Verily (ex Google Life Science), la filiale spécialisée dans la santé de Google, ambitionne de déterminer les signes avant-coureurs des maladies avec une étude de grande ampleur annoncée mercredi, qui va suivre environ 10.000 personnes durant plusieurs années. L'étude, baptisée "Project Baseline" et réalisée en partenariat avec les universités de Duke et Stanford, dit vouloir réaliser "une carte de la santé humaine" en accumulant un large éventail de données médicales, comportementales ou même génétiques sur les participants.
Elle va notamment pour cela leur faire porter au quotidien un appareil connecté au poignet ainsi que d'autres capteurs. Le suivi passera aussi par des visites cliniques régulières ainsi que des questionnaires et enquêtes interactifs sur smartphones ou ordinateurs. Verily précise dans son communiqué qu'elle collectera des échantillons biologiques (sang, salive) et procédera à toute une série de mesures afin de collecter des données cliniques, physiques, environnementales, moléculaires et génétiques, des images médicales et des informations fournies par les participants eux-mêmes. La société dit vouloir ainsi établir une base de données de référence "qui puisse être utilisée pour mieux comprendre la transition entre la bonne santé et la maladie, et identifier des facteurs de risques additionnels pour les maladies". Elle dit notamment vouloir essayer de repérer des marqueurs biologiques avant-coureurs, signalant qu'une maladie cardiovasculaire ou un cancer est en train de se développer.
Elle va notamment pour cela leur faire porter au quotidien un appareil connecté au poignet ainsi que d'autres capteurs. Le suivi passera aussi par des visites cliniques régulières ainsi que des questionnaires et enquêtes interactifs sur smartphones ou ordinateurs. Verily précise dans son communiqué qu'elle collectera des échantillons biologiques (sang, salive) et procédera à toute une série de mesures afin de collecter des données cliniques, physiques, environnementales, moléculaires et génétiques, des images médicales et des informations fournies par les participants eux-mêmes. La société dit vouloir ainsi établir une base de données de référence "qui puisse être utilisée pour mieux comprendre la transition entre la bonne santé et la maladie, et identifier des facteurs de risques additionnels pour les maladies". Elle dit notamment vouloir essayer de repérer des marqueurs biologiques avant-coureurs, signalant qu'une maladie cardiovasculaire ou un cancer est en train de se développer.
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