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Clandestino
Der > "Les enfants perdus", de Crétonnerre, sur l'album "Tempête en Mare"
Dans le ventre de la forêt, pas très loin de La Folie
Dans les sapins et les muguets, on a réinventé la vie
On a des rires sans rivages et des amours pour toujours
On a détruit toutes les cages et jeté les armes dans la cour
On est les enfants perdus d’la corne du bois des pendus (bis)
On a des ivresses toutes douces comme les seins de nos sirènes
On navigue sur la grande ourse en compagnie des baleines
On a le biniou en fleur et les chants des zazous
La nuit quand le soleil pleure, nous on hurle avec les loups
(Refrain)
On habite des maisons basses, y a pas de portes, y a pas de clefs
On dit salut à celui qui passe, on boit un verre à sa santé
On a des fleurs étonnantes, elles ne font que pousser
Il faut dire que ça nous arrange, elles sont toutes bonnes à fumer
(Refrain)
On a des bordées sauvages, parfois on en devient fou
Mais celui qui est trop sage, ne sait jamais vraiment tout
On a des caresses chaudes, à faire fuir les culs-bénits
Il y a des soupirs qui rôdent à faire jouir les pissenlits
(Refrain)
On a les yeux de nos pères, on a nos doutes, nos colères
Regarde les étoiles et l’univers, y a pas de doute on est tous frères
Viens z’y donc y faire un tour, on habite juste à côté
Amène un verre, un peu d’amour, ensemble on pourra rêver
(Refrain)
Dans le ventre de la forêt, pas très loin de La Folie
Dans les sapins et les muguets, on a réinventé la vie
On a des rires sans rivages et des amours pour toujours
On a détruit toutes les cages et jeté les armes dans la cour
On est les enfants perdus d’la corne du bois des pendus (bis)
On a des ivresses toutes douces comme les seins de nos sirènes
On navigue sur la grande ourse en compagnie des baleines
On a le biniou en fleur et les chants des zazous
La nuit quand le soleil pleure, nous on hurle avec les loups
(Refrain)
On habite des maisons basses, y a pas de portes, y a pas de clefs
On dit salut à celui qui passe, on boit un verre à sa santé
On a des fleurs étonnantes, elles ne font que pousser
Il faut dire que ça nous arrange, elles sont toutes bonnes à fumer
(Refrain)
On a des bordées sauvages, parfois on en devient fou
Mais celui qui est trop sage, ne sait jamais vraiment tout
On a des caresses chaudes, à faire fuir les culs-bénits
Il y a des soupirs qui rôdent à faire jouir les pissenlits
(Refrain)
On a les yeux de nos pères, on a nos doutes, nos colères
Regarde les étoiles et l’univers, y a pas de doute on est tous frères
Viens z’y donc y faire un tour, on habite juste à côté
Amène un verre, un peu d’amour, ensemble on pourra rêver
(Refrain)