
De sources proches du dossier, le quotidien précise que l’enquête concerne notamment la technologie d’un équipement de T-Mobile utilisé pour tester les smartphones. Huawei a déclaré dans un communiqué avoir conclu un accord à l’amiable avec T-Mobile en 2017 suite à une décision de la justice américaine n’ayant établi “aucun dommage ni activité malicieuse” de la part de Huawei dans cette affaire. Une inculpation pourrait être bientôt prononcée contre Huawei, le premier fabricant mondial d’équipements de télécommunications, ajoute le Wall Street Journal.
