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Attention, ce sujet est un sujet ancien (4317 jours sans réponse)
Oui mais non: j'ai juste donné mon petit avis personnel (un peu tartiné, il est vrai), le but d'un forum est aussi de récolter d'autres avis (pourquoi pas contraires), je ne voudrais pas passer pour un coach ou mentor ou faire croire que j'ai le monopole du bon sens sur la question... 
J'ai un peu du mal à dégager de réèlles questions dans ton dernier message: je reprends juste les thèmes abordés donc.
Les langues: le Français correct, c'est bien.
L'anglais, c'est vital, c'est LA langue IT.
Le NL: alors là typiquement je suis la mauvais personne pour en parler parce que je suis très peu nuancé pour le moment. Je fais encore partie de la génération à qui on répétait à l'école que pour travailler en Belgique il fallair parler le NL.
Ce qui doit être à peu près vrai si:
- on compte travailler dans toute la Belgique.
- on travaille dans n'importe quoi d'autre que l'ITC.
C'est assez brutal et partiellement faux, mais ce qui commence à me les buriner sévère c'est le petit côté 'prosterné' ou 'complexe d'infériorité' et autre 'les flamands parlent bien mieux français que nous ne parlons flamand' (sans doute vrai, mais c'est une question de survie pour eux, pas pour nous)
Ce qui est vrai par contre, c'est que cette bêtise est tellement passée dans les moeurs, que l'interviewer va tout d'un coup switcher en NL, avec un air grondeur et mal-à-l'aise; ce qui est encore plus vrai, c'est qu'avec un niveau scolaire, un accent correct et 2-3 phrases préparées, tu peux prétendre au trilinguisme...et ne plus jamais avoir besoin du NL après. Si cela peut faire la différence dans un recrutement, ce serait bête de ne pas avoir cet atout. Après si ton niveau est déjà passable, je n'investirais plus trop là dedans... mes plus belles expressions NL je les ai apprises sur le tas!
Formations: là non plus je ne passerais pas trop de temps/énergie/argent à collectionner les formations. Une autre bêtise consiste aussi à regarder tes années d'expériences au compteur, toutes activités confondues. Il y a un moment il vaut donc mieux commencer à bosser, quite à faire 'qqchose' en IT que tu pourras valoriser sur ton CV. Il y a aussi le danger d'apprendre des trucs qui ne te serviront jamais et ça seul ton chemin professionel pourra te le faire savoir (c'est pas très grave mais pas plus grande frustration c'est d'avoir étudié un tas de trucs passionants et....de ne jamais m'en servir et d'avoir tout oublié)
Il doit exister un 'break event' point où le nombre de formation et bagages ne servent plus vraiment de levier à la négociation de ton contrat/package/niveau de départ: très vite on te fera comprendre que l'un dans l'autre, tu restes un 'junior' et que tu dois tout apprendre, même (surtout) si tu as plus de diplômes que ton recruteur.
Le top évidemment c'est de commencer qqpart où tu apprends à la fois sur le boulot mais aussi de bénéficier d'un budget de formations: c'est ton employeur qui te paye alors tous ces très chers trainings.
Et c'est certainement quelque chose de très bien vu que de faire part de ta motivation à apprendre et à suivre des formations (parfois en dehors des heures de boulot)
Quite à me répéter: avec ce que tu as déjà sous le bras (et dans la tête), je me lancerais tout doucement sur le marché de l'emploi. Malgré la crise, nous sommes ici dans un secteur qui traverse plutôt bien la tempête et tu as déjà les quelques mots clés qui ouvrent (parfois de manière absurde et navrante, il est vrai) déjà pas mal de portes.
J'y vois plusieurs avantage: tu sera déjà rémunéré, pour apprendre, tu lance ton compteur à expérience et si tu te débrouilles bien, tu pourras suivre des formations payées par l'employeur. Déjà passer quelques interviews, prendre la température, etc... je dis pas de commencer la semaine prochaine, mais si tu fais comme moi une peu la fine bouche, cela prendra du temps pour trouver qqchose de chouette, autant commencer vite.
J'ai un peu du mal à dégager de réèlles questions dans ton dernier message: je reprends juste les thèmes abordés donc.
Les langues: le Français correct, c'est bien.
L'anglais, c'est vital, c'est LA langue IT.
Le NL: alors là typiquement je suis la mauvais personne pour en parler parce que je suis très peu nuancé pour le moment. Je fais encore partie de la génération à qui on répétait à l'école que pour travailler en Belgique il fallair parler le NL.
Ce qui doit être à peu près vrai si:
- on compte travailler dans toute la Belgique.
- on travaille dans n'importe quoi d'autre que l'ITC.
C'est assez brutal et partiellement faux, mais ce qui commence à me les buriner sévère c'est le petit côté 'prosterné' ou 'complexe d'infériorité' et autre 'les flamands parlent bien mieux français que nous ne parlons flamand' (sans doute vrai, mais c'est une question de survie pour eux, pas pour nous)
Je ne veux pas tomber ici dans les débats populistes bcp trop alimenté par le journalisme séparatiste (RTBF, LeSoir,...) qui en nourri son audimate et ses rotatives (une page par jour là dessus pour le moment!)
Allez, une petite pour la route: en Belgique, il n'y a qu'une langue nationale: le flamand. Les 2 autres langues sont ...internationales.
Allez, une petite pour la route: en Belgique, il n'y a qu'une langue nationale: le flamand. Les 2 autres langues sont ...internationales.
Ce qui est vrai par contre, c'est que cette bêtise est tellement passée dans les moeurs, que l'interviewer va tout d'un coup switcher en NL, avec un air grondeur et mal-à-l'aise; ce qui est encore plus vrai, c'est qu'avec un niveau scolaire, un accent correct et 2-3 phrases préparées, tu peux prétendre au trilinguisme...et ne plus jamais avoir besoin du NL après. Si cela peut faire la différence dans un recrutement, ce serait bête de ne pas avoir cet atout. Après si ton niveau est déjà passable, je n'investirais plus trop là dedans... mes plus belles expressions NL je les ai apprises sur le tas!
Formations: là non plus je ne passerais pas trop de temps/énergie/argent à collectionner les formations. Une autre bêtise consiste aussi à regarder tes années d'expériences au compteur, toutes activités confondues. Il y a un moment il vaut donc mieux commencer à bosser, quite à faire 'qqchose' en IT que tu pourras valoriser sur ton CV. Il y a aussi le danger d'apprendre des trucs qui ne te serviront jamais et ça seul ton chemin professionel pourra te le faire savoir (c'est pas très grave mais pas plus grande frustration c'est d'avoir étudié un tas de trucs passionants et....de ne jamais m'en servir et d'avoir tout oublié)
Il doit exister un 'break event' point où le nombre de formation et bagages ne servent plus vraiment de levier à la négociation de ton contrat/package/niveau de départ: très vite on te fera comprendre que l'un dans l'autre, tu restes un 'junior' et que tu dois tout apprendre, même (surtout) si tu as plus de diplômes que ton recruteur.
Le top évidemment c'est de commencer qqpart où tu apprends à la fois sur le boulot mais aussi de bénéficier d'un budget de formations: c'est ton employeur qui te paye alors tous ces très chers trainings.
Et c'est certainement quelque chose de très bien vu que de faire part de ta motivation à apprendre et à suivre des formations (parfois en dehors des heures de boulot)
Quite à me répéter: avec ce que tu as déjà sous le bras (et dans la tête), je me lancerais tout doucement sur le marché de l'emploi. Malgré la crise, nous sommes ici dans un secteur qui traverse plutôt bien la tempête et tu as déjà les quelques mots clés qui ouvrent (parfois de manière absurde et navrante, il est vrai) déjà pas mal de portes.
J'y vois plusieurs avantage: tu sera déjà rémunéré, pour apprendre, tu lance ton compteur à expérience et si tu te débrouilles bien, tu pourras suivre des formations payées par l'employeur. Déjà passer quelques interviews, prendre la température, etc... je dis pas de commencer la semaine prochaine, mais si tu fais comme moi une peu la fine bouche, cela prendra du temps pour trouver qqchose de chouette, autant commencer vite.
navre Jean-Christophe c'est vrai que je n'y avais pas pense c'est vrai que c'est plus judicieux 
Naast > A moins que tes questions ne soient vraiment personnelles, je t'invite à continuer ici.
De cette manière, les autres pourront réagir aussi et ça laisse la possibilité à ceux qui se poseraient les mêmes questions que toi de suivre le raisonnement de Bli et tes questions
De cette manière, les autres pourront réagir aussi et ça laisse la possibilité à ceux qui se poseraient les mêmes questions que toi de suivre le raisonnement de Bli et tes questions
Bonne année aussi: rendons la Treize heureuse ! 
Mais comme tu n'as pas écrit ce message (uniquement) pour revoir des bons voeux en échange, je me lance un peu.
Alors, même si les formations ne sont pas prédominantes sur ton avenir, ni une panacée, ni un passeport, elles restent un bon tremplin et "faire-valoire" pour une expérience moindre (ce qui semble être ton cas)
Avec le kilométrage, ce que tu "as fait" commence à peser plus que ce que tu "sais" ou a "appris".
Tu pourrais être à un genre de carrefour qui me paraîtrait à 3 branches (la quatrième étant celle d'où tu viens...dans ton dos)
a.) Une première piste est donc plus dans du "SysAdmin": (gros) mot qui devient un peu péjoratif quand il est pris pour le "concierge" du parc informatique d'une grosse boîte, métier qui pourtant offre des avantages, des connaissances et des challenges intéressants qu'on ne rencontre pas à d'autres étages.
Après, oui c'est vrai qu'il y a le risque de devoir 'reseter' le password de Janine de la comptabilité parce qu'elle a perdu le Post-It où elle l'avait noté.
Je pense à cela parce que tu as déjà fait des formations "larges" mais encore fort orientées logicielle et administration (Cisco, Linux), si tu y ajoute des formations Microsoft (peu importe laquelles des 2), tu t'enfonce un peu plus dans cette voie là je pense.
(-)Si ce n'est pas ton souhait, il faut faire un peu attention alors à ne pas t'enfermer dans une prison (certes dorée) à coup de certif/training trop "orientés" vers de telles technologie/software. (ex: j'ai du virer le mot SAP/ABAP de mon CV pour ne plus être approché par des chasseurs de tête à qui je dois répéter:"plus jamais cela", sauf si un jour je meurs de faim, mais j'ai de la marge)
(+)Si c'est une piste que tu envisage, continue avec une de ces certifications MS et saute directement à la page 325.
b.) La 2ème piste est plus orientée sécurité IT et réseau: de la config, à la gestion en passant par la technique.
(+) Si c'est ce que tu veux, tu as déjà du Cisco et du Linux, tu ajoutes à cela un bon CISSP, ou un peu d'ISO2700x avec un peu de pratique sur les poids lourds du milieu:Firewall, Juniper, CheckPoint et F5/BigIP.
(-) Si ce n'est vraiment pas ce que tu veux, tant pis, quoique tu fasses tu en boufferas quand-même un peu et c'est pas plus mal d'y avoir déjà un peu goûté de par tes formations précédentes, n'y mets simplement plus trop l'accent.
c.) C'est une voie beaucoup plus "business/gestion/management": je crois que tu ne te rends pas comtpe toutes les offres que tu peux chopper avec le mot ITILv3 sur ton CV.
C'est LE buzz word qu'on sert à toutes les sauces dans la consultance IT.
Et Dieu sait que c'est une connerie: c'est juste une guideline qui a le mérite d'exister, certes, mais qui fait cracher à la certification, l'homologation et finalement à la mise en conformité, sans oublié qu'il y a eu plusieurs version (je suis ITILv2, pfuuu, comme c'est out!!;o).
C'est beau, c'est lisse et c'est pratique: on sait mesurer où on (une société, un département IT,..) en est et on peut adapte. Après, le risque est d'essayer - comme un enfant sur un tapis de psychomotricité - d'enfoncer des cubes dans des ronds à force de vouloir tout adapter à du ITIL.
Ahem, je m'égare.
(+) Si vraiment tu n'as ni d'attrait pour la programmation, la configuration, ni l'administration, tu te trouves ici dans ce l'IT fait de plus lointain de la carte-mère d'un PC. Tu ajoutes du CMMi, un peu de SCRUM/AGILE et/ou PRINCE2 et tu gère rapidos des projets, du management et de la consultance IT.
(-) Si tu as quand même envie de faire un peu joujou avec de l'informatique, ceci va très vite te frustrer: c'est ici aussi le monde IT où l'on lit DataNews (au grand Max) et l'Echo, on pense donc qu'une tablette c'est un iPad et on ne jure que par le Cloud sans savoir que c'est un mot nouveau pour désigner qqchose d'aussi vieux que les 4 protocoles qui le fondent: NFS/FTP/SAMBA/RSYNC.
Alors, RUN FOR YOUR LIFE, BOY !
Cela dit, si c'est la voiture, le costume et les réunion café avec du N+1 de grosses banques qui te font triquer, alors j'ai classé ces 3 pistes dans l'ordre croissant.
Si c'est rester proche d'un clavier et quand-même un peu faire de l'informatique au sens noble du terme, alors c'est dans l'ordre décroissant.
Après, c'est réducteur à souhait et j'ai évidemment sur-caricaturé le tout pour un peu faire ressortir les tendances: fais ton chemin à toi et picore là où tu veux/peux.
Enfin je m'en voudrais de passer pour un codeur-fou qui crache sur tout ce qui porte une cravatte: y a clairement un réel besoin d'avoir aussi une directive transversale et de la bonne gestion de projet en IT comme partout. J'ai juste goûté à l'expérience de la consultance CIO/IT où j'ai fait plus de Excel/PowerPoint que de C++ et cela m'a frustré, c'était pas une expérience qui m'a tiré vers le haut.
Mais comme tu n'as pas écrit ce message (uniquement) pour revoir des bons voeux en échange, je me lance un peu.
Alors, même si les formations ne sont pas prédominantes sur ton avenir, ni une panacée, ni un passeport, elles restent un bon tremplin et "faire-valoire" pour une expérience moindre (ce qui semble être ton cas)
Avec le kilométrage, ce que tu "as fait" commence à peser plus que ce que tu "sais" ou a "appris".
Tu pourrais être à un genre de carrefour qui me paraîtrait à 3 branches (la quatrième étant celle d'où tu viens...dans ton dos)
a.) Une première piste est donc plus dans du "SysAdmin": (gros) mot qui devient un peu péjoratif quand il est pris pour le "concierge" du parc informatique d'une grosse boîte, métier qui pourtant offre des avantages, des connaissances et des challenges intéressants qu'on ne rencontre pas à d'autres étages.
Après, oui c'est vrai qu'il y a le risque de devoir 'reseter' le password de Janine de la comptabilité parce qu'elle a perdu le Post-It où elle l'avait noté.
Je pense à cela parce que tu as déjà fait des formations "larges" mais encore fort orientées logicielle et administration (Cisco, Linux), si tu y ajoute des formations Microsoft (peu importe laquelles des 2), tu t'enfonce un peu plus dans cette voie là je pense.
(-)Si ce n'est pas ton souhait, il faut faire un peu attention alors à ne pas t'enfermer dans une prison (certes dorée) à coup de certif/training trop "orientés" vers de telles technologie/software. (ex: j'ai du virer le mot SAP/ABAP de mon CV pour ne plus être approché par des chasseurs de tête à qui je dois répéter:"plus jamais cela", sauf si un jour je meurs de faim, mais j'ai de la marge)
(+)Si c'est une piste que tu envisage, continue avec une de ces certifications MS et saute directement à la page 325.
b.) La 2ème piste est plus orientée sécurité IT et réseau: de la config, à la gestion en passant par la technique.
(+) Si c'est ce que tu veux, tu as déjà du Cisco et du Linux, tu ajoutes à cela un bon CISSP, ou un peu d'ISO2700x avec un peu de pratique sur les poids lourds du milieu:Firewall, Juniper, CheckPoint et F5/BigIP.
(-) Si ce n'est vraiment pas ce que tu veux, tant pis, quoique tu fasses tu en boufferas quand-même un peu et c'est pas plus mal d'y avoir déjà un peu goûté de par tes formations précédentes, n'y mets simplement plus trop l'accent.
c.) C'est une voie beaucoup plus "business/gestion/management": je crois que tu ne te rends pas comtpe toutes les offres que tu peux chopper avec le mot ITILv3 sur ton CV.
C'est LE buzz word qu'on sert à toutes les sauces dans la consultance IT.
Et Dieu sait que c'est une connerie: c'est juste une guideline qui a le mérite d'exister, certes, mais qui fait cracher à la certification, l'homologation et finalement à la mise en conformité, sans oublié qu'il y a eu plusieurs version (je suis ITILv2, pfuuu, comme c'est out!!;o).
C'est beau, c'est lisse et c'est pratique: on sait mesurer où on (une société, un département IT,..) en est et on peut adapte. Après, le risque est d'essayer - comme un enfant sur un tapis de psychomotricité - d'enfoncer des cubes dans des ronds à force de vouloir tout adapter à du ITIL.
Ahem, je m'égare.
(+) Si vraiment tu n'as ni d'attrait pour la programmation, la configuration, ni l'administration, tu te trouves ici dans ce l'IT fait de plus lointain de la carte-mère d'un PC. Tu ajoutes du CMMi, un peu de SCRUM/AGILE et/ou PRINCE2 et tu gère rapidos des projets, du management et de la consultance IT.
(-) Si tu as quand même envie de faire un peu joujou avec de l'informatique, ceci va très vite te frustrer: c'est ici aussi le monde IT où l'on lit DataNews (au grand Max) et l'Echo, on pense donc qu'une tablette c'est un iPad et on ne jure que par le Cloud sans savoir que c'est un mot nouveau pour désigner qqchose d'aussi vieux que les 4 protocoles qui le fondent: NFS/FTP/SAMBA/RSYNC.
Alors, RUN FOR YOUR LIFE, BOY !
Cela dit, si c'est la voiture, le costume et les réunion café avec du N+1 de grosses banques qui te font triquer, alors j'ai classé ces 3 pistes dans l'ordre croissant.
Si c'est rester proche d'un clavier et quand-même un peu faire de l'informatique au sens noble du terme, alors c'est dans l'ordre décroissant.
Après, c'est réducteur à souhait et j'ai évidemment sur-caricaturé le tout pour un peu faire ressortir les tendances: fais ton chemin à toi et picore là où tu veux/peux.
Enfin je m'en voudrais de passer pour un codeur-fou qui crache sur tout ce qui porte une cravatte: y a clairement un réel besoin d'avoir aussi une directive transversale et de la bonne gestion de projet en IT comme partout. J'ai juste goûté à l'expérience de la consultance CIO/IT où j'ai fait plus de Excel/PowerPoint que de C++ et cela m'a frustré, c'était pas une expérience qui m'a tiré vers le haut.
