Deux ONG relancent leurs accusations de violations des droits de l'homme en Chine par Samsung, en déposant à Paris une nouvelle plainte pour pratiques commerciales trompeuses contre le géant sud-coréen. S'appuyant sur de nouveaux rapports de militants de l'ONG China Labor Watch, infiltrés entre 2012 et 2016 dans les usines du groupe électronique, les associations Peuples solidaires et Sherpa dénoncent «l'emploi d'enfants de moins de seize ans, des horaires de travail abusifs, l'absence d'équipements appropriés aux risques encourus, des conditions de travail et d'hébergement incompatibles avec la dignité humaine», selon leur communiqué.
Samsung a réagi en affirmant dans un communiqué appliquer une «tolérance zéro» vis-à-vis du travail des enfants. «Samsung respecte scrupuleusement les normes et réglementations locales et internationales en matière de travail et exige la même conformité de ses fournisseurs», a ajouté le conglomérat.
Samsung a réagi en affirmant dans un communiqué appliquer une «tolérance zéro» vis-à-vis du travail des enfants. «Samsung respecte scrupuleusement les normes et réglementations locales et internationales en matière de travail et exige la même conformité de ses fournisseurs», a ajouté le conglomérat.
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