Le géant chinois des télécoms Huawei, écarté de chantiers d'infrastructures et de contrats aux Etats-Unis, tourne ses ambitions vers le Royaume-Uni, où il s'est dit prêt à dépenser 3,4 milliards d'euros supplémentaires en investissements et achats. L'annonce, dévoilée dans un communiqué mis en ligne mardi par le groupe, intervient à la suite du voyage de la Première ministre britannique Theresa May en Chine, où elle s'est entretenue avec la présidente de Huawei Sun Yafang.
Elle apparaît en net contraste avec les récents déboires de Huawei aux Etats-Unis, où un ambitieux projet de partenariat avec l'opérateur américain AT&T est tombé à l'eau en janvier, des élus du Congrès ayant dénoncé des risques "d'espionnage" liés au groupe chinois.
Mais le groupe chinois, géant planétaire des équipements télécoms et 3e fabricant mondial de smartphones, est au Royaume-Uni en terrain plus favorable. Huawei assure avoir déjà dépensé au total 2 milliards de livres depuis 2013 en Grande-Bretagne, où il emploie quelque 1.500 personnes, et où il est associé aux opérateurs BT Group et Vodafone.
Elle apparaît en net contraste avec les récents déboires de Huawei aux Etats-Unis, où un ambitieux projet de partenariat avec l'opérateur américain AT&T est tombé à l'eau en janvier, des élus du Congrès ayant dénoncé des risques "d'espionnage" liés au groupe chinois.
Mais le groupe chinois, géant planétaire des équipements télécoms et 3e fabricant mondial de smartphones, est au Royaume-Uni en terrain plus favorable. Huawei assure avoir déjà dépensé au total 2 milliards de livres depuis 2013 en Grande-Bretagne, où il emploie quelque 1.500 personnes, et où il est associé aux opérateurs BT Group et Vodafone.
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