Se connecter
Se connecter
Inscription
Mot de passe perdu
Connexion:
[Actualités]
Test Winterlight - Where silence says it all (PS5) - Un retour aux sources diffi...
[Actualités]
Windows 11 a compromis la stabilité des cartes AMD Radeon
[Actualités]
Google Photos révolutionne l'éditeur vidéo : voici tout ce que vous devez savoir
[Actualités]
Chrome facilite désormais le remplissage des formulaires : portefeuille, docume...
[Actualités]
Adobe intègre Photoshop, Acrobat et Express à ChatGPT : une simplicité maxima...
[Actualités]
Donald Trump confond la 6G avec la 8K. Mais cela ne le dérange absolument pas.
[Actualités]
Huawei conçoit ses propres accélérateurs d'IA ; les États-Unis réagissent e...
[Actualités]
Ils veulent retirer Twitter à Musk. Une start-up s'apprête à reprendre la mar...
[Actualités]
Microsoft a promis d'optimiser Windows 11 pour les PC consoles portables
[Actualités]
MediaTek prévoit de lancer simultanément deux puces phares.
[Articles]
Bug livre 4
[Articles]
Winterlight - Where silence says it all
[Articles]
Bomb Kitten
[Articles]
Le Cercle
[Articles]
Les organisations à but non lucratif veulent adopter l’IA mais sont freinées...
[Articles]
Marvel Cosmic Invasion
[Articles]
La Nuit aux Loups tome 1
[Articles]
Rooster Fighter - Coq de Baston tome 8
[Articles]
Mamorukun ReCurse !
[Articles]
Fool Night tome 10
Actualités
Lettre d'information
Proposer une actualité
Archives
Actualités
Articles
Programmation
Press Release
Matériel
Logiciels
Livres
Interviews
Derniers commentaires
Jeux Vidéos
XBox One
XBox 360
Wii U
PSP
PS4
PS3
PC
DS
GameCube
3DS
Forum
Derniers messages
Informatique
Fun
Divers
Logithèque
Blogs
Divers
A Propos
Annonceurs
Contact
Recherche
RSS
Créer un nouveau sujet
forum_emoticons.html
[quote]Plus de cinq cents experts en cybersécurité, cryptographie et informatique de trente-quatre pays ont publié une lettre ouverte s'opposant fermement au projet de règlement européen Chat Control 2.0. Ils affirment que ce projet de règlement est techniquement irréalisable et ouvre la voie à une surveillance et une censure sans précédent. La lettre a été publiée juste avant la réunion du Conseil européen prévue le 12 septembre, et le vote final sur le règlement aura lieu le 14 octobre. Le projet exige que toutes les applications de messagerie instantanée, services de messagerie, plateformes cloud et fournisseurs de communications chiffrées de bout en bout analysent automatiquement les messages des utilisateurs, y compris les SMS, les photos et les vidéos. Les experts soulignent que de telles solutions sont incompatibles avec le principe du chiffrement de bout en bout, car elles nécessitent de falsifier le contenu du message avant son chiffrement. Selon les experts, les systèmes de détection de masse présentent de graves failles de sécurité susceptibles d'être exploitées par des cybercriminels ou des États hostiles. Un autre problème réside dans l'ampleur des erreurs générées par les algorithmes, qui, dans de nombreux cas, pourraient identifier des utilisateurs ordinaires comme des auteurs potentiels de crimes. Les auteurs de la lettre mettent en garde contre l'incapacité des outils d'intelligence artificielle et d'apprentissage automatique actuellement utilisés à identifier de manière fiable les contenus préjudiciables. Les algorithmes sont sujets à de nombreux faux positifs et faux négatifs. De plus, les individus diffusant sciemment des contenus illégaux peuvent facilement contourner les systèmes de détection, tandis que les utilisateurs ordinaires s'exposent à de fausses accusations et à des enquêtes infondées. Plusieurs pays, dont l'Autriche, la Belgique, les Pays-Bas et la Finlande, ont déjà exprimé leur opposition au règlement. Cependant, l'Allemagne, qui n'a pas encore présenté de position définitive, pourrait jouer un rôle clé. L'opposition ou l'abstention de Berlin pourrait bloquer le projet de loi si elle rejoint d'autres pays dans une minorité de blocage. En pratique, cela signifie que l'avenir de la vie privée en Europe dépend en grande partie de la décision d'un seul pays. Le projet de règlement vise à lutter contre la diffusion de contenus pédopornographiques en ligne. Le mécanisme d'application consiste à analyser le contenu côté utilisateur avant de le chiffrer. Les critiques affirment que la loi viole les droits fondamentaux inscrits dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. Les avocats qui conseillent les institutions européennes soulignent que ces dispositions sont disproportionnées et pourraient être contestées devant les tribunaux. Les tribunaux allemands ont déjà invalidé des lois sur la conservation massive des données, ce qui laisse espérer aux opposants au Chat Control un résultat similaire. %news:source%: [url=news_item-40850.html]news_item-40850.html[/url] [/quote]
Ada
CSS
Cobol
CPP
HTML
Fortran
Java
JavaScript
Pascal
Perl
PHP
Python
SQL
VB
XML
Anon URL
DailyMotion
eBay
Flickr
FLV
Google Video
Google Maps
Metacafe
MP3
SeeqPod
Veoh
Yahoo Video
YouTube
6px
8px
10px
12px
14px
16px
18px
Informaticien.be
- © 2002-2025
Akretio
SPRL - Generated via
Kelare
The Akretio Network:
Akretio
-
Freedelity
-
KelCommerce
-
Votre publicité sur informaticien.be ?