Ce lundi, Mobistar nous a convié à Anvers, avec la police locale pour présenter l'arrivée de la 4G dans la ville flamande après son lancement à Luxembourg.
Mais pourquoi la police donc? La police est en train de tester des outils comme le "combicaméra" qui est en fait une caméra à 360° montée sur le toit du combi qui envoie en temps réel ses images au dispatching qui peut du coup directement prendre les décisions nécessaires en renfort ou en autres services de secours. Pour la police, comme pour d'autres corps de secours, la 4G apporte enfin la bande passante nécessaire à la transmission en temps réel de vidéo en haute qualité.
Question déploiement, même si Mobistar préfère toujours continuer à ignorer Bruxelles pour le conflit que l'on connaît (la puissance étant, selon les acteurs du marché, trop limitée sur Bruxelles), la société estime mettre en production encore 600 sites l'année prochaine. Et qui va arriver en 4G prochainement? On parle de 10 zones, mais Mobistar se refuse de commenter pour le moment sur les prochaines villes couvertes, tout en insistant sur le fait qu'ils veulent une couverture équivalente sur les deux régions. On sent bien que le débat "Bruxelles vs les opérateurs" est sensible, et en l'état actuel des choses, Mobistar estime que la 4G n'arrivera pas à Bruxelles, du moins pas avec eux.
Pour monsieur tout le monde, difficile de réellement comprendre la différence entre 3 ou 4G, meilleure vitesse, meilleur temps de réaction, et donc plus de confort pour de nombreuses applications, mais quasi tout ce qui se fait en 4G jusqu'ici aurait pû l'être, à une qualité moindre parfois, en 3G.
En attendant, Mobistar nous démontre vidéo en temps réel, VOD, ou Live TV le tout sur smartphone et tablette, mais aucune information encore sur la tarification, et si les abonnements 4G sont limités à des quotas de 1 ou 2G comme pour la 3G actuellement, de nombreuses applications n'auront pas lieu d'être aussi facilement. Et c'est probablement ici que les opérateurs doivent innover le plus pour faire réellement démarrer le marché en dehors du cercle très adepte des geeks.
Il n'y aura pas, du moins selon Mobistar, de grand push de la 4G comme il en a été fait pour la 3G par les opérateurs et les constructeurs, Mobistar (Orange) préfère attendre de voir les demandes de utilisateurs avant de faire évoluer ses tarifs en conséquence. Une révolution donc? Non, plutôt une évolution, et peut être plus lente que ce que vous n'espériez...
Mais pourquoi la police donc? La police est en train de tester des outils comme le "combicaméra" qui est en fait une caméra à 360° montée sur le toit du combi qui envoie en temps réel ses images au dispatching qui peut du coup directement prendre les décisions nécessaires en renfort ou en autres services de secours. Pour la police, comme pour d'autres corps de secours, la 4G apporte enfin la bande passante nécessaire à la transmission en temps réel de vidéo en haute qualité.
Question déploiement, même si Mobistar préfère toujours continuer à ignorer Bruxelles pour le conflit que l'on connaît (la puissance étant, selon les acteurs du marché, trop limitée sur Bruxelles), la société estime mettre en production encore 600 sites l'année prochaine. Et qui va arriver en 4G prochainement? On parle de 10 zones, mais Mobistar se refuse de commenter pour le moment sur les prochaines villes couvertes, tout en insistant sur le fait qu'ils veulent une couverture équivalente sur les deux régions. On sent bien que le débat "Bruxelles vs les opérateurs" est sensible, et en l'état actuel des choses, Mobistar estime que la 4G n'arrivera pas à Bruxelles, du moins pas avec eux.
Pour monsieur tout le monde, difficile de réellement comprendre la différence entre 3 ou 4G, meilleure vitesse, meilleur temps de réaction, et donc plus de confort pour de nombreuses applications, mais quasi tout ce qui se fait en 4G jusqu'ici aurait pû l'être, à une qualité moindre parfois, en 3G.
En attendant, Mobistar nous démontre vidéo en temps réel, VOD, ou Live TV le tout sur smartphone et tablette, mais aucune information encore sur la tarification, et si les abonnements 4G sont limités à des quotas de 1 ou 2G comme pour la 3G actuellement, de nombreuses applications n'auront pas lieu d'être aussi facilement. Et c'est probablement ici que les opérateurs doivent innover le plus pour faire réellement démarrer le marché en dehors du cercle très adepte des geeks.
Il n'y aura pas, du moins selon Mobistar, de grand push de la 4G comme il en a été fait pour la 3G par les opérateurs et les constructeurs, Mobistar (Orange) préfère attendre de voir les demandes de utilisateurs avant de faire évoluer ses tarifs en conséquence. Une révolution donc? Non, plutôt une évolution, et peut être plus lente que ce que vous n'espériez...
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