Bavardages » Voilà des critiques
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Voilà des critiques
Publié le 09/02/2007 @ 12:17:28,
Par testeurdesiteLa nostalgie de l'ange ... cé bôôôô !
La liberté d'opinion n'est rien, en regard de la colossale liberté de rester assis au soleil quand on n'a pas envie de travailler.
Voilà des critiques
Publié le 09/02/2007 @ 14:50:45,
Par BulleY en a au moins 1 qui est d'accord avec moi
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 09/02/2007 @ 15:17:24,
Par Jean-ChristopheC'est peut-être le seul autre qui l'a lu
Sans quoi les autres seraient surement d'accord avec toi aussi
Sans quoi les autres seraient surement d'accord avec toi aussi
Voilà des critiques
Publié le 09/02/2007 @ 15:45:20,
Par zionEt hop, publié aussi ces 2 lÃ
Je suis le Roy
Voilà des critiques
Publié le 04/03/2007 @ 19:13:19,
Par BulleBon, avec les événements des dernières semaines, j'ai pas eu beaucoup de temps pour écrire, par contre, j'ai quand même un peu lu. Voilà le menu du jour :
1. La fabuleuse histoire de la mouche dans le vestiaire des garçons par E. Lockhart, 2006.
Adolescentes (surtout) dès 14 ans environ.
Gretchen, 16 ans, est une jeune juive d'origine asiatique et passionnée de BD (Spiderman est son grand héros) et elle passe sa vie à (le) dessiner avec talent, ce qui explique sa présence à Ma-Ha, école d'art huppée de New-York. Timide, mal dans sa peau comme la majorité de ses condisciples, elle a en plus le handicap d'avoir une allure complètement banale au sein d'une école dans laquelle l'originalité et la différenciation sont des obligations. Etre artiste sans avoir l'air d'une artiste lui pèse, mais ce n'est rien à côté de l'annonce du divorce de ses parents, combinée aux cachotteries que lui fait son amie Katia, subitement indisponible tous les week ends.
Tout en ruminant de sombres pensées sur l'indifférence que lui témoigne Titus et la gent masculine en général, elle confie un jour à Katia : "Tu sais ce que je voudrais être ? Je voudrais être une mouche dans le vestiaire des garçons"
Bien entendu, lorsqu'elle se réveille le lendemain matin...
Huit jours dans sa nouvelle enveloppe corporelle minuscule, enfermée dans cette pièce tabou aux filles, que les garçons empruntent tous les jours de la semaine au début et à la fin de leur cours de sport, vont être infiniment plus révélateurs sur les garçons - et sur elle- que Gretchen ne l'aurait jamais imaginé !
Différents sujets sont abordés dans ce texte, probablement un peu bateau et facilement séducteur, mais on s'y laisse prendre quand même.
Il est très agréable à lire notamment parce que la langue est soignée. Les djeun's qui le liront seront séduits par l'évocation de nombreuses questions qui les taraudent dans ces vertes années. Le voyeurisme, l'homosexualité, le divorce, l'amitié, la compétition entre étudiants, l'intimidation, la violence, l'intolérance, l'amour, la sexualité... sont autant de thèmes traités parfois avec subtilité, parfois avec lourdeur, mais dans l'ensemble, l'ouvrage devrait faire écho sous le crâne de nos chères têtes blondes.
Le principe de la transformation pour observer sans être vu n'est pas nouveau et trouve une nouvelle jeunesse dans l'image de cette mouche, animal aussi éphémère que peu populaire (l'influence de Kafka est clairement assumée, on en parle d'ailleurs au début de l'histoire).
J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire, j'espère juste qu'il ne se démodera pas trop vite.
2. Magnus, de Sylvie Germain, 2005
Adultes.
Une vie entière à se reconstruire...voilà l'histoire de Magnus, Franz-Georg du nom que ses parents adoptifs lui ont donné avant de disparaître, rattrapés par les horreurs qu'ils ont commises quand le nazisme était au pouvoir. Adolescent et orphelin, Franz-Georg est confié à son oncle en Angleterre. Il décide de s'appeler Magnus, s'inspirant des lettres brodées sur son ourson en peluche, seul témoin restant des cinq premières années de sa vie. Victime d'une amnésie partielle, il n'en perçoit que d'infimes bribes, des flashes qui ne lui permettent pas de reconstituer ce qu'il a vécu avant d'être recueilli pas ses nazis de parents.
Adulte, il partira à la recherche de son père disparu pour tenter de démèler l'écheveau de mensonges qui a tissé le fil de sa vie et ainsi récupérer son identité véritable. Cette quête permettra à Magnus la rencontre successive des deux amours de sa vie. Elle ouvrira également d'autres questions, amènera de nouvelles souffrances, et finira tout de même par lui apporter une partie des réponses...
Il ne s'agit pas d'un roman dont on dévore les pages de bout en bout en une soirée au coin du feu. La lecture en est trop dense, le sujet trop grave, l'écriture trop stylisée pour l'avaler comme un vulgaire roman de gare.
On sent que ce texte a été pensé minutieusement, il a sans doute demandé de longs mois de réflexion puis de rédaction à son auteur.
D'un point de vue tout à fait subjectif, je dois dire qu'il ne fait pas vraiment partie de mes romans préférés. J'aime les textes qui me passionnent, qui me tiennent en haleine, qui me donnent envie de les dévorer jusqu'à la dernière page, et ce n'est certainement pas le cas de celui-ci. J'ai mis plus d'un mois à le lire, l'entrecoupant de nombreuses lectures annexes. C'est d'ailleurs une bonne formule d'étirer la lecture, puisque l'histoire se déroule sur une période très longue.
Ce livre a été très bien accueilli par la critique à sa sortie, et je comprends pourquoi : il est riche d'une profondeur peu courante, et traite d'un sujet assez rare, même si d'aucuns le qualifient trop simplement de roman initiatique ou de quête d'identité.
Tout en sachant que je ne le relirai pas, je constate que l'on n'est plus tout à fait le même après qu'avant. Se rendre compte de la chance que l'on a d'avoir un nom, un passé, une histoire, et un sentiment bien étrange. Et rien que pour cela, il vaut la peine d'être lu.
Dernière édition: 04/03/2007 @ 21:35:39
1. La fabuleuse histoire de la mouche dans le vestiaire des garçons par E. Lockhart, 2006.
Adolescentes (surtout) dès 14 ans environ.
Gretchen, 16 ans, est une jeune juive d'origine asiatique et passionnée de BD (Spiderman est son grand héros) et elle passe sa vie à (le) dessiner avec talent, ce qui explique sa présence à Ma-Ha, école d'art huppée de New-York. Timide, mal dans sa peau comme la majorité de ses condisciples, elle a en plus le handicap d'avoir une allure complètement banale au sein d'une école dans laquelle l'originalité et la différenciation sont des obligations. Etre artiste sans avoir l'air d'une artiste lui pèse, mais ce n'est rien à côté de l'annonce du divorce de ses parents, combinée aux cachotteries que lui fait son amie Katia, subitement indisponible tous les week ends.
Tout en ruminant de sombres pensées sur l'indifférence que lui témoigne Titus et la gent masculine en général, elle confie un jour à Katia : "Tu sais ce que je voudrais être ? Je voudrais être une mouche dans le vestiaire des garçons"
Bien entendu, lorsqu'elle se réveille le lendemain matin...
Huit jours dans sa nouvelle enveloppe corporelle minuscule, enfermée dans cette pièce tabou aux filles, que les garçons empruntent tous les jours de la semaine au début et à la fin de leur cours de sport, vont être infiniment plus révélateurs sur les garçons - et sur elle- que Gretchen ne l'aurait jamais imaginé !
Différents sujets sont abordés dans ce texte, probablement un peu bateau et facilement séducteur, mais on s'y laisse prendre quand même.
Il est très agréable à lire notamment parce que la langue est soignée. Les djeun's qui le liront seront séduits par l'évocation de nombreuses questions qui les taraudent dans ces vertes années. Le voyeurisme, l'homosexualité, le divorce, l'amitié, la compétition entre étudiants, l'intimidation, la violence, l'intolérance, l'amour, la sexualité... sont autant de thèmes traités parfois avec subtilité, parfois avec lourdeur, mais dans l'ensemble, l'ouvrage devrait faire écho sous le crâne de nos chères têtes blondes.
Le principe de la transformation pour observer sans être vu n'est pas nouveau et trouve une nouvelle jeunesse dans l'image de cette mouche, animal aussi éphémère que peu populaire (l'influence de Kafka est clairement assumée, on en parle d'ailleurs au début de l'histoire).
J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire, j'espère juste qu'il ne se démodera pas trop vite.
2. Magnus, de Sylvie Germain, 2005
Adultes.
Une vie entière à se reconstruire...voilà l'histoire de Magnus, Franz-Georg du nom que ses parents adoptifs lui ont donné avant de disparaître, rattrapés par les horreurs qu'ils ont commises quand le nazisme était au pouvoir. Adolescent et orphelin, Franz-Georg est confié à son oncle en Angleterre. Il décide de s'appeler Magnus, s'inspirant des lettres brodées sur son ourson en peluche, seul témoin restant des cinq premières années de sa vie. Victime d'une amnésie partielle, il n'en perçoit que d'infimes bribes, des flashes qui ne lui permettent pas de reconstituer ce qu'il a vécu avant d'être recueilli pas ses nazis de parents.
Adulte, il partira à la recherche de son père disparu pour tenter de démèler l'écheveau de mensonges qui a tissé le fil de sa vie et ainsi récupérer son identité véritable. Cette quête permettra à Magnus la rencontre successive des deux amours de sa vie. Elle ouvrira également d'autres questions, amènera de nouvelles souffrances, et finira tout de même par lui apporter une partie des réponses...
Il ne s'agit pas d'un roman dont on dévore les pages de bout en bout en une soirée au coin du feu. La lecture en est trop dense, le sujet trop grave, l'écriture trop stylisée pour l'avaler comme un vulgaire roman de gare.
On sent que ce texte a été pensé minutieusement, il a sans doute demandé de longs mois de réflexion puis de rédaction à son auteur.
D'un point de vue tout à fait subjectif, je dois dire qu'il ne fait pas vraiment partie de mes romans préférés. J'aime les textes qui me passionnent, qui me tiennent en haleine, qui me donnent envie de les dévorer jusqu'à la dernière page, et ce n'est certainement pas le cas de celui-ci. J'ai mis plus d'un mois à le lire, l'entrecoupant de nombreuses lectures annexes. C'est d'ailleurs une bonne formule d'étirer la lecture, puisque l'histoire se déroule sur une période très longue.
Ce livre a été très bien accueilli par la critique à sa sortie, et je comprends pourquoi : il est riche d'une profondeur peu courante, et traite d'un sujet assez rare, même si d'aucuns le qualifient trop simplement de roman initiatique ou de quête d'identité.
Tout en sachant que je ne le relirai pas, je constate que l'on n'est plus tout à fait le même après qu'avant. Se rendre compte de la chance que l'on a d'avoir un nom, un passé, une histoire, et un sentiment bien étrange. Et rien que pour cela, il vaut la peine d'être lu.
Dernière édition: 04/03/2007 @ 21:35:39
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 04/03/2007 @ 19:29:42,
Par tuloravoulu Merci Bulle !!
Comme toujours , c'est bien écrit et ça donne envie de lire !!
Comme toujours , c'est bien écrit et ça donne envie de lire !!
"L'amour pour épée, l'humour pour bouclier." Bernard Werber
Voilà des critiques
Publié le 04/03/2007 @ 21:18:10,
Par BulleBon, comme je suis mère célibataire ce soir, voilà un bonus :
3. Survivre avec les loups, de Misha Defonseca, 1997
Adultes et adolescents.
Beaucoup d'entre vous connaissent sûrement déjà l'histoire vraie de Mishke, enfant juive cachée à Bruxelles avec ses parents, qu'elle adore, par peur de la Gestapo. Quand ceux-ci sont arrêtés, elle est recueillie par une famille qui la maltraite et elle trouve régulièrement refuge chez le grand-père de la famille. Celui-ci l'a prise en affection, il lui donne des leçons de géographie et la nourrit correctement. Mishke ne sait qu'une chose : ses parents on été emmenés "à l'Est". Le jour ou Grand-père lui offre une boussole, sa décision est prise : elle va partir à leur recherche. Du haut de ses huit ans, avec pour seuls outils sa boussole et sa mémoire extraordinaire des cartes d'Europe que lui montrait le grand-père, elle va traverser la Belgique, l'Allemagne, la Pologne et une partie de l'Ukraine à pied, dans un périple inouï qui durera presque 3 ans. Des dizaines d'années plus tard, elle rassemblera ses souvenirs pour donner à la face du monde le récit de cette survie unique.
Pendant ces 3 ans, elle connaîtra, outre la faim, la douleur et le froid, l'horrible cruauté des hommes et de leur guerre. Au hasard de sa progression, elle devra voler, tuer, fuir, se cacher, trembler... elle approchera un camp de concentration, fera une courte incursion dans le ghetto de Varsovie, rencontrera des résistants sanguinaires et d'autres loyaux, des violeurs, des tueurs d'enfants... Elle vivra aussi une rencontre unique avec une meute de loups, qui deviendra pour de longs mois sa nouvelle famille, et donne la signification du titre.
Mishke finira aussi (elle a grandi) par se rendre compte que ses recherches "à l'Est" sont baucoup trop vagues, qu'elle n'a que peu de chances de retrouver ses parents sans savoir où ils se trouvent, et surtout sans même savoir leurs noms réels. Elle n'a que leurs prénoms, et leur image de plus en plus floue dans sa tête. Elle décidera donc de rentrer en Belgique afin de savoir ce qu'ils sont devenus.
Voilà un récit que j'ai beaucoup hésité avant de lire, je ne l'ai finalement emporté que parce qu'il était fréquemment donné en lecture scolaire. Je pense qu'il est inutile de préciser que, non seulement je ne l'ai pas regretté, mais en plus j'en suis sortie méchamment secouée.
Il n'est pas d'un grand talent d'écriture, mais il n'a jamais prétendu l'être et ce n'est finalement pas cela qui prime dans ce type de témoignage. J'ai dévoré l'histoire de cette petite fille tellement adulte avec un intérêt grandissant... je ne l'ai quasiment pas lâché ! C'est bouleversant, c'est vraiment touchant, ça peut même faire pleurer plusieurs fois.
Savoir que cette petite fille a aussi dû se résoudre à vivre sans savoir qui elle est réellement m'a également profondément touchée : trop petite à cette époque, elle n'a as retenu sa véritable date de naissance, et a porté tant de noms d'emprunt qu'elle ignore quel est le sien. Mishke est le prénom par lequel ses parents l'appelaient; elle adoptera celui de Misha en souvenir d'un résistant accueillant et courageux rencontré lors de son périble. Quand à son nom de famille, elle l'a emprunté au "grand-père" à la boussole, qu'elle retrouvera à la fin de la guerre et qui constitue sa seule "famille" à l'époque.
Au risque d'être horriblement prévisible, ici je le dis : il faut avoir lu ce livre. Pas d'excuse. Je vous ai raconté l'histoire, mais le récit est indescriptible.
Allez-y, je relève les copies lundi prochain
Voilà zion, t'as du boulot pour OpenEvent (laisse-moi le temps de relire celle-ci quand même)
Voilà j'ai corrigé, s'il reste des fôtes tant pis pour moi
Dernière édition: 06/03/2007 @ 13:39:10
3. Survivre avec les loups, de Misha Defonseca, 1997
Adultes et adolescents.
Beaucoup d'entre vous connaissent sûrement déjà l'histoire vraie de Mishke, enfant juive cachée à Bruxelles avec ses parents, qu'elle adore, par peur de la Gestapo. Quand ceux-ci sont arrêtés, elle est recueillie par une famille qui la maltraite et elle trouve régulièrement refuge chez le grand-père de la famille. Celui-ci l'a prise en affection, il lui donne des leçons de géographie et la nourrit correctement. Mishke ne sait qu'une chose : ses parents on été emmenés "à l'Est". Le jour ou Grand-père lui offre une boussole, sa décision est prise : elle va partir à leur recherche. Du haut de ses huit ans, avec pour seuls outils sa boussole et sa mémoire extraordinaire des cartes d'Europe que lui montrait le grand-père, elle va traverser la Belgique, l'Allemagne, la Pologne et une partie de l'Ukraine à pied, dans un périple inouï qui durera presque 3 ans. Des dizaines d'années plus tard, elle rassemblera ses souvenirs pour donner à la face du monde le récit de cette survie unique.
Pendant ces 3 ans, elle connaîtra, outre la faim, la douleur et le froid, l'horrible cruauté des hommes et de leur guerre. Au hasard de sa progression, elle devra voler, tuer, fuir, se cacher, trembler... elle approchera un camp de concentration, fera une courte incursion dans le ghetto de Varsovie, rencontrera des résistants sanguinaires et d'autres loyaux, des violeurs, des tueurs d'enfants... Elle vivra aussi une rencontre unique avec une meute de loups, qui deviendra pour de longs mois sa nouvelle famille, et donne la signification du titre.
Mishke finira aussi (elle a grandi) par se rendre compte que ses recherches "à l'Est" sont baucoup trop vagues, qu'elle n'a que peu de chances de retrouver ses parents sans savoir où ils se trouvent, et surtout sans même savoir leurs noms réels. Elle n'a que leurs prénoms, et leur image de plus en plus floue dans sa tête. Elle décidera donc de rentrer en Belgique afin de savoir ce qu'ils sont devenus.
Voilà un récit que j'ai beaucoup hésité avant de lire, je ne l'ai finalement emporté que parce qu'il était fréquemment donné en lecture scolaire. Je pense qu'il est inutile de préciser que, non seulement je ne l'ai pas regretté, mais en plus j'en suis sortie méchamment secouée.
Il n'est pas d'un grand talent d'écriture, mais il n'a jamais prétendu l'être et ce n'est finalement pas cela qui prime dans ce type de témoignage. J'ai dévoré l'histoire de cette petite fille tellement adulte avec un intérêt grandissant... je ne l'ai quasiment pas lâché ! C'est bouleversant, c'est vraiment touchant, ça peut même faire pleurer plusieurs fois.
Savoir que cette petite fille a aussi dû se résoudre à vivre sans savoir qui elle est réellement m'a également profondément touchée : trop petite à cette époque, elle n'a as retenu sa véritable date de naissance, et a porté tant de noms d'emprunt qu'elle ignore quel est le sien. Mishke est le prénom par lequel ses parents l'appelaient; elle adoptera celui de Misha en souvenir d'un résistant accueillant et courageux rencontré lors de son périble. Quand à son nom de famille, elle l'a emprunté au "grand-père" à la boussole, qu'elle retrouvera à la fin de la guerre et qui constitue sa seule "famille" à l'époque.
Au risque d'être horriblement prévisible, ici je le dis : il faut avoir lu ce livre. Pas d'excuse. Je vous ai raconté l'histoire, mais le récit est indescriptible.
Allez-y, je relève les copies lundi prochain
Voilà zion, t'as du boulot pour OpenEvent (laisse-moi le temps de relire celle-ci quand même)
Voilà j'ai corrigé, s'il reste des fôtes tant pis pour moi
Dernière édition: 06/03/2007 @ 13:39:10
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 13:35:33,
Par Bulle ça y est, zion ne veut plus de mes critiques...
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 13:38:15,
Par zionBulle> Ah si si, désolé de pas avoir répondu, j'ai mis ton topic sur mon desktop, mais le WE a été un rien agité et hier encore pire, j'avais du boulot jusqu'au dessus de la tête, j'ai pas été pieuter avant passé 3 plombes du mat
Je termine ce que j'ai commencé hier puis je les publie
Merciiii
Je termine ce que j'ai commencé hier puis je les publie
Merciiii
Je suis le Roy
Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 13:41:00,
Par BulleJe me doutais bien, c'était juste pour t'embêter : je sais bien que tu as beaucoup de boulot !
Par contre, si c'est possible, je veux bien me charger moi-même de les poster sur OpenEvent, mais je pense que tu m'avais déjà dit que je n'avais pas les droits nécessaires.
Par contre, si c'est possible, je veux bien me charger moi-même de les poster sur OpenEvent, mais je pense que tu m'avais déjà dit que je n'avais pas les droits nécessaires.
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Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 13:44:18,
Par zionAh si tu as tous les droits qu'il faut, je suis quasi sûr de te les avoir donné
Mais je passe mon temps à rajouter une petite miniature et tout le toutim, et en général je la mets en SSH directement sur le serveur plutôt que de passer par l'admin
Mais t'inquiètes, ce sera dessus aujourd'hui
Mais je passe mon temps à rajouter une petite miniature et tout le toutim, et en général je la mets en SSH directement sur le serveur plutôt que de passer par l'admin
Mais t'inquiètes, ce sera dessus aujourd'hui
Je suis le Roy
Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 13:49:11,
Par Bulleok ben je te laisse faire alors, parce que là tu me parles déjà chinois
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 06/03/2007 @ 21:26:52,
Par zionAyé, chose promise, chose dûe, je l'ai fait
Merciiiiii
Merciiiiii
Je suis le Roy
Voilà des critiques
Publié le 07/03/2007 @ 07:20:33,
Par Bulle\o/
Vais pouvoir vous emm... à en écrire d'autres alors
Vais pouvoir vous emm... à en écrire d'autres alors
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 07/03/2007 @ 12:28:54,
Par zionMais tu dois lire les bouquins avant
Je suis le Roy
Voilà des critiques
Publié le 07/03/2007 @ 14:10:50,
Par BulleJe te rappelle que, si je n'ai pas fait de critiques pendant plusieurs mois, je n'ai pas pour autant arrêté de lire des livres
Ces trois critiques concernent effectivement mes trois dernières lectures ou presque, mais j'ai encore une bonne douzaine de bouquins que j'ai lu il y a quelques semaines / mois et qui attendent sagement leur texte
Ces trois critiques concernent effectivement mes trois dernières lectures ou presque, mais j'ai encore une bonne douzaine de bouquins que j'ai lu il y a quelques semaines / mois et qui attendent sagement leur texte
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Voilà des critiques
Publié le 19/08/2010 @ 14:57:04,
Par maxJe ne trouve pas le topic "Aujourd'hui j'ai lu....", pas certain qu'il existe, mais comme j'ai lu des trucs très bien et une déception, j'avais envie de vous en parler.
Aaaah les vacances, période propice à la lecteur de tout et n'importe quoi. C'est pour ça, comme à mon habitude, je me rends dans un magasin de livre piocher un peu au hasard et selon l'envie du moment (et en fonction de la vessie) des livres du magasin de livre que je vais lire. Et j'ai donc lu:
"La tour de Babylone" de Ted Chiang, ISBN 2-207-25456-9
Un recueil de nouvelles écrites entre 1990 et 2000. De la science fiction sans vaisseaux spatiaux, sans robot, sans pistolet laser, sans casque noir, que des idées et de la mise en pratique de chose impossible:
genre 1+1=1,
genre on sait construire une tour qui va jusqu'au à la limite de ciel, il faut 4 mois pour arrive à tout grimper et on fait appel à des mineurs pour percer la voute céleste,
genre on a la visite d'extraterrestres et on ne comprend rien à ce qu'il nous veulent, ils sont juste là ,
genre, les golems animés par des noms inscrits, ça existe vraiment, il y a même toute une industrie très active basée là dessus (ce qui a remplacé la machine à vapeur et la révolution industrielle).
et ainsi de suite.
Un régal pour peu qu'on ai un petit bagage scientifique.
"Le pianiste déchaîné" de Kurt Vonnegut Jr.
un truc plus ancien, de science fiction mais toujours sans vaisseau spatial et casque noir, juste des grosse machine qui dans les années 50 on remplacer toute la masse ouvrière et fait des États-Unis un sorte de société ultra capitalise et communiste (tous ces sans-emplois sont d'office affecté soit à l'armée, soit à un service civil pour construire des routes et des ponts, tous le reste est au main d'ingénieurs et administrateurs dont leur seul mérite est d'avoir un bon QI. Tous est là pour une bonne lutte de classe et une révolution. Bon, c'est du vieux, écrit dans les années 50 mais ça reste plaisant et intéressant.
"Seul le silence", de R.J. Ellory
Une sordide histoire qui débute par le meurtre de petites filles dans la campagne américaine juste avant la seconde guerre mondiale et qui s'achèvera à New York bien des années plus tard.
Je compléterai la description plus tard mais je peux dire que c'était une déception. C'est bien écris, décrit et raconté, on rentre vite et complétement dans cette horrible affaire, on est avide de savoir, c'est parfait, mais tout à la fin, quand on apprend le qui de quoi on se dit juste "ah oui, bon, ben, et quoi c'est tout?".
Dommage, dommage. De plus l'auteur à cru bon d'ajouter un petit happy end pour son héro (qui en bave sérieusement pendant tout le bouquin).
"Samarcande" par Amin Maalouf
Ah je l'aime bien celui-là , pas encore terminé mais ça ne serait tarder. Le seul truc que je ne comprends, c'est pourquoi je ne l'ai pas lu plus tôt.
c'est l'histoire d'un livre, mais c'est avant ça l'histoire d'un homme, et d'un autre et d'un autre, et en fait de trois personnages importants au XIeme siècle en Perse (un gros: un philosophe, un chef d'état et un fondateur de sectes d'assassins, rien que ça).
Un grand voyage dans ces contrées lointaines et anciennes...
Dernière édition: 19/08/2010 @ 15:07:41
Aaaah les vacances, période propice à la lecteur de tout et n'importe quoi. C'est pour ça, comme à mon habitude, je me rends dans un magasin de livre piocher un peu au hasard et selon l'envie du moment (et en fonction de la vessie) des livres du magasin de livre que je vais lire. Et j'ai donc lu:
"La tour de Babylone" de Ted Chiang, ISBN 2-207-25456-9
Un recueil de nouvelles écrites entre 1990 et 2000. De la science fiction sans vaisseaux spatiaux, sans robot, sans pistolet laser, sans casque noir, que des idées et de la mise en pratique de chose impossible:
genre 1+1=1,
genre on sait construire une tour qui va jusqu'au à la limite de ciel, il faut 4 mois pour arrive à tout grimper et on fait appel à des mineurs pour percer la voute céleste,
genre on a la visite d'extraterrestres et on ne comprend rien à ce qu'il nous veulent, ils sont juste là ,
genre, les golems animés par des noms inscrits, ça existe vraiment, il y a même toute une industrie très active basée là dessus (ce qui a remplacé la machine à vapeur et la révolution industrielle).
et ainsi de suite.
Un régal pour peu qu'on ai un petit bagage scientifique.
"Le pianiste déchaîné" de Kurt Vonnegut Jr.
un truc plus ancien, de science fiction mais toujours sans vaisseau spatial et casque noir, juste des grosse machine qui dans les années 50 on remplacer toute la masse ouvrière et fait des États-Unis un sorte de société ultra capitalise et communiste (tous ces sans-emplois sont d'office affecté soit à l'armée, soit à un service civil pour construire des routes et des ponts, tous le reste est au main d'ingénieurs et administrateurs dont leur seul mérite est d'avoir un bon QI. Tous est là pour une bonne lutte de classe et une révolution. Bon, c'est du vieux, écrit dans les années 50 mais ça reste plaisant et intéressant.
"Seul le silence", de R.J. Ellory
Une sordide histoire qui débute par le meurtre de petites filles dans la campagne américaine juste avant la seconde guerre mondiale et qui s'achèvera à New York bien des années plus tard.
Je compléterai la description plus tard mais je peux dire que c'était une déception. C'est bien écris, décrit et raconté, on rentre vite et complétement dans cette horrible affaire, on est avide de savoir, c'est parfait, mais tout à la fin, quand on apprend le qui de quoi on se dit juste "ah oui, bon, ben, et quoi c'est tout?".
Dommage, dommage. De plus l'auteur à cru bon d'ajouter un petit happy end pour son héro (qui en bave sérieusement pendant tout le bouquin).
"Samarcande" par Amin Maalouf
Ah je l'aime bien celui-là , pas encore terminé mais ça ne serait tarder. Le seul truc que je ne comprends, c'est pourquoi je ne l'ai pas lu plus tôt.
c'est l'histoire d'un livre, mais c'est avant ça l'histoire d'un homme, et d'un autre et d'un autre, et en fait de trois personnages importants au XIeme siècle en Perse (un gros: un philosophe, un chef d'état et un fondateur de sectes d'assassins, rien que ça).
Un grand voyage dans ces contrées lointaines et anciennes...
Dernière édition: 19/08/2010 @ 15:07:41
Voilà des critiques
Publié le 19/08/2010 @ 15:00:56,
Par ClandestinoEn fait, on a plusieurs fois tenté de démarrer un topic "aujourd'hui, j'ai lu", mais il semblerait qu'outre toi, H2G2, bulle et moi, peu des honorés membres de cet estimé forum soient des littéraires
Voilà des critiques
Publié le 19/08/2010 @ 16:37:49,
Par chou_Effectivement. Il fut une époque où je dévorais pavé sur pavé, mais le temps me manque cruellement depuis un moment
ceci dit, j'aime bien lire les avis sur les lectures
my2cents
ceci dit, j'aime bien lire les avis sur les lectures
my2cents
Voilà des critiques
Publié le 19/08/2010 @ 18:57:32,
Par SchnickJe lis également un livre par semaine donc je suis toujours preneur d'avis aussi
La mort, c'est un peu comme une connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort. Ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c'est pareil. Philippe Geluck