Le rapport de Business for Social Responsibility (BSR), une organisation à but non lucratif basée à San Francisco, recommande à Facebook d’appliquer plus strictement son règlement en matière de contenus, de renforcer son engagement auprès des responsables birmans et des représentants de la société civile et de publier régulièrement des informations sur ses progrès dans le pays. BSR a également noté que Facebook devait se préparer à faire face à une vague de désinformation lors des élections de 2020 en Birmanie et à de nouveaux problèmes liés à l’utilisation croissante de son application WhatsApp dans le pays.
Une enquête Reuters en août a montré que Facebook n’avait pas tenu compte assez rapidement des nombreuses mises en garde des ONG en Birmanie concernant la diffusion de contenus haineux destinés à alimenter les attaques contre des groupes minoritaires comme les Rohingya. Depuis Facebook a supprimé les comptes du chef de l’armée birmane, le général Min Aung Hlaing, et de plusieurs hauts responsables militaires afin d’empêcher la propagation “de la haine et de la désinformation”.
Une enquête Reuters en août a montré que Facebook n’avait pas tenu compte assez rapidement des nombreuses mises en garde des ONG en Birmanie concernant la diffusion de contenus haineux destinés à alimenter les attaques contre des groupes minoritaires comme les Rohingya. Depuis Facebook a supprimé les comptes du chef de l’armée birmane, le général Min Aung Hlaing, et de plusieurs hauts responsables militaires afin d’empêcher la propagation “de la haine et de la désinformation”.
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