
Il s'agit des premières conséquences concrètes de l'entrée en vigueur le 25 mai 2018 du "Règlement général sur la protection des données" (RGPD), dans un contexte de scandale planétaire provoqué par les négligences de Facebook. En cas de non-respect des règles, les entreprises s'exposent à des sanctions pouvant atteindre jusqu'à 4% de leur chiffre d'affaires annuel mondial. Les commissaires européens appellent toutefois que " les cinq États membres qui ne l'ont pas encore fait adaptent leur cadre juridique aux nouvelles règles établies à l'échelle de l'UE dans les meilleurs délais". Il s'agirait de la Bulgarie, de la République tchèque, du Portugal, de la Slovénie et de la Grèce.
