'infini (l'énergie positive), et le noyau du silence (l'énergie négative); l'équivalent du yin et du yang en somme. Après un rapide tutoriel, la partie peut débuter, avec l'aide de Dan, le chef des Combattants Bakugan. L'objectif sera donc de combattre l'ennemi, en résolvant la succession de défis parfois opportunistes, qui se présentent sur votre route.
Une réalisation colorée.
Sur le plan technique, Bakugan Battle Brawlers utilise la technique du cel shading, un rendu graphique très proche du dessin animé. Le jeu se montre donc plutôt réussi de ce point de vue, et la mise en scène ne manque pas de dynamisme. La jouabilité est d'une grande simplicité, peut être trop puisque tous les affrontements finissent par se ressembler. On aurait aimé souhaiter des fonctions annexes et un nombre de Bakugan plus important (seulement une quarantaine). Quant à la musique, elle s'avère insipide au possible.
Le système de combat n'évolue pas d'un iota au gré de la partie, et il faudra toujours bouger dans tous les sens, tirer sur les symboles de votre compétence apparaissant à l'écran, ou bien résoudre un petit jeu de rythme basique. Trois cartes portails permettent de remporter la partie, mais plus vous avancerez dans la partie, plus les matchs seront longs. Pas forcément plus difficile non, mais les ennemis offriront plus de résistances. Naturellement, vous pourrez également acquérir des Bakugan plus performants, mais nous sommes loin de la richesse de jeu d'un Yu-Gi-Oh! ou même de Pokémon. En multijoueur, les combats sont assez énergiques, à défaut d'apporter une grande variété des situations.
VERDICT
Bakugan Battle Brawlers est une conversion assez correcte du programme animé. Néanmoins, le titre demeure très facile (trop ?) et manque quelque peu de contenu par rapport à ses concurrents. En conclusion, seuls les plus jeunes y trouveront leur bonheur.
A la base, Bakugan Battle Brawlers était une série d'animé japonaise, qui fut diffusé entre 2007 et 2008. Comme à l'accoutumée, ce genre de production arrive des mois après en Occident, et si le programme demeure peu connu en Europe, il connaît un certain succès Outre-Atlantique. Sur le papier, on pourrait quelque peu rapprocher Bakugan de Yu-Gi-Oh!, puisqu'il est question de combats à base de cartes : Un jour, des cartes ont commencé à tomber du ciel, et les enfants du monde entier les ont ramassées. Ces cartes présentent différents personnages, différents environnements et différents pouvoirs. Les enfants ont alors inventé un jeu de bataille populaire, mais ils ne savaient pas que ces cartes correspondaient en réalité à un monde alternatif appelé Vestroia.
Même si on retrouve des figures du programme (Dan, Runo, Julie, Alice, Marucho ou encore Jun), Bakugan Battle Brawlers se base sur un scénario totalement inédit, mettant en scène un débutant des combats de Bakugan. Cela tombe bien, nous aussi. Ce qu'il faut savoir, c'est que l'environnement de Vestroia comprend six attributs différents, le Feu, la Terre, la Lumière, l'Obscurité, l'Eau et le Vent. Deux énergies y coexistent, le noyau de l'infini (l'énergie positive), et le noyau du silence (l'énergie négative); l'équivalent du yin et du yang en somme. Après un rapide tutoriel, la partie peut débuter, avec l'aide de Dan, le chef des Combattants Bakugan. L'objectif sera donc de combattre l'ennemi, en résolvant la succession de défis parfois opportunistes, qui se présentent sur votre route.
Une réalisation colorée.
Sur le plan technique, Bakugan Battle Brawlers utilise la technique du cel shading, un rendu graphique très proche du dessin animé. Le jeu se montre donc plutôt réussi de ce point de vue, et la mise en scène ne manque pas de dynamisme. La jouabilité est d'une grande simplicité, peut être trop puisque tous les affrontements finissent par se ressembler. On aurait aimé souhaiter des fonctions annexes et un nombre de Bakugan plus important (seulement une quarantaine). Quant à la musique, elle s'avère insipide au possible.
Le système de combat n'évolue pas d'un iota au gré de la partie, et il faudra toujours bouger dans tous les sens, tirer sur les symboles de votre compétence apparaissant à l'écran, ou bien résoudre un petit jeu de rythme basique. Trois cartes portails permettent de remporter la partie, mais plus vous avancerez dans la partie, plus les matchs seront longs. Pas forcément plus difficile non, mais les ennemis offriront plus de résistances. Naturellement, vous pourrez également acquérir des Bakugan plus performants, mais nous sommes loin de la richesse de jeu d'un Yu-Gi-Oh! ou même de Pokémon. En multijoueur, les combats sont assez énergiques, à défaut d'apporter une grande variété des situations.
VERDICT
Bakugan Battle Brawlers est une conversion assez correcte du programme animé. Néanmoins, le titre demeure très facile (trop ?) et manque quelque peu de contenu par rapport à ses concurrents. En conclusion, seuls les plus jeunes y trouveront leur bonheur.