Publié le 07/02/2012 Dans Microsoft
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
La majorité des dirigeants d’entreprise de quinze pays d’Europe occidentale sont optimistes quant aux avantages du travail flexible, mais doivent encore élaborer une stratégie pour déployer cette flexibilité au sein de leur structure organisationnelle. Bien qu’ils autorisent leurs collaborateurs à faire preuve d’une plus grande flexibilité en matière d’horaires et de lieux de travail, l’accès à la bonne technologie et l’accompagnement par la direction restent encore des pierres d’achoppement déterminantes. Tel est le constat posé par une étude réalisée par Microsoft.
L’enquête auprès de chefs d’entreprise montre que la Belgique, ainsi que le Portugal et l’Italie, sont les pays les moins ouverts au travail flexible. Les travailleurs ont le plus de chance de pouvoir travailler de manière flexible en Allemagne, au Royaume-Uni et en Norvège.
Plus de la moitié des entreprises belges (52%) sont convaincues que le travail flexible est décisif pour attirer et retenir les meilleurs talents en leur sein. Dans notre pays, 67% des chefs d’entreprise croient que le travail flexible augmente la productivité de 39%. Dans ce cadre, la Belgique fait moins bien que le restant de l’Europe, où plus de trois quarts des managers (77%) estiment que la productivité fait un bond de 46%.
En Belgique, près de trois quarts des responsables d’entreprise (72%) déclarent autoriser le travail flexible, contre 82% pour l’ensemble de l’Europe. En Belgique, 58% confient avoir élaboré une politique et des directives en la matière. Ce taux est une fois encore plus élevé pour l’Europe : 63%. La comparaison de ces résultats avec les déclarations des travailleurs se traduit toutefois par un tableau nuancé. En Europe, seuls 64% des travailleurs indiquent qu’ils peuvent adopter un mode de travail flexible. Sur ce point, la Belgique surprend, avec un taux plus élevé de 68%. Moins d’un tiers des travailleurs européens (29%) disposent de lignes directrices régissant cette flexibilité au contraire des travailleurs belges qui ne sont pas plus de 22%.
Et bien que 67% des entreprises et organisations en faveur du travail flexible en Belgique permettent aussi à leur personnel d’utiliser leurs propres appareils à des fins professionnelles, seules 10% d’entre elles offrent la technologie de base pour adopter un style de travail plus flexible comme un ordinateur portable, un smartphone ou une connexion au réseau de l’entreprise à domicile. Une fois de plus, notre pays se classe moins bien que la moyenne européenne.
Dans un climat économique difficile et en l’absence de stratégie technologique et politique autorisant un style de travail flexible, le risque est grand que les chefs d’entreprise manquent leur rendez-vous avec les avantages de la nouvelle manière de travailler. Au nombre de ceux-ci figurent la réduction des charges liées aux bureaux et aux déplacements, l’augmentation de la productivité et la multiplication des chances d’attirer et de retenir les meilleurs collaborateurs.
« Ces cinq dernières années, Microsoft Belgique est chaque fois entrée dans le trio de tête des meilleurs employeurs », indique Philippe Rogge, Directeur général de Microsoft Belgique. « Nous le devons en grande partie au style de travail flexible que nous appliquons déjà depuis bientôt quatre ans. La transition a été facilitée parce que nos disposions de la technologie nécessaire en interne. Cependant, cette approche est de plus en plus liée à la possibilité de choisir des appareils appropriés et exige dès lors une culture d’entreprise qui donne la priorité aux collaborateurs. »
La technologie doit être disponible
Le déploiement à grande échelle de l’informatique mobile, des services dans les nuages et des réseaux sociaux à des fins privées et publiques a favorisé la croissance du travail flexible en Europe. Plus de 67% des entreprises en Belgique qui autorisent le travail flexible, permettent à leurs travailleurs d’utiliser leurs propres appareils au travail. Les chefs d’entreprise sont convaincus que cette nouvelle approche est favorable à l’augmentation de la productivité et qu’elle facilité le travail à domicile.
L’étude montre toutefois l’existence d’une tension entre les réponses des travailleurs, les nouvelles possibilités technologiques et la manière dont les entreprises les utilisent comme atout stratégique afin d’autoriser les nouvelles formes de travail. Seulement 43% des entreprises belges (contre 33% des entreprises européennes) qui permettent le travail flexible offrent une connexion internet afin d’assurer que leurs collaborateurs puissent également travailler en dehors du bureau. Parmi les entreprises autorisant le travail flexible, elles sont encore moins nombreuses (10% en Belgique et 17% en Europe) à proposer une combinaison d’ordinateur portable, de smartphone et de connexion internet permettant vraiment de travailler de manière flexible. Et bien que 89% des entreprises belges et européennes soient convaincues que la technologie favorise la collaboration, elles ne sont que 44% en Belgique et 41% en Europe à avoir investi dans ce type de technologies à des fins collaboratives comme la messagerie instantanée ou des logiciels de vidéoconférence.
Ces résultats laissent présager que les entreprises n’ont pas encore trouvé le juste équilibre entre, d’une part, les ressources et les technologies visant à doper la productivité des collaborateurs et, d’autre part, les exigences en matière de sécurité, de respect des données à caractère personnel et les dispositions réglementaires.
« La technologie est la pierre angulaire de cette approche », indique Philippe Rogge. « Seules les entreprises et les organisations qui pourront optimiser le déploiement des dernières technologies dans leur stratégie en tireront aussi le plus d’avantages. »
Culture d’entreprise et déficit stratégique
La technologie ouvre bien des portes. Pourtant, un leadership fort, une culture d’entreprise ouverte et la confiance sont absolument nécessaires pour assurer la réussite de l’introduction d’un style de travail flexible. En Belgique, 76% des chefs d’entreprise (contre 70% en Europe) qui autorisent le travail flexible font confiance à leurs travailleurs. Ces derniers en sont toutefois moins convaincus, puisque seulement 48% d’entre eux en Belgique (52% en Europe) estiment que leurs collègues sont aussi productifs en dehors de l’environnement du bureau.
Un grand nombre des travailleurs ne sont pas informés des lignes directrices en matière de travail flexible. Cinquante-huit pour cent des chefs d’entreprise en Belgique (contre 63% en Europe) affirment que ces lignes directrices existent au sein de l’entreprise, mais seulement 22% des travailleurs en sont informés en Belgique (25% en Europe). Par ailleurs, seul un quart (24% pour la Belgique et 25% pour l’Europe) des entreprises mesurent l’impact du travail flexible sur la satisfaction des travailleurs, la productivité et la satisfaction des clients.
En dépit du fait que la plupart des chefs d’entreprise acceptent le travail flexible, la route est encore longue. Le nouveau style de travail doit être déployé d’une manière stratégique de sorte que les travailleurs soient correctement informés.
Grâce à la grande disponibilité des appareils mobiles et des services dématérialisés, le travail flexible n’a encore jamais été si accessible. Il importe que tous les travailleurs puissent accéder à ces technologies et que l’introduction de ces dernières soit dirigée et encadrée par la direction.
Il n’existe aucune trame définie pour lancer la nouvelle manière de travailler, chaque entreprise doit donc trouver son approche personnelle. Cependant, la nécessité d’emprunter cette nouvelle voie n’a jamais été aussi criante qu’aujourd’hui. La crise économique et la pénurie croissante en collaborateurs qualifiés, associées à la nécessité d’une efficacité accrue, en font de toute manière une approche très intéressante en matière de rentabilité.
À propos de Microsoft
Fondée en 1975, Microsoft est le numéro un du marché des logiciels, services et technologies Internet destinés à l’utilisateur privé ou professionnel. L’entreprise propose un large éventail de produits et services développés pour permettre une utilisation plus agréable et plus facile de l’ordinateur, n’importe où, n’importe quand et sur n’importe quel appareil.
L’enquête auprès de chefs d’entreprise montre que la Belgique, ainsi que le Portugal et l’Italie, sont les pays les moins ouverts au travail flexible. Les travailleurs ont le plus de chance de pouvoir travailler de manière flexible en Allemagne, au Royaume-Uni et en Norvège.
Plus de la moitié des entreprises belges (52%) sont convaincues que le travail flexible est décisif pour attirer et retenir les meilleurs talents en leur sein. Dans notre pays, 67% des chefs d’entreprise croient que le travail flexible augmente la productivité de 39%. Dans ce cadre, la Belgique fait moins bien que le restant de l’Europe, où plus de trois quarts des managers (77%) estiment que la productivité fait un bond de 46%.
En Belgique, près de trois quarts des responsables d’entreprise (72%) déclarent autoriser le travail flexible, contre 82% pour l’ensemble de l’Europe. En Belgique, 58% confient avoir élaboré une politique et des directives en la matière. Ce taux est une fois encore plus élevé pour l’Europe : 63%. La comparaison de ces résultats avec les déclarations des travailleurs se traduit toutefois par un tableau nuancé. En Europe, seuls 64% des travailleurs indiquent qu’ils peuvent adopter un mode de travail flexible. Sur ce point, la Belgique surprend, avec un taux plus élevé de 68%. Moins d’un tiers des travailleurs européens (29%) disposent de lignes directrices régissant cette flexibilité au contraire des travailleurs belges qui ne sont pas plus de 22%.
Et bien que 67% des entreprises et organisations en faveur du travail flexible en Belgique permettent aussi à leur personnel d’utiliser leurs propres appareils à des fins professionnelles, seules 10% d’entre elles offrent la technologie de base pour adopter un style de travail plus flexible comme un ordinateur portable, un smartphone ou une connexion au réseau de l’entreprise à domicile. Une fois de plus, notre pays se classe moins bien que la moyenne européenne.
Dans un climat économique difficile et en l’absence de stratégie technologique et politique autorisant un style de travail flexible, le risque est grand que les chefs d’entreprise manquent leur rendez-vous avec les avantages de la nouvelle manière de travailler. Au nombre de ceux-ci figurent la réduction des charges liées aux bureaux et aux déplacements, l’augmentation de la productivité et la multiplication des chances d’attirer et de retenir les meilleurs collaborateurs.
« Ces cinq dernières années, Microsoft Belgique est chaque fois entrée dans le trio de tête des meilleurs employeurs », indique Philippe Rogge, Directeur général de Microsoft Belgique. « Nous le devons en grande partie au style de travail flexible que nous appliquons déjà depuis bientôt quatre ans. La transition a été facilitée parce que nos disposions de la technologie nécessaire en interne. Cependant, cette approche est de plus en plus liée à la possibilité de choisir des appareils appropriés et exige dès lors une culture d’entreprise qui donne la priorité aux collaborateurs. »
La technologie doit être disponible
Le déploiement à grande échelle de l’informatique mobile, des services dans les nuages et des réseaux sociaux à des fins privées et publiques a favorisé la croissance du travail flexible en Europe. Plus de 67% des entreprises en Belgique qui autorisent le travail flexible, permettent à leurs travailleurs d’utiliser leurs propres appareils au travail. Les chefs d’entreprise sont convaincus que cette nouvelle approche est favorable à l’augmentation de la productivité et qu’elle facilité le travail à domicile.
L’étude montre toutefois l’existence d’une tension entre les réponses des travailleurs, les nouvelles possibilités technologiques et la manière dont les entreprises les utilisent comme atout stratégique afin d’autoriser les nouvelles formes de travail. Seulement 43% des entreprises belges (contre 33% des entreprises européennes) qui permettent le travail flexible offrent une connexion internet afin d’assurer que leurs collaborateurs puissent également travailler en dehors du bureau. Parmi les entreprises autorisant le travail flexible, elles sont encore moins nombreuses (10% en Belgique et 17% en Europe) à proposer une combinaison d’ordinateur portable, de smartphone et de connexion internet permettant vraiment de travailler de manière flexible. Et bien que 89% des entreprises belges et européennes soient convaincues que la technologie favorise la collaboration, elles ne sont que 44% en Belgique et 41% en Europe à avoir investi dans ce type de technologies à des fins collaboratives comme la messagerie instantanée ou des logiciels de vidéoconférence.
Ces résultats laissent présager que les entreprises n’ont pas encore trouvé le juste équilibre entre, d’une part, les ressources et les technologies visant à doper la productivité des collaborateurs et, d’autre part, les exigences en matière de sécurité, de respect des données à caractère personnel et les dispositions réglementaires.
« La technologie est la pierre angulaire de cette approche », indique Philippe Rogge. « Seules les entreprises et les organisations qui pourront optimiser le déploiement des dernières technologies dans leur stratégie en tireront aussi le plus d’avantages. »
Culture d’entreprise et déficit stratégique
La technologie ouvre bien des portes. Pourtant, un leadership fort, une culture d’entreprise ouverte et la confiance sont absolument nécessaires pour assurer la réussite de l’introduction d’un style de travail flexible. En Belgique, 76% des chefs d’entreprise (contre 70% en Europe) qui autorisent le travail flexible font confiance à leurs travailleurs. Ces derniers en sont toutefois moins convaincus, puisque seulement 48% d’entre eux en Belgique (52% en Europe) estiment que leurs collègues sont aussi productifs en dehors de l’environnement du bureau.
Un grand nombre des travailleurs ne sont pas informés des lignes directrices en matière de travail flexible. Cinquante-huit pour cent des chefs d’entreprise en Belgique (contre 63% en Europe) affirment que ces lignes directrices existent au sein de l’entreprise, mais seulement 22% des travailleurs en sont informés en Belgique (25% en Europe). Par ailleurs, seul un quart (24% pour la Belgique et 25% pour l’Europe) des entreprises mesurent l’impact du travail flexible sur la satisfaction des travailleurs, la productivité et la satisfaction des clients.
En dépit du fait que la plupart des chefs d’entreprise acceptent le travail flexible, la route est encore longue. Le nouveau style de travail doit être déployé d’une manière stratégique de sorte que les travailleurs soient correctement informés.
Grâce à la grande disponibilité des appareils mobiles et des services dématérialisés, le travail flexible n’a encore jamais été si accessible. Il importe que tous les travailleurs puissent accéder à ces technologies et que l’introduction de ces dernières soit dirigée et encadrée par la direction.
Il n’existe aucune trame définie pour lancer la nouvelle manière de travailler, chaque entreprise doit donc trouver son approche personnelle. Cependant, la nécessité d’emprunter cette nouvelle voie n’a jamais été aussi criante qu’aujourd’hui. La crise économique et la pénurie croissante en collaborateurs qualifiés, associées à la nécessité d’une efficacité accrue, en font de toute manière une approche très intéressante en matière de rentabilité.
À propos de Microsoft
Fondée en 1975, Microsoft est le numéro un du marché des logiciels, services et technologies Internet destinés à l’utilisateur privé ou professionnel. L’entreprise propose un large éventail de produits et services développés pour permettre une utilisation plus agréable et plus facile de l’ordinateur, n’importe où, n’importe quand et sur n’importe quel appareil.