Facebook a annoncé lundi à Bruxelles le lancement fin mars de « nouveaux outils » pour lutter contre les ingérences lors des élections européennes de mai 2019, tentant de répondre aux craintes exprimées notamment par la Commission européenne. Nick Clegg, directeur mondial des affaires publiques du géant américain et ex vice-premier ministre britannique, répond ainsi à l'appel à la mobilisation contre la désinformation, lancé début décembre par la Commission européenne.
Devant des journalistes à Bruxelles, M. Clegg a expliqué que tous ceux qui voudraient faire campagne et publier des publicités sur Facebook devraient y être autorisés par le groupe. Toutes les annonces politiques seront conservées dans une bibliothèque consultable par le public pendant une période maximale de sept ans, cette bibliothèque contiendra des informations sur le montant d'argent dépensé et le nombre de réactions suscitées, ainsi que des éléments sur les personnes qui les ont payées et les caractéristiques de ceux qui les ont vues, y compris l'âge, le sexe et le lieu. Pour « coordonner ce travail vital », il a annoncé « la mise en place d'un centre d'opérations axé sur l'intégrité des élections, basé à Dublin, ce printemps ».
Devant des journalistes à Bruxelles, M. Clegg a expliqué que tous ceux qui voudraient faire campagne et publier des publicités sur Facebook devraient y être autorisés par le groupe. Toutes les annonces politiques seront conservées dans une bibliothèque consultable par le public pendant une période maximale de sept ans, cette bibliothèque contiendra des informations sur le montant d'argent dépensé et le nombre de réactions suscitées, ainsi que des éléments sur les personnes qui les ont payées et les caractéristiques de ceux qui les ont vues, y compris l'âge, le sexe et le lieu. Pour « coordonner ce travail vital », il a annoncé « la mise en place d'un centre d'opérations axé sur l'intégrité des élections, basé à Dublin, ce printemps ».
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