Publié le 21/08/2007 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Diegem, le 20 août 2007 - Cet été, les virus « fêtent » leur 25ème anniversaire. En 1982, le virus ELK CLONER fut lâché sur les utilisateurs d'ordinateurs, qui étaient totalement insouciants à l'époque. Le virus développé par Rich Skrenta, un adolescent américain, pour faire une blague aux possesseurs d'un ordinateur Apple, était plutôt bien intentionné. ELK CLONER infectait le système d'exploitation via une disquette et contaminait ensuite toutes les disquettes introduites dans le lecteur, mais il se limitait à afficher deux strophes de poésie à l'écran tous les 50 démarrages. Toutefois, peu de gens ont alors réalisé qu'ELK CLONER marquait en fait la naissance de toute une génération de cyber-criminels et d'une industrie de plusieurs milliards qui combattrait les menaces virales.
C'est en 1986 que les PC d'IBM ont été confrontés pour la première fois à des virus. Jusqu'à la fin des années 80, les virus avaient tous les mêmes caractéristiques : ils ne causaient aucun dommage ou très peu, et ne se propageaient pas à grande échelle. Tout a changé en 1988. L'Internet était devenu un nouveau champ de bataille pour les hackers cherchant à se faire un nom. Morris Worm (1988) fut le premier virus à se propager dans le monde entier. Son successeur, le virus Michelangelo (1992) fut le premier à recevoir une forte attention des médias. Chaque 6 mars, le jour de la naissance de Michel-Ange, le virus effaçait des informations contenues sur les disques durs. Les médias dirent qu'il pourrait infecter des milliers, voire des millions de PC. A posteriori, ces estimations étaient trop élevées, mais le ton était donné.
Depuis la fin des années 80, les virus en ligne ont connu une série de modifications. Les hackers stockaient à l'époque les virus dans des fichiers exécutables ou des fichiers macros de Microsoft Word. Fin des années 90, les virus se propageaient plutôt grâce aux e-mails. Les virus extrêmement nuisibles que furent Melissa et ILoveYou, qui se sont propagés à grande échelle via e-mail, combinaient les caractéristiques des vers et des virus : ils circulaient et infectaient. Pour ce faire, ils envoyaient un e-mail contenant un virus en annexe à toutes les adresses reprises dans le carnet d'adresses de Microsoft Outlook. Lorsque le destinataire ouvrait la pièce jointe, son PC était infecté. Code Red a infecté près de 400.000 sites web en 2000, suivi par MyDoom, qui utilisait le programme d'échange Kazaa.
« Ce qui a débuté si modestement est devenu une menace gigantesque pour toute personne utilisant le web, n'importe où dans le monde. Les menaces en ligne sont éphémères. C'est pourquoi Trend Micro les analyse 24h/24 et 7j/7. Ainsi, nous pouvons tenir nos clients au courant des nouvelles menaces et développer des solutions qui neutralisent les logiciels nuisibles », résume David Perry, Global Director of Education de Trend Micro.
Le cyber-crime est entre-temps devenu un secteur très lucratif et les menaces ont pris plusieurs formes : logiciels-espions, phishing, rootkits et réseaux d'ordinateurs zombies. Les conséquences vont du vol d'identité (données personnelles comme les codes PIN, le BSN, la carte de crédit) au vol d'informations professionnelles, en passant par les dommages à la réputation des entreprises et à la confiance des particuliers dans les services en ligne. Les menaces en ligne sont d'ailleurs de plus en plus avancées. Les internautes peuvent être infectés à leur insu par un logiciel nuisible simplement en ouvrant un site web. Ce type de menace en ligne est invisible et donc encore plus dangereuse que les virus traditionnels. Avec sa solution de sécurisation des desktops professionnels, OfficeScan 8.0., et sa solution pour les particuliers, PC-Cillin, Trend Micro protège les utilisateurs de toutes ces menaces. Ces solutions intègrent la nouvelle technologie Web Reputation, qui enregistre le cycle de vie de centaines de millions de domaines Internet et bloque ainsi les attaques basées sur le web avant qu'elles n'atteignent le réseau. Pour de plus amples informations : http://blog.trendmicro.com/
À propos de Trend Micro
Trend Micro est le leader du marché des logiciels et des services antivirus pour réseaux et des logiciels de protection du contenu Internet. Son siège mondial est installé à Tokyo et son siège européen à Marlow, Angleterre. Ses produits sont distribués dans le monde entier par des Value Added Resellers et des prestataires de services. Pour tout complément d'information et pour obtenir des versions d'évaluation, rendez-vous sur : www.trendmicro.be
C'est en 1986 que les PC d'IBM ont été confrontés pour la première fois à des virus. Jusqu'à la fin des années 80, les virus avaient tous les mêmes caractéristiques : ils ne causaient aucun dommage ou très peu, et ne se propageaient pas à grande échelle. Tout a changé en 1988. L'Internet était devenu un nouveau champ de bataille pour les hackers cherchant à se faire un nom. Morris Worm (1988) fut le premier virus à se propager dans le monde entier. Son successeur, le virus Michelangelo (1992) fut le premier à recevoir une forte attention des médias. Chaque 6 mars, le jour de la naissance de Michel-Ange, le virus effaçait des informations contenues sur les disques durs. Les médias dirent qu'il pourrait infecter des milliers, voire des millions de PC. A posteriori, ces estimations étaient trop élevées, mais le ton était donné.
Depuis la fin des années 80, les virus en ligne ont connu une série de modifications. Les hackers stockaient à l'époque les virus dans des fichiers exécutables ou des fichiers macros de Microsoft Word. Fin des années 90, les virus se propageaient plutôt grâce aux e-mails. Les virus extrêmement nuisibles que furent Melissa et ILoveYou, qui se sont propagés à grande échelle via e-mail, combinaient les caractéristiques des vers et des virus : ils circulaient et infectaient. Pour ce faire, ils envoyaient un e-mail contenant un virus en annexe à toutes les adresses reprises dans le carnet d'adresses de Microsoft Outlook. Lorsque le destinataire ouvrait la pièce jointe, son PC était infecté. Code Red a infecté près de 400.000 sites web en 2000, suivi par MyDoom, qui utilisait le programme d'échange Kazaa.
« Ce qui a débuté si modestement est devenu une menace gigantesque pour toute personne utilisant le web, n'importe où dans le monde. Les menaces en ligne sont éphémères. C'est pourquoi Trend Micro les analyse 24h/24 et 7j/7. Ainsi, nous pouvons tenir nos clients au courant des nouvelles menaces et développer des solutions qui neutralisent les logiciels nuisibles », résume David Perry, Global Director of Education de Trend Micro.
Le cyber-crime est entre-temps devenu un secteur très lucratif et les menaces ont pris plusieurs formes : logiciels-espions, phishing, rootkits et réseaux d'ordinateurs zombies. Les conséquences vont du vol d'identité (données personnelles comme les codes PIN, le BSN, la carte de crédit) au vol d'informations professionnelles, en passant par les dommages à la réputation des entreprises et à la confiance des particuliers dans les services en ligne. Les menaces en ligne sont d'ailleurs de plus en plus avancées. Les internautes peuvent être infectés à leur insu par un logiciel nuisible simplement en ouvrant un site web. Ce type de menace en ligne est invisible et donc encore plus dangereuse que les virus traditionnels. Avec sa solution de sécurisation des desktops professionnels, OfficeScan 8.0., et sa solution pour les particuliers, PC-Cillin, Trend Micro protège les utilisateurs de toutes ces menaces. Ces solutions intègrent la nouvelle technologie Web Reputation, qui enregistre le cycle de vie de centaines de millions de domaines Internet et bloque ainsi les attaques basées sur le web avant qu'elles n'atteignent le réseau. Pour de plus amples informations : http://blog.trendmicro.com/
À propos de Trend Micro
Trend Micro est le leader du marché des logiciels et des services antivirus pour réseaux et des logiciels de protection du contenu Internet. Son siège mondial est installé à Tokyo et son siège européen à Marlow, Angleterre. Ses produits sont distribués dans le monde entier par des Value Added Resellers et des prestataires de services. Pour tout complément d'information et pour obtenir des versions d'évaluation, rendez-vous sur : www.trendmicro.be