Alors que les caucus de l’Iowa marquent lundi le coup d’envoi de la saison des primaires démocrates pour le scrutin présidentiel américain de novembre, YouTube a annoncé l’interdiction des contenus « manipulés ou falsifiés » sur les élections. La plateforme de vidéos, dont Google est le propriétaire, a affirmé que ces mesures étaient prises afin de faire de YouTube « une source plus fiable » d’information et de promouvoir « un discours politique sain ». Les contenus visant à tromper les électeurs sur le vote ou sur le recensement, ainsi que ceux contenant de fausses déclarations sur les critères techniques d’éligibilité, seront également interdites par YouTube.
Dans un autre communiqué, la responsable de la sûreté et de la sécurité en ligne de Google Kristie Canegallo a insisté sur le fait que le numéro un des moteurs de recherche avait renforcé ses efforts pour contenir les abus et les fausses informations sur les contenus liés aux élections. « Nos équipes de sûreté et de sécurité sont déployées sur l’ensemble du globe pour surveiller et interrompre les piratages de comptes, les activités frauduleuses, les campagnes de désinformation, les attaques coordonnées et d’autres formes d’abus sur notre plateforme, 24 heures sur 24 », a indiqué Mme Canegallo, avant d'ajouter que Google travaillait avec d’autre entreprises technologiques et des agences gouvernementales, dont le FBI, afin d’« identifier les acteurs malveillants, de désactiver leurs comptes, d’avertir nos utilisateurs et de partager des informations pertinentes avec les spécialistes de l’industrie et les forces de l’ordre ».
Dans un autre communiqué, la responsable de la sûreté et de la sécurité en ligne de Google Kristie Canegallo a insisté sur le fait que le numéro un des moteurs de recherche avait renforcé ses efforts pour contenir les abus et les fausses informations sur les contenus liés aux élections. « Nos équipes de sûreté et de sécurité sont déployées sur l’ensemble du globe pour surveiller et interrompre les piratages de comptes, les activités frauduleuses, les campagnes de désinformation, les attaques coordonnées et d’autres formes d’abus sur notre plateforme, 24 heures sur 24 », a indiqué Mme Canegallo, avant d'ajouter que Google travaillait avec d’autre entreprises technologiques et des agences gouvernementales, dont le FBI, afin d’« identifier les acteurs malveillants, de désactiver leurs comptes, d’avertir nos utilisateurs et de partager des informations pertinentes avec les spécialistes de l’industrie et les forces de l’ordre ».
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