Publié le 31/12/2008 Dans PlayStation 2
Avec Infinite World, une page se tourne, puisque cet épisode est le dernier volet de DBZ à sortir sur la PlayStation 2. Développé par DIMPS, le titre reprend le gameplay des épisodes Budokai, dont le dernier volet était sorti en 2004 déjà . La jouabilité n'a pas subit de profonds bouleversements au cours des années, mais elle s'est enrichi de nouveaux coups et de nouvelles techniques de combat, déjà vu dans le volet Burst Limit sur PS3 et X360. La nouveauté vient de l'apparition de missions inspirés du manga dans le mode scénario, et qui reprend des personnages marquants comme le voyage chez Maître Kaioh, ou encore le mode d'emploi pour effectuer le Kaiohken. Néanmoins, on ne peut pas dire que ses phases en question soient passionnantes à jouer, loin de là , et parfois le délire des développeurs va assez loin pour nous proposer des mini-jeux dignes d'un mauvais party game.
Quant à l'aspect technique, DBZ Infinite World propose un cel shading assez correct, avec des personnages proches de l'anime, des décors destructibles et une animation plutôt fluide, soutenu par une jouabilité très grand public. Reste qu'on a déjà connu mieux sur la PS2, surtout avec Budokai Tenkaichi 3 qui alliait réalisation spectaculaire et contenu généreux, ce qui est loin d'être le cas du jeu, heureusement vendu à prix budget.
VERDICT
Décevant volet que ce Infinite World qui se contente de réutiliser les ficelles de la série Budokai avec un mode scénario au ras des paquerettes. La série méritait mieux, même si le contenu reste heureusement correct.
Quant à l'aspect technique, DBZ Infinite World propose un cel shading assez correct, avec des personnages proches de l'anime, des décors destructibles et une animation plutôt fluide, soutenu par une jouabilité très grand public. Reste qu'on a déjà connu mieux sur la PS2, surtout avec Budokai Tenkaichi 3 qui alliait réalisation spectaculaire et contenu généreux, ce qui est loin d'être le cas du jeu, heureusement vendu à prix budget.
VERDICT
Décevant volet que ce Infinite World qui se contente de réutiliser les ficelles de la série Budokai avec un mode scénario au ras des paquerettes. La série méritait mieux, même si le contenu reste heureusement correct.