
D'après M. Little, de nouveaux contacts avec le géant technologique en mars n'ont rien donné. Il a dit avoir reçu un dernier courriel d'un paragraphe cette semaine de la part d'un représentant de Google pour la Nouvelle-Zélande Ross Young. Le ministre a qualifié cette réaction de « méprisable », « manquant extraordinairement de respect ». « C'est faire un doigt d'honneur à la justice néo-zélandaise et à la famille de Grace Millane », la victime de 22 ans. Les injonctions d'anonymat visent à assurer des procès équitables et Google a potentiellement remis en cause ce droit, a-t-il poursuivi.
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