À chaque jour sa polémique pour Facebook, dont le patron fondateur Mark Zuckerberg essuie un feu nourri de critiques pour son refus de bannir les négationnistes du réseau social. Dans un entretien accordé mercredi au site spécialisé Recode, il a indiqué qu'il ne comptait pas censurer des propos qui auraient été tenus, selon lui, «sincèrement».
«Je suis juif et il y a des personnes qui nient l'existence de l'Holocauste. Je trouve cela très choquant. Mais au bout du compte, je ne crois pas que notre plateforme doive supprimer ce genre de propos parce que je pense qu'il y a des choses sur lesquelles certaines personnes se trompent».
Aux États-Unis, révisionnisme et négationnisme ne sont pas interdits par la loi et la jurisprudence tend à les placer sous la protection du premier amendement de la Constitution, qui garantit la liberté d'expression. Dans de nombreux États européens, en revanche, des propos révisionnistes ou négationnistes sont passibles de poursuites pénales.
«Je suis juif et il y a des personnes qui nient l'existence de l'Holocauste. Je trouve cela très choquant. Mais au bout du compte, je ne crois pas que notre plateforme doive supprimer ce genre de propos parce que je pense qu'il y a des choses sur lesquelles certaines personnes se trompent».
Aux États-Unis, révisionnisme et négationnisme ne sont pas interdits par la loi et la jurisprudence tend à les placer sous la protection du premier amendement de la Constitution, qui garantit la liberté d'expression. Dans de nombreux États européens, en revanche, des propos révisionnistes ou négationnistes sont passibles de poursuites pénales.
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