Publié le 16/12/2008 Dans PC
GTA 2000
Nous revoici donc dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III (PS2/PC/Xbox) et GTA Liberty City Stories (PS2/PSP), mais l'intrigue se déroule ici un peu plus tard. Niko Bellic, un immigré d’Europe de l’Est, essaie de laisser son passé derrière lui pour tenter sa chance à Liberty City. Mais la métropole montre très vite son vrai visage et Niko est comme aspiré dans ses plus sombres dessous, là où les voleurs, escrocs, criminels en col blanc et gangsters violents font la loi. La mission du joueur consiste à faire en sorte que Niko survive dans la jungle tentaculaire de Liberty City. Et ce, de gré ou de force…
Mais vous n’êtes pas venu à Liberty City uniquement pour vous amuser. En effet, Niko est à la recherche de la personne qui l’a trahi pendant la guerre en ex-Yougoslavie. Son esprit ne sera pas apaisé tant qu’il n’aura pas assouvi sa soif de vengeance. Au fil de l’histoire, vous ferez la rencontre d'une foule de personnages plus pittoresques les uns que les autres. Comme Roman Bellic, le cousin de Niko, qui gère tant bien que mal une société de taxis et entre en contact, de manière malheureuse, avec la pègre. Ce cousin assez porté sur la bouteille, seul Niko peut le protéger du danger qui le guette, ou du moins essayer. Vous découvrirez également Vlad Glebov, un gangster prétentieux qui ne recule devant rien. Tous ces personnages prennent vie à mesure que l’histoire se déroule au moyen de petits films parfaitement intégrés dans le jeu. Des acteurs professionnels leur ont prêté leur voix.
Une ville importante.
Comme à l'accoutumée, le « free roaming gameplay » occupe une fois encore une place centrale. Ce concept offre la possibilité de découvrir la ville en toute liberté pour gagner de l’argent comme vous l’entendez et exécuter une foule de tâches lucratives qui vous permettront de monter sans cesse plus haut sur l'échelle de la criminalité. Bien que la liberté soit le maître-mot du gameplay, le jeu s’articule autour d’un récit composé d’une série de missions principales et secondaires, allant de pratiques « innocentes », telles que le déplacement de voitures volées, à des « actes criminels plus lourds », tels que racket et meurtres. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré. Et comme Liberty City est une reproduction de New York, vous pourrez y découvrir pas mal de monuments célèbres.
Le renouveau de GTA
Techniquement parlant, GTA IV fait plaisir à voir. Le nouveau moteur 3D autorise bien des folies comparés aux précédents opus PC. Ainsi, les gens dans la rue réagissent à tous les événements et à cela s'ajoute un cycle jour-nuit complet, la vie quotidienne s'adaptant au moment de la journée. Sur le plan graphique, Grand Theft Auto IV porte le genre à des sommets encore jamais atteints. Il suffit pour s'en convaincre de regarder les captures d’écrans. Mais cela ne remplace pas pour autant le jeu en tant que tel, qui reste la seule façon de se rendre véritablement compte de la qualité. Malgré tout, on regrettera la présence de nombreux bugs, les plus genants étant le retour au bureau de Windows, le crashage pur et simple de l'ordinateur, ou l'ordinateur qui sature en mémoire même une fois GTA IV quitté (et oblige à redémarrer).
Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours, encore plus sur PC, et il faut une configuration impressionnante pour que le jeu tourne à peu près bien. Il y a beaucoup de temps de chargements, et quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, même en voiture, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions. On notera en particulier un nouveau système qui permet de se mettre à l’abri en une seule pression de bouton. La nette amélioration du système de direction fait elle aussi partie des adaptations majeures. Ainsi, il est désormais possible de tirer de façon ciblée à partir de véhicules. Les éléments de jeu de rôles de GTA San Andreas, ne sont pour la plupart pas repris dans cet opus. Mais il reste quand même possible de donner un nouvel équipement à Niko.
La durée de vie est assez importante. Compter un minimum de 40h pour le finir. Et encore, vous aurez toujours envie d'aller déambuler dans les villes pour ne rien faire. Du contenu téléchargeable devrait également apparaître bientôt. Grand Theft Auto IV intègre également un mode multi-joueurs en ligne officiel (jusqu'à 32 sur PC, contre 16 sur consoles), grâce auquel vous pouvez vous affronter dans le cadre d'un deathmatch classique, d'un team deathmatch, de cops and robbers, de courses poursuites, pour n’en citer que quelques-uns (16 modes au total). Par ailleurs, le jeu permet également de réaliser plusieurs missions en mode coopératif et la nouvelle fonction d'éditeur de vidéos permet de jouer les apprentis réalisateur en pressant F2.
Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans une voiture comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptés et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
Surprenant, inventif, différent, ambitieux, les qualificatifs ne manquent pas pour désigner cette quatrième version de GTA. Un titre incontournable mais qui reste pas mal buggé pour le moment sur PC, et surtout mal optimisé.
Nous revoici donc dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III (PS2/PC/Xbox) et GTA Liberty City Stories (PS2/PSP), mais l'intrigue se déroule ici un peu plus tard. Niko Bellic, un immigré d’Europe de l’Est, essaie de laisser son passé derrière lui pour tenter sa chance à Liberty City. Mais la métropole montre très vite son vrai visage et Niko est comme aspiré dans ses plus sombres dessous, là où les voleurs, escrocs, criminels en col blanc et gangsters violents font la loi. La mission du joueur consiste à faire en sorte que Niko survive dans la jungle tentaculaire de Liberty City. Et ce, de gré ou de force…
Mais vous n’êtes pas venu à Liberty City uniquement pour vous amuser. En effet, Niko est à la recherche de la personne qui l’a trahi pendant la guerre en ex-Yougoslavie. Son esprit ne sera pas apaisé tant qu’il n’aura pas assouvi sa soif de vengeance. Au fil de l’histoire, vous ferez la rencontre d'une foule de personnages plus pittoresques les uns que les autres. Comme Roman Bellic, le cousin de Niko, qui gère tant bien que mal une société de taxis et entre en contact, de manière malheureuse, avec la pègre. Ce cousin assez porté sur la bouteille, seul Niko peut le protéger du danger qui le guette, ou du moins essayer. Vous découvrirez également Vlad Glebov, un gangster prétentieux qui ne recule devant rien. Tous ces personnages prennent vie à mesure que l’histoire se déroule au moyen de petits films parfaitement intégrés dans le jeu. Des acteurs professionnels leur ont prêté leur voix.
Une ville importante.
Comme à l'accoutumée, le « free roaming gameplay » occupe une fois encore une place centrale. Ce concept offre la possibilité de découvrir la ville en toute liberté pour gagner de l’argent comme vous l’entendez et exécuter une foule de tâches lucratives qui vous permettront de monter sans cesse plus haut sur l'échelle de la criminalité. Bien que la liberté soit le maître-mot du gameplay, le jeu s’articule autour d’un récit composé d’une série de missions principales et secondaires, allant de pratiques « innocentes », telles que le déplacement de voitures volées, à des « actes criminels plus lourds », tels que racket et meurtres. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré. Et comme Liberty City est une reproduction de New York, vous pourrez y découvrir pas mal de monuments célèbres.
Le renouveau de GTA
Techniquement parlant, GTA IV fait plaisir à voir. Le nouveau moteur 3D autorise bien des folies comparés aux précédents opus PC. Ainsi, les gens dans la rue réagissent à tous les événements et à cela s'ajoute un cycle jour-nuit complet, la vie quotidienne s'adaptant au moment de la journée. Sur le plan graphique, Grand Theft Auto IV porte le genre à des sommets encore jamais atteints. Il suffit pour s'en convaincre de regarder les captures d’écrans. Mais cela ne remplace pas pour autant le jeu en tant que tel, qui reste la seule façon de se rendre véritablement compte de la qualité. Malgré tout, on regrettera la présence de nombreux bugs, les plus genants étant le retour au bureau de Windows, le crashage pur et simple de l'ordinateur, ou l'ordinateur qui sature en mémoire même une fois GTA IV quitté (et oblige à redémarrer).
Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours, encore plus sur PC, et il faut une configuration impressionnante pour que le jeu tourne à peu près bien. Il y a beaucoup de temps de chargements, et quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, même en voiture, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions. On notera en particulier un nouveau système qui permet de se mettre à l’abri en une seule pression de bouton. La nette amélioration du système de direction fait elle aussi partie des adaptations majeures. Ainsi, il est désormais possible de tirer de façon ciblée à partir de véhicules. Les éléments de jeu de rôles de GTA San Andreas, ne sont pour la plupart pas repris dans cet opus. Mais il reste quand même possible de donner un nouvel équipement à Niko.
La durée de vie est assez importante. Compter un minimum de 40h pour le finir. Et encore, vous aurez toujours envie d'aller déambuler dans les villes pour ne rien faire. Du contenu téléchargeable devrait également apparaître bientôt. Grand Theft Auto IV intègre également un mode multi-joueurs en ligne officiel (jusqu'à 32 sur PC, contre 16 sur consoles), grâce auquel vous pouvez vous affronter dans le cadre d'un deathmatch classique, d'un team deathmatch, de cops and robbers, de courses poursuites, pour n’en citer que quelques-uns (16 modes au total). Par ailleurs, le jeu permet également de réaliser plusieurs missions en mode coopératif et la nouvelle fonction d'éditeur de vidéos permet de jouer les apprentis réalisateur en pressant F2.
Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans une voiture comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptés et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
Surprenant, inventif, différent, ambitieux, les qualificatifs ne manquent pas pour désigner cette quatrième version de GTA. Un titre incontournable mais qui reste pas mal buggé pour le moment sur PC, et surtout mal optimisé.
Pour ma part je n'ai aucun problème pour le faire tourner:
CPU: E8500
RAM: 4Go
GPU: 9800GT
C'est ma carte graphique qui est à la traine, il utilise plus de 95% de la ram présente sur ma carte, 1Go ne doit pas être de trop. Ou mieux gérer la mémoire mais bon ça...
Donc voila avec cette config ça tourne en 1680*1050 je n'ai plus les détails en tête, mais évidemment tout n'est pas au maximum.
Point de vue plantage je n'en ai eu qu'une fois, le retour windows, et j'avais laissé tourner pas mal de truc en tâche de fond. Mais en ne lançant que le jeu AUCUN problème, pas de plantage, pas de lag, des graphismes plus que correct( mais ça c'est normal l'ancien pc datait un peu donc les jeux aussi...).
Donc voila, personnellement je trouve que Rockstar a raté son portage sur pc (marketing quand tu nous tiens), mais que le jeu n'est pas complètement injouable comme on peut l'entendre un peu partout, il faut juste avoir une machine suffisament puissante et bien configurée/utilisée.
Pour infos, un premier patch est déjà sorti, même si ce n'est pas la panacée c'est déjà ça.
Et ati et nvidia on sorti des drivers spéciaux pour GTA IV.