Le président américain Donald Trump et le patron de Facebook Mark Zuckerberg se sont livrés mercredi à un échange via les réseaux sociaux, le premier reprochant au réseau social d'être «contre lui», une accusation balayée par Facebook. Cet échange intervient alors que Mark Zuckerberg a dû se résoudre la semaine dernière à collaborer pleinement avec le Congrès, qui enquête sur une possible influence russe dans l'élection présidentielle remportée l'an dernier par Donald Trump.
Selon la presse, ces messages cherchaient à créer des tensions politiques sur divers sujets chez les Américains, dans le but, in fine, de nuire à la démocrate Hillary Clinton, alors en tête des intentions de vote. Le Kremlin nie toute implication dans l'élection. «Facebook a toujours été anti-Trump», a tweeté le président mercredi, suggérant une «collusion» avec le New York Times et le Washington Post, eux aussi «anti-Trump» selon lui. «Trump dit que Facebook est contre lui. La gauche affirme que nous avons aidé Trump. Les deux camps sont mécontents des idées et des contenus qu'ils n'aiment pas», a répondu Mark Zuckerberg sur Facebook, qu'il présente comme une «plateforme pour toutes les idées».
Selon la presse, ces messages cherchaient à créer des tensions politiques sur divers sujets chez les Américains, dans le but, in fine, de nuire à la démocrate Hillary Clinton, alors en tête des intentions de vote. Le Kremlin nie toute implication dans l'élection. «Facebook a toujours été anti-Trump», a tweeté le président mercredi, suggérant une «collusion» avec le New York Times et le Washington Post, eux aussi «anti-Trump» selon lui. «Trump dit que Facebook est contre lui. La gauche affirme que nous avons aidé Trump. Les deux camps sont mécontents des idées et des contenus qu'ils n'aiment pas», a répondu Mark Zuckerberg sur Facebook, qu'il présente comme une «plateforme pour toutes les idées».
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