Publié le 08/01/2007 Dans Proximus
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Belgacom poursuit sa guerre contre les spams et redouble d'efforts pour rester le fournisseur numéro un des services antispam sur le marché belge. L'utilisation abusive de systèmes de messagerie électronique pour envoyer des messages de masse non désirés, communément appelés spam, pose un grave problème aux utilisateurs d'e-mails ainsi qu'aux opérateurs. A la différence des e-mails commerciaux légitimes, le spam est généralement envoyé sans autorisation explicite des destinataires et contient souvent différents mécanismes permettant de contourner les filtres d'e-mail. Parmi les conséquences figurent le désagrément subi, la perte de productivité et la sur-occupation de l'espace de stockage d'e-mails voire, dans certains cas spécifiques, une fraude au détriment des opérateurs, des fournisseurs de services internet (ISP - Internet Service Providers) et des utilisateurs finals.
Récemment, Belgacom a lancé un nouveau service antispam destiné au marché professionnel. Appelé Belgacom Secure Mail, ce nouveau service permet de filtrer les spams et les virus "dans le réseau", d’une manière telle que seuls les e-mails utiles sont transférés vers la ligne internet du client. Non content d'accroître l'efficacité et la qualité des systèmes d'e-mail telles que nos clients les perçoivent, ce nouveau service engendre également un gain significatif en termes de transmission utile des lignes internet des clients. Des mesures récentes montrent en effet que jusqu'à 80 % de tout le trafic d'e-mails sur internet est constitué de spams (source : mesures sur le réseau internet de Belgacom).
Aujourd'hui, plus de 100 grandes sociétés issues de différents secteurs (finance, services, retail et wholesale, industrie et construction, transport, etc.) et comptant entre 50 et 39.000 utilisateurs bénéficient des avantages du service Belgacom Secure Mail. Telindus, la filiale de Belgacom spécialisée en technologies de l’information et de la communication, nous permet de proposer la même technologie de pointe qu'un service spécialisé sur place. Les clients peuvent désormais choisir librement entre une solution antispam basée sur le réseau et une solution basée sur le site, garantissant des résultats extrêmement satisfaisants.
Outre ce nouveau service, Belgacom lance, en collaboration avec ETIS (association mondiale IT de télécommunications) et d'autres grands opérateurs télécoms européens, dont TeliaSonera, KPN et Telenor, un projet pilote destiné à lutter contre les spams. Les opérateurs télécoms développeront, avec l'aide de McAfee, IronPort et TNO, une nouvelle technologie visant à éliminer la majorité des spams au niveau du réseau européen avant même que ces derniers ne parviennent aux serveurs mail. Les résultats de ce projet pilote, qui est aujourd'hui bien avancé, devraient être connus en juin 2007.
Le spam constitue actuellement un problème de grande envergure. Afin d'identifier les solutions possibles, le groupe de travail de sécurité de l'information au sein d'ETIS a établi un "Task Force Anti-SPAM". La vision sous-jacente est la suivante : seule une collaboration internationale entre les fournisseurs de services internet et les opérateurs permettra de résoudre définitivement la problématique internationale des spams. Parmi les travaux entrepris par la Task Force figurait un passage en revue des propositions des fournisseurs visant à fournir une solution technique antispam. De même, la Task Force a été amenée à se pencher sur le projet européen Lobster, qui développe actuellement une infrastructure européenne de surveillance du trafic internet.
La Task Force ne doute pas que l'expertise en matière d'antispam des principaux fournisseurs de solutions de sécurité, comme IronPort et McAfee, combinée aux données émanant des capteurs Lobster, constitueront une opportunité rêvée pour élaborer une solution antispam de niveau opérateur. La réussite du projet dépendra également pour une part essentielle de la coopération et de l'échange d'informations dans ce domaine entre opérateurs et ISP. "Les spammers sont souvent des gens très intelligents. Au fil des années, les fournisseurs de solutions antispam se sont livrés à une course poursuite pour suivre la naissance des nouvelles technologies utilisées dans le monde de la publicité illégale. Diverses technologies naguère très efficaces contre les spams doivent aujourd'hui s'avouer vaincues face à l'apparition des dernières menaces et moyens d'accès des messages spams passant à travers les mailles de leurs filtres. Il n'a pas été simple de trouver la parade au spam d'image et à toutes ses variantes, depuis leur première apparition en 2005. Aujourd'hui que cette forme de spam commence à être bloquée, le plus souvent via le système "IP reputation", il ne faudra pas longtemps, j'en suis certain, pour qu'une nouvelle fraude voie le jour. C'est la raison pour laquelle Belgacom est si désireuse de s'associer à cette initiative d'ETIS, d'être avertie dès le début des nouvelles menaces et de se tenir informée des technologies de pointe et de partager les informations et expériences entre les différents fournisseurs européens de services internet", explique Andy De Petter, représentant de Belgacom au sein de la Task Force antispam d'ETIS.
Récemment, Belgacom a lancé un nouveau service antispam destiné au marché professionnel. Appelé Belgacom Secure Mail, ce nouveau service permet de filtrer les spams et les virus "dans le réseau", d’une manière telle que seuls les e-mails utiles sont transférés vers la ligne internet du client. Non content d'accroître l'efficacité et la qualité des systèmes d'e-mail telles que nos clients les perçoivent, ce nouveau service engendre également un gain significatif en termes de transmission utile des lignes internet des clients. Des mesures récentes montrent en effet que jusqu'à 80 % de tout le trafic d'e-mails sur internet est constitué de spams (source : mesures sur le réseau internet de Belgacom).
Aujourd'hui, plus de 100 grandes sociétés issues de différents secteurs (finance, services, retail et wholesale, industrie et construction, transport, etc.) et comptant entre 50 et 39.000 utilisateurs bénéficient des avantages du service Belgacom Secure Mail. Telindus, la filiale de Belgacom spécialisée en technologies de l’information et de la communication, nous permet de proposer la même technologie de pointe qu'un service spécialisé sur place. Les clients peuvent désormais choisir librement entre une solution antispam basée sur le réseau et une solution basée sur le site, garantissant des résultats extrêmement satisfaisants.
Outre ce nouveau service, Belgacom lance, en collaboration avec ETIS (association mondiale IT de télécommunications) et d'autres grands opérateurs télécoms européens, dont TeliaSonera, KPN et Telenor, un projet pilote destiné à lutter contre les spams. Les opérateurs télécoms développeront, avec l'aide de McAfee, IronPort et TNO, une nouvelle technologie visant à éliminer la majorité des spams au niveau du réseau européen avant même que ces derniers ne parviennent aux serveurs mail. Les résultats de ce projet pilote, qui est aujourd'hui bien avancé, devraient être connus en juin 2007.
Le spam constitue actuellement un problème de grande envergure. Afin d'identifier les solutions possibles, le groupe de travail de sécurité de l'information au sein d'ETIS a établi un "Task Force Anti-SPAM". La vision sous-jacente est la suivante : seule une collaboration internationale entre les fournisseurs de services internet et les opérateurs permettra de résoudre définitivement la problématique internationale des spams. Parmi les travaux entrepris par la Task Force figurait un passage en revue des propositions des fournisseurs visant à fournir une solution technique antispam. De même, la Task Force a été amenée à se pencher sur le projet européen Lobster, qui développe actuellement une infrastructure européenne de surveillance du trafic internet.
La Task Force ne doute pas que l'expertise en matière d'antispam des principaux fournisseurs de solutions de sécurité, comme IronPort et McAfee, combinée aux données émanant des capteurs Lobster, constitueront une opportunité rêvée pour élaborer une solution antispam de niveau opérateur. La réussite du projet dépendra également pour une part essentielle de la coopération et de l'échange d'informations dans ce domaine entre opérateurs et ISP. "Les spammers sont souvent des gens très intelligents. Au fil des années, les fournisseurs de solutions antispam se sont livrés à une course poursuite pour suivre la naissance des nouvelles technologies utilisées dans le monde de la publicité illégale. Diverses technologies naguère très efficaces contre les spams doivent aujourd'hui s'avouer vaincues face à l'apparition des dernières menaces et moyens d'accès des messages spams passant à travers les mailles de leurs filtres. Il n'a pas été simple de trouver la parade au spam d'image et à toutes ses variantes, depuis leur première apparition en 2005. Aujourd'hui que cette forme de spam commence à être bloquée, le plus souvent via le système "IP reputation", il ne faudra pas longtemps, j'en suis certain, pour qu'une nouvelle fraude voie le jour. C'est la raison pour laquelle Belgacom est si désireuse de s'associer à cette initiative d'ETIS, d'être avertie dès le début des nouvelles menaces et de se tenir informée des technologies de pointe et de partager les informations et expériences entre les différents fournisseurs européens de services internet", explique Andy De Petter, représentant de Belgacom au sein de la Task Force antispam d'ETIS.