Publié le 26/07/2013 Dans Proximus
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Résultats opérationnels : poursuite de la croissance de la base de clients pour la TV, l'internet, le postpaid mobile et les Packs
La stratégie de convergence et la qualité du réseau de Belgacom se sont avérées une fois encore être des atouts clés sur un marché très concurrentiel et en rapide évolution.
Belgacom a renforcé ses activités commerciales dans le domaine mobile au deuxième trimestre de 2013, exploitant la reprise encourageante enregistrée au cours du premier trimestre de 2013. Grâce à son offre tarifaire mobile simplifiée et attrayante soutenue par une subsidiation tactique de smartphones et des campagnes marketing plus nombreuses, Belgacom a considérablement augmenté sa base de clients postpaid mobiles. La base de clients pour la TV, l'internet et les Packs a, elle aussi, poursuivi sa croissance.
§ + 46.000 cartes mobiles (+128.000 postpaid, -82.000 prepaid), soit un total de 5.410.000 cartes mobiles (y compris les cartes mobiles voix et données vendues par les segments CBU, EBU, Tango, MVNO et SDE&W)
§ + 16.000 abonnements Belgacom TV, portant à 1.428.000 le nombre total de clients Belgacom TV
§ + 5.000 lignes internet fixes, soit une base totale de 1.652.000 clients internet
§ + 19.000 Packs multiplay, soit un total de 1.278.000 Packs
§ - 39.000 lignes fixes vocales, soit une base totale de 3.002.000 clients de la téléphonie fixe
Résultats financiers en bonne voie pour respecter les orientations pour l'ensemble de l'année
Pour le deuxième trimestre de 2013, le Groupe Belgacom affiche des revenus de l'ordre de 1,583 milliard, en baisse de 1,7 % en glissement annuel. Sur une base comparable, c'est-à -dire abstraction faite de l'ajustement comptable unique de 2012, les revenus du Groupe ont diminué de 2,5 %. Hormis les effets de la réglementation, les revenus du Groupe ont été principalement influencés par l’impact de la révision des tarifs mobiles, partiellement compensé par les solides revenus tirés des produits fixes et la croissance limitée des revenus de BICS.
Au deuxième trimestre de 2013, l'EBITDA du Groupe s'élève à 430 millions EUR, en baisse de 1,9 % par rapport à la même période de 2012. Sur une base comparable, c'est-à -dire abstraction faite de l'ajustement comptable unique de 2012, l'EBITDA du Groupe fléchit de 9 %. Outre les impacts réglementaires, la baisse d'EBITDA du Groupe reflète la pression sur la marge directe mobile ainsi qu'une hausse des coûts d'acquisition de clients dans le segment Consumer.
Au deuxième trimestre de 2013, Belgacom a investi 177 millions EUR, portant le CAPEX, fin juin 2013, à 370 millions EUR, soit 11,7 % des revenus du Groupe. Belgacom a notamment procédé à des investissements en vue d'accroître encore la vitesse et la capacité de ses réseaux fixe et mobile. Elle a également investi
dans des projets de simplification d'infrastructure IT et de réseau.
Au deuxième trimestre de 2013, Belgacom a généré un cash-flow libre de 47 millions EUR, soit 63 millions EUR de moins qu'à la même période de 2012. Cette évolution a été influencée par une différence de calendrier dans le paiement de l'impôt et la baisse de l'EBITDA, ces deux éléments étant toutefois partiellement compensés par une baisse des besoins de liquidités dans le fonds de roulement de base.
Didier Bellens, Administrateur Délégué de Belgacom :
«Je suis ravi d’annoncer que l’approche de Belgacom en vue de faire face aux perturbations affectant le marché mobile depuis octobre 2012 s’est révélée payante jusqu’à ce jour. Forts de la stabilisation des taux de désengagement du premier trimestre, nous nous sommes pleinement concentrés sur l’acquisition de clients mobiles au deuxième trimestre. Grâce à notre nouveau portefeuille mobile plus simple et attrayant lancé le 1er avril 2013, à la multiplication de nos campagnes marketing et à une subsidiation tactique de smartphones, nous avons repris du terrain et ramené dans le vert le nombre de clients supplémentaires nets mobiles. Dans l'intervalle, nos revenus mobiles ont grosso modo suivi la tendance du premier trimestre. Compte tenu de la pression sur les marges mobiles, nous avons finalement bien géré notre base de coûts. Nous poursuivrons dans cette voie à l'avenir.
À la lumière des résultats opérationnels et financiers actuels, nous réitérons en toute confiance nos prévisions pour l’année 2013.»
La stratégie de convergence et la qualité du réseau de Belgacom se sont avérées une fois encore être des atouts clés sur un marché très concurrentiel et en rapide évolution.
Belgacom a renforcé ses activités commerciales dans le domaine mobile au deuxième trimestre de 2013, exploitant la reprise encourageante enregistrée au cours du premier trimestre de 2013. Grâce à son offre tarifaire mobile simplifiée et attrayante soutenue par une subsidiation tactique de smartphones et des campagnes marketing plus nombreuses, Belgacom a considérablement augmenté sa base de clients postpaid mobiles. La base de clients pour la TV, l'internet et les Packs a, elle aussi, poursuivi sa croissance.
§ + 46.000 cartes mobiles (+128.000 postpaid, -82.000 prepaid), soit un total de 5.410.000 cartes mobiles (y compris les cartes mobiles voix et données vendues par les segments CBU, EBU, Tango, MVNO et SDE&W)
§ + 16.000 abonnements Belgacom TV, portant à 1.428.000 le nombre total de clients Belgacom TV
§ + 5.000 lignes internet fixes, soit une base totale de 1.652.000 clients internet
§ + 19.000 Packs multiplay, soit un total de 1.278.000 Packs
§ - 39.000 lignes fixes vocales, soit une base totale de 3.002.000 clients de la téléphonie fixe
Résultats financiers en bonne voie pour respecter les orientations pour l'ensemble de l'année
Pour le deuxième trimestre de 2013, le Groupe Belgacom affiche des revenus de l'ordre de 1,583 milliard, en baisse de 1,7 % en glissement annuel. Sur une base comparable, c'est-à -dire abstraction faite de l'ajustement comptable unique de 2012, les revenus du Groupe ont diminué de 2,5 %. Hormis les effets de la réglementation, les revenus du Groupe ont été principalement influencés par l’impact de la révision des tarifs mobiles, partiellement compensé par les solides revenus tirés des produits fixes et la croissance limitée des revenus de BICS.
Au deuxième trimestre de 2013, l'EBITDA du Groupe s'élève à 430 millions EUR, en baisse de 1,9 % par rapport à la même période de 2012. Sur une base comparable, c'est-à -dire abstraction faite de l'ajustement comptable unique de 2012, l'EBITDA du Groupe fléchit de 9 %. Outre les impacts réglementaires, la baisse d'EBITDA du Groupe reflète la pression sur la marge directe mobile ainsi qu'une hausse des coûts d'acquisition de clients dans le segment Consumer.
Au deuxième trimestre de 2013, Belgacom a investi 177 millions EUR, portant le CAPEX, fin juin 2013, à 370 millions EUR, soit 11,7 % des revenus du Groupe. Belgacom a notamment procédé à des investissements en vue d'accroître encore la vitesse et la capacité de ses réseaux fixe et mobile. Elle a également investi
dans des projets de simplification d'infrastructure IT et de réseau.
Au deuxième trimestre de 2013, Belgacom a généré un cash-flow libre de 47 millions EUR, soit 63 millions EUR de moins qu'à la même période de 2012. Cette évolution a été influencée par une différence de calendrier dans le paiement de l'impôt et la baisse de l'EBITDA, ces deux éléments étant toutefois partiellement compensés par une baisse des besoins de liquidités dans le fonds de roulement de base.
Didier Bellens, Administrateur Délégué de Belgacom :
«Je suis ravi d’annoncer que l’approche de Belgacom en vue de faire face aux perturbations affectant le marché mobile depuis octobre 2012 s’est révélée payante jusqu’à ce jour. Forts de la stabilisation des taux de désengagement du premier trimestre, nous nous sommes pleinement concentrés sur l’acquisition de clients mobiles au deuxième trimestre. Grâce à notre nouveau portefeuille mobile plus simple et attrayant lancé le 1er avril 2013, à la multiplication de nos campagnes marketing et à une subsidiation tactique de smartphones, nous avons repris du terrain et ramené dans le vert le nombre de clients supplémentaires nets mobiles. Dans l'intervalle, nos revenus mobiles ont grosso modo suivi la tendance du premier trimestre. Compte tenu de la pression sur les marges mobiles, nous avons finalement bien géré notre base de coûts. Nous poursuivrons dans cette voie à l'avenir.
À la lumière des résultats opérationnels et financiers actuels, nous réitérons en toute confiance nos prévisions pour l’année 2013.»