Washington a demandé au site de socialisation Twitter de reporter une opération de maintenance entraînant une interruption de ses services pour permettre aux opposants iraniens de continuer à l'utiliser, a révélé mardi un responsable du département d'Etat. Le ministère américain des Affaires étrangères est entré en contact "au cours du week-end" avec les responsables du site de micro-blogs pour "leur faire remarquer qu'il s'agissait d'un important moyen de communication, pas pour nous, mais en Iran même", a déclaré ce responsable ayant requis l'anonymat.
Il a souligné que Twitter, qui permet de communiquer de courts messages par internet, était l'un des derniers à fonctionner après que le gouvernement iranien a fermé de nombreux sites internet et journaux et limité ou suspendu l'usage des textos par téléphone portable. De fait, le site de socialisation a effectué mardi une intervention initialement prévue lundi, et qui a entraîné une courte interruption de ses services vers 21H00.
Des messages venus d'Iran ont afflué lundi sur la plate-forme de micro-blogs en dépit des efforts des autorités sur place pour limiter les informations liées aux manifestations. Des liens vers des photos présentées comme étant celles de manifestants blessés ou tués circulaient également sur le site de socialisation, alors que la mort d'un manifestant et plusieurs blessés par balles lors d'un rassemblement à Téhéran de partisans du candidat malheureux à la présidentielle Mir Hossein Moussavi étaient rapportés.
Il a souligné que Twitter, qui permet de communiquer de courts messages par internet, était l'un des derniers à fonctionner après que le gouvernement iranien a fermé de nombreux sites internet et journaux et limité ou suspendu l'usage des textos par téléphone portable. De fait, le site de socialisation a effectué mardi une intervention initialement prévue lundi, et qui a entraîné une courte interruption de ses services vers 21H00.
Des messages venus d'Iran ont afflué lundi sur la plate-forme de micro-blogs en dépit des efforts des autorités sur place pour limiter les informations liées aux manifestations. Des liens vers des photos présentées comme étant celles de manifestants blessés ou tués circulaient également sur le site de socialisation, alors que la mort d'un manifestant et plusieurs blessés par balles lors d'un rassemblement à Téhéran de partisans du candidat malheureux à la présidentielle Mir Hossein Moussavi étaient rapportés.
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