
Elle apparaît en net contraste avec les récents déboires de Huawei aux Etats-Unis, où un ambitieux projet de partenariat avec l'opérateur américain AT&T est tombé à l'eau en janvier, des élus du Congrès ayant dénoncé des risques "d'espionnage" liés au groupe chinois.
Mais le groupe chinois, géant planétaire des équipements télécoms et 3e fabricant mondial de smartphones, est au Royaume-Uni en terrain plus favorable. Huawei assure avoir déjà dépensé au total 2 milliards de livres depuis 2013 en Grande-Bretagne, où il emploie quelque 1.500 personnes, et où il est associé aux opérateurs BT Group et Vodafone.
