Les gouvernements et compagnies européens semblaient lundi matin avoir évité un "cyberchaos", a estimé l'office européen des polices Europol. Selon le porte-parole Jan Op Gen Oorth, "il semble qu'il y ait de nombreux responsables de la sécurité internet qui ont fait leur travail durant le week-end et procédé aux mises à jour des logiciels de sécurité".
Plus de 200.000 ordinateurs dans le monde ont été affectés durant le week-end écoulé, une attaque sans précédent. L'attaque a débuté vendredi et touché des banques, des hôpitaux et des agences gouvernementales dans au moins 150 pays. Des centaines de milliers d'ordinateurs, surtout en Europe, ont été infectés par un logiciel de rançon, exploitant une faille dans les systèmes Windows. Le virus utilisé, nommé "WannaCry", se répand avec une rapidité inédite et combine pour la première fois les fonctions de logiciel malveillant et de ver informatique. Il verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer 300 dollars (275 euros) pour en recouvrer l'usage. La rançon est demandée en monnaie virtuelle bitcoin, difficile à tracer.
Plus de 200.000 ordinateurs dans le monde ont été affectés durant le week-end écoulé, une attaque sans précédent. L'attaque a débuté vendredi et touché des banques, des hôpitaux et des agences gouvernementales dans au moins 150 pays. Des centaines de milliers d'ordinateurs, surtout en Europe, ont été infectés par un logiciel de rançon, exploitant une faille dans les systèmes Windows. Le virus utilisé, nommé "WannaCry", se répand avec une rapidité inédite et combine pour la première fois les fonctions de logiciel malveillant et de ver informatique. Il verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer 300 dollars (275 euros) pour en recouvrer l'usage. La rançon est demandée en monnaie virtuelle bitcoin, difficile à tracer.
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