Le Fosdem 2005 terminait cette année par une conférence sur les problèmes de licence GPL, sur les limitations et les extensions de la licence, sur les problèmes rencontrés et sur les sociétés qui ont déjà violé la licence par le passé.
Parmis les entreprises ayant violé du code sous licence GPL, ici l'exemple était sur le code netfilter/iptable, on retrouve entre autre les sociétés Siemens, Linksys, Belkin, D-Link, ... Plus de 25 sociétés étaient citées par le conférencier, et pas des moindres. En pratique, quasi toutes les firmes qui commercialisent des produits WiFi ont un jour violé la licence GPL! Tout est rentré dans l'ordre dans la plupart des cas, mais certains procès sont toujours en cours en Allemagne!
Dans le même sujet, on peut signaler que le projet Miranda a lui aussi été victime d'un abus de sa licence. Une société peu scrupuleuse utilise en effet une copie de ses sources pour distribuer une version compilée de Miranda en y incluant un logiciel espion. Star Messenger (/!\ Logiciel Espion inclut dans l'exécutable!), c'est son nom, et même si les sources sont publiées, elles ne sont pas complètes et ne permettent pas de recompiler le projet, qui n'a d'ailleurs pas été modifié. Un bel exemple d'abus de licence GPL...
Parmis les entreprises ayant violé du code sous licence GPL, ici l'exemple était sur le code netfilter/iptable, on retrouve entre autre les sociétés Siemens, Linksys, Belkin, D-Link, ... Plus de 25 sociétés étaient citées par le conférencier, et pas des moindres. En pratique, quasi toutes les firmes qui commercialisent des produits WiFi ont un jour violé la licence GPL! Tout est rentré dans l'ordre dans la plupart des cas, mais certains procès sont toujours en cours en Allemagne!
Dans le même sujet, on peut signaler que le projet Miranda a lui aussi été victime d'un abus de sa licence. Une société peu scrupuleuse utilise en effet une copie de ses sources pour distribuer une version compilée de Miranda en y incluant un logiciel espion. Star Messenger (/!\ Logiciel Espion inclut dans l'exécutable!), c'est son nom, et même si les sources sont publiées, elles ne sont pas complètes et ne permettent pas de recompiler le projet, qui n'a d'ailleurs pas été modifié. Un bel exemple d'abus de licence GPL...
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Commentaires
antp:
Les violations de la licence GPL?
Il y avait eu aussi plusieurs (!) programmes commerciaux propriétaires dérivés du logiciel Spamihilator, sous licence GPL à l'époque. Ce logiciel est repassé en freeware au lieu de GPL car l'auteur a été déçu du peu d'aide reçu par la communauté du libre lors de cette affaire, si ma mémoire est bonne.