Le fondateur de Huawei, Ren Zhengfei, a rejeté mardi les accusations selon lesquelles le gouvernement chinois se sert de l’équipementier télécoms pour se livrer à de l’espionnage, rapporte le Financial Times. Huawei n’a “jamais reçu de demande d’aucun gouvernement pour fournir des informations inappropriées”, a-t-il déclaré au quotidien économique britannique, lors d’une interview avec des journalistes dans la ville de Shenzhen, dans le sud de la Chine. “J’aime toujours mon pays, je soutiens le parti communiste, mais je ne ferai jamais rien pour nuire à un quelconque pays dans le monde”, a-t-il dit, ajoutant que sa fille Meng Wanzhou, arrêtée au Canada, lui manquait “beaucoup”.
Le fabricant chinois de smartphones, premier équipementier télécoms mondial, a été banni de plusieurs marchés publics et certains opérateurs télécoms ont décidé de retirer ses équipements de leurs réseaux, en raison de soupçons d’espionnage. Aucune preuve n’a cependant été présentée publiquement et le groupe chinois a rejeté à plusieurs reprises les accusations portées à son encontre.
Le fabricant chinois de smartphones, premier équipementier télécoms mondial, a été banni de plusieurs marchés publics et certains opérateurs télécoms ont décidé de retirer ses équipements de leurs réseaux, en raison de soupçons d’espionnage. Aucune preuve n’a cependant été présentée publiquement et le groupe chinois a rejeté à plusieurs reprises les accusations portées à son encontre.
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