Publié le 05/02/2008 Dans PlayStation 3
Changement d'orientation
Burnout revient dans un nouvel épisode, le premier sur PlayStation 3, développé par les équipes de Criterions. Ce volet a comme pour leitmotiv la prise de risque et le talent de pilotage, dans un ville nommée Paradise City. Et c'est l'un des grands changements apportés par Burnout Paradise : Exit les circuits fermés, tout se déroule en ville, à l'instar des anciens épisodes de Need for Speed. N'allez pas croire que le titre se soit adouci, au contraire le traffic a encore gagné en intensité, et un système de points sera là pour noter votre progression. Naturellement rouler en sens inverse ou froler les voitures adverses rapportent davantage que de conduire tout pépère sur la route.
La progression reste toutefois très encadrée et on évitera de tourner des heures en ville avant de trouver sa prochaine destination. Les courses sont d'ailleurs séparées en plusieurs classes et vous pourrez y accèder en pressant les gâchettes L2 et R2 lors de la partie. La première correspond à la course classique où l'objectif est de gagner l'arrivée en tête (notez cependant que vous pouvez emprunter la route que vous souhaitez pour remporter cet objectif), les Road Rage où là vous devez détruire la voiture de l'adversaire, quitte à en faire une sculpture digne de Rodin. Dans d'autres modes vous jouerez au jeu du chat et de la souris (vous êtes la cible et tous les concurrents ont comme objectif d'exploser votre voiture), ou encore certains passages seront limités en temps (la prise de risque devra être maximum). Bon point, les chargements sont invisibles.
Retour du mode Crash
Heureusement vous pourrez toujours vous servir du trafic pour pièger vos adversaires. On pousse une voiture pour bloquer le passage ou pour ouvrir un passage secret, ou alors on enchaine les combos incisifs. Il y a de quoi faire, et EA a réintroduit le mode Crash qui avait disparu dans Burnout Dominator. Il a d'ailleurs été renforcé puisqu'ici vous pouvez désormais faire des combos, la voiture restant toujours contrôlable après un collision. L'objectif est d'alors percuter d'autres véhicules afin de détruire le plus de voitures possibles. Cela peut durer un bon quart d'heure.
On dénombre également de multiples nouvelles voitures, chacune disposant de capacités dinsctinctes. Les nouvelles courses vous entraîneront du centre de la ville, en passant par leur coeur de la campagne. Il y a en pour tout les gouts et pas mal de contenu sera à débloquer.
La PS3 en forme
Techniquement le jeu est impressionnant. Le visuel apparaît plus réaliste que Revenge un choix voulu par le développeur et qui est habilement concrétisé. L'animation est également excellente, pas un ralentissement à constater et une IA très efficace !
La jouabilité reste similaire à ses prédécesseurs donc immédiate. La durée de vie est colossale en solo avec nombre d'élements à débloquer. Pour le réseau, simplement accessible en cliquant sur la touche droite de la croix de direction, vous y découvrirez pléthore de défis (350 en tout), en versus ou en coopération. Enfin la bande son utilise une fois de plus l'EA Trax et colle plutôt bien à l'ambiance du jeu.
VERDICT
Burnout Paradise redynamise avec talent la série. Sa réalisation technique est plutôt flatteuse, les nouveautés intéressantes et le gameplay arcade toujours aussi accrocheur.
Burnout revient dans un nouvel épisode, le premier sur PlayStation 3, développé par les équipes de Criterions. Ce volet a comme pour leitmotiv la prise de risque et le talent de pilotage, dans un ville nommée Paradise City. Et c'est l'un des grands changements apportés par Burnout Paradise : Exit les circuits fermés, tout se déroule en ville, à l'instar des anciens épisodes de Need for Speed. N'allez pas croire que le titre se soit adouci, au contraire le traffic a encore gagné en intensité, et un système de points sera là pour noter votre progression. Naturellement rouler en sens inverse ou froler les voitures adverses rapportent davantage que de conduire tout pépère sur la route.
La progression reste toutefois très encadrée et on évitera de tourner des heures en ville avant de trouver sa prochaine destination. Les courses sont d'ailleurs séparées en plusieurs classes et vous pourrez y accèder en pressant les gâchettes L2 et R2 lors de la partie. La première correspond à la course classique où l'objectif est de gagner l'arrivée en tête (notez cependant que vous pouvez emprunter la route que vous souhaitez pour remporter cet objectif), les Road Rage où là vous devez détruire la voiture de l'adversaire, quitte à en faire une sculpture digne de Rodin. Dans d'autres modes vous jouerez au jeu du chat et de la souris (vous êtes la cible et tous les concurrents ont comme objectif d'exploser votre voiture), ou encore certains passages seront limités en temps (la prise de risque devra être maximum). Bon point, les chargements sont invisibles.
Retour du mode Crash
Heureusement vous pourrez toujours vous servir du trafic pour pièger vos adversaires. On pousse une voiture pour bloquer le passage ou pour ouvrir un passage secret, ou alors on enchaine les combos incisifs. Il y a de quoi faire, et EA a réintroduit le mode Crash qui avait disparu dans Burnout Dominator. Il a d'ailleurs été renforcé puisqu'ici vous pouvez désormais faire des combos, la voiture restant toujours contrôlable après un collision. L'objectif est d'alors percuter d'autres véhicules afin de détruire le plus de voitures possibles. Cela peut durer un bon quart d'heure.
On dénombre également de multiples nouvelles voitures, chacune disposant de capacités dinsctinctes. Les nouvelles courses vous entraîneront du centre de la ville, en passant par leur coeur de la campagne. Il y a en pour tout les gouts et pas mal de contenu sera à débloquer.
La PS3 en forme
Techniquement le jeu est impressionnant. Le visuel apparaît plus réaliste que Revenge un choix voulu par le développeur et qui est habilement concrétisé. L'animation est également excellente, pas un ralentissement à constater et une IA très efficace !
La jouabilité reste similaire à ses prédécesseurs donc immédiate. La durée de vie est colossale en solo avec nombre d'élements à débloquer. Pour le réseau, simplement accessible en cliquant sur la touche droite de la croix de direction, vous y découvrirez pléthore de défis (350 en tout), en versus ou en coopération. Enfin la bande son utilise une fois de plus l'EA Trax et colle plutôt bien à l'ambiance du jeu.
VERDICT
Burnout Paradise redynamise avec talent la série. Sa réalisation technique est plutôt flatteuse, les nouveautés intéressantes et le gameplay arcade toujours aussi accrocheur.