Alan Ralsky, 64 ans, et ses quatre complices sont accusés par le ministère de la Justice de fraude e-mail, de fraude informatique, de fraude postale, de fraude téléphonique et de blanchiment d'argent. L'arnaque aurait rapporté aux cinq hommes environ 3 millions de dollars entre janvier 2004 et septembre 2005 (soit 2,25 millions d'euros à l'époque). Les accusés pourraient devoir payer 1 million de dollars d'amendes. Ce procès résulte d'une enquête de 3 ans menée par le FBI.
Intronisé "roi du spam" par les médias américains, Alan Ralsky, qui a décidé de plaider coupable, risque jusqu'à 7 ans de prison. Cette fraude financière consiste à vanter le potentiel en bourse à court terme d'une entreprise cotée, en effectuant des envois de mails massifs. Ce qui crée en conséquence une demande artificielle sur cette action, boostant alors son cours. Les fraudeurs peuvent alors revendre leurs actions au prix fort, avant qu'elles reviennent à un cours normal. Le verdic est attendu pour le 29 octobre prochain.
Intronisé "roi du spam" par les médias américains, Alan Ralsky, qui a décidé de plaider coupable, risque jusqu'à 7 ans de prison. Cette fraude financière consiste à vanter le potentiel en bourse à court terme d'une entreprise cotée, en effectuant des envois de mails massifs. Ce qui crée en conséquence une demande artificielle sur cette action, boostant alors son cours. Les fraudeurs peuvent alors revendre leurs actions au prix fort, avant qu'elles reviennent à un cours normal. Le verdic est attendu pour le 29 octobre prochain.
Plus d'actualités dans cette catégorie