Publié le 14/06/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Ils savent comment se livrer à des jeux en ligne, obtenir les dernières infos sur leurs célébrités favorites, dénicher les derniers tubes, chatter avec leurs pairs tout aussi calés qu’eux en technologie, ou poser via Internet des questions qu’ils n’oseraient jamais poser à d’autres personnes. Toutefois, il y a peu de chances qu’ils soient conscients - ou qu’ils se soucient un tant soit peu - des différents dangers que recèle le monde en ligne. Du genre: intrusions dans la vie privée, maliciels ou fraudes. Ce problème est d’autant plus grave que le don d’émerveillement des enfants fonctionne à la puissance 10 et que leur propension à la prudence est largement inférieure à celle des adultes, les rendant particulièrement vulnérables aux dangers numériques. Comment pouvons-nous aider les enfants à apprendre à utiliser au mieux la technologie en toute sécurité?
Il faut en parler
On ne saurait sous-estimer l’importance d’un dialogue franc et ouvert au sujet du cyber-univers. Les conversations au sujet de la sécurité en ligne devraient débuter lorsque les enfants commencent à fureter sur Internet. C’est un bon début que de leur expliquer que le réel et le numérique sont les deux faces d’une même médaille et que, tout comme dans le monde réel, le monde en ligne est le théâtre de bonnes et de mauvaises choses.
C’est pareil pour le message : “ne fais pas en ligne ce que tu ne ferais pas dans la vraie vie”. Par exemple, partager des informations personnelles ou parler à des inconnus sur Internet où, plus que dans la vraie vie, personne n’est celui ou celle qu’il ou elle semble être. Ce message pourrait être l’occasion d’expliquer pourquoi ils ne devraient pas ouvrir des messages ou cliquer sur des liens envoyés par des personnes inconnues parce qu’il pourrait s’agir d’un message d’hameçonnage (“phishing”).
Bien entendu, ces premiers pas dans la jungle de l’Internet devraient se faire sous votre surveillance. Conseils et encadrement les aideront à développer un sens critique et leur seront utiles lorsqu’ils seront plus grands et mieux armés pour utiliser Internet sans chaperon.
Il faut montrer l’exemple
“Les enfants n’ont jamais été très forts lorsqu’il s’agit pour eux d’écouter leurs aînés mais ils n’ont de cesse de les imiter”, déclarait l’auteur et activiste James Baldwin. La meilleure façon d’accrocher les enfants est de leur montrer l’exemple afin qu’ils puissent s’en inspirer. Expliquez-leur que tout ce que l’on fait sur Internet laisse une trace et que tout ce qui est partagé ou publié peut potentiellement y subsister à jamais. Montrez-leur qu’une bonne hygiène en matière de mots de passe peut en fait être amusante lorsqu’on en fait une activité stimulante consistant à combiner aléatoirement lettres et mots.
On a maintenant la preuve que l’utilisation que les parents font des nouveaux médias influence directement le temps que leur progéniture consacre à la technologie. Plus les parents passent du temps sur Internet ou à regarder la télévision, plus leurs enfants ont de chances de devenir de gros consommateurs de technologie. Nous devrions réfléchir à limiter le temps que nous passons sur nos écrans afin qu’ils n’aient pas le sentiment de devoir les concurrencer pour attirer notre attention.
Nous devons être attentifs à la qualité et à la longueur des contenus en ligne que consomment les enfants. Tous les contenus en ligne ne sont pas égaux entre eux et la technologie peut être utilisée à de multiples fins, y compris l’apprentissage, la création de contenus, la consommation passive et des moments de pur délassement. Si vous vous inquiétez de les voir succomber à une gloutonnerie Internet, réfléchissez à la possibilité d’édicter des règles et des agendas pour le temps qu’ils passent en ligne. Le génie est sorti de sa bouteille et il y a peu de chances que vous réussissiez à imposer une interdiction Internet. Il est dès lors important de veiller à un équilibre entre le temps que passe l’enfant en mode connecté et “débranché”.
Médias sociaux?
Jusqu’à ce que Facebook lance Messenger Kids, aucun enfant n’était autorisé à utiliser un réseau social majeur avant l’âge de 13 ans, en théorie. Il a toujours été quasi impossible d’appliquer cette règle et il est établi que de nombreux enfants de moins de 13 ans fréquentent au moins un site de média social.
Il faut inculquer aux enfants une méfiance vis-à-vis des menaces qui les guettent sur les réseaux sociaux. Cela commence par les mettre en garde contre le fait de se lier d’amitié avec des personnes qu’ils ne connaissent pas dans la vie réelle et par leur intimer la prudence à propos du type d’informations qu’ils partagent. Les réseaux sociaux ont, sur les individus de mauvaise réputation, un effet d’attraction, du genre herbe aux chats.
Lorsqu’ils interagissent avec leurs pairs, les enfants peuvent également être les témoins ou les victimes de cyber-harcèlement ou d’autres formes habituelles de comportements abusifs. En maintenant un dialogue ouvert au sujet des différentes facettes du cyberespace, vous vous assurez qu’ils auront nettement plus tendance à se tourner vers vous lorsqu’ils feront face à du cyber-harcèlement. Cela peut contribuer à enclencher un processus propre à tuer le problème dans l’œuf.
Quand la technologie permet de déjouer les abus de la technologie
Même si vous avez appris à vos enfants à adopter un comportement responsable en ligne, il est plutôt difficile de s’assurer qu’ils ne s’aventurent pas dans les recoins les plus obscurs de la Toile, que ce soit par accident ou par curiosité. La technologie peut vous y aider.
Plusieurs options s’offrent à vous. Par exemple, la création de comptes utilisateur à accès limité pour les enfants et/ou le déploiement d’outils de contrôle parental conçus afin de vous aider à faire en sorte que vos enfants utilisent l’Internet de manière sûre et productive. De tels contrôles peuvent être déployés de diverses manières, y compris au niveau du réseau, de l’équipement ou de l’application.
Ce genre de fonctionnalités peuvent filtrer et bloquer des contenus inappropriés en fonction de l’âge, limiter le type d’informations qui peuvent être partagées, et tenir à l’œil le temps que les enfants passent à l’écran. Elles peuvent également tenir des registres d’activités, vous donnant une idée précise du type de contenus en ligne auxquels vos enfants ont accès. Au final, il est important de comprendre ce que font les enfants sur la Toile, en particulier parce que cela peut vous aider à mettre en œuvre une stratégie familiale de cyber-hygiène plus pertinente.
De nos jours, tous les principaux systèmes d’exploitation, que ce soit sur ordinateur ou sur mobile, autorisent d’office l’une ou l’autre forme de contrôle parental. Il existe par ailleurs un large éventail de logiciels dédiés, conçus pour protéger les enfants contre des contenus inappropriés.
N’oubliez pas le b.a.-ba de votre boîte à outils de sécurité connectée. Par exemple, tenir à jour tous vos systèmes et logiciels et de sauvegarder les données. Le fait d’installer un intégré de sécurité multi ouches réputé — ce qui d’ailleurs permet habituellement de paramétrer une série de contrôles parentaux — contribuera grandement à un renforcement des cyberdéfenses de votre petite famille.
Conclusion
Le fait de protéger les enfants contre les dangers de la Toile peut avoir toutes les apparences d’un problème technologique mais il s’agit en fait d’une question de responsabilité parentale. Une autre manière de les protéger, qui se calque et vient compléter ce que vous faites dans le monde réel. Ils vous en seront reconnaissants plus tard.
Pour toute information complémentaire, consultez le site www.eset.com
Il faut en parler
On ne saurait sous-estimer l’importance d’un dialogue franc et ouvert au sujet du cyber-univers. Les conversations au sujet de la sécurité en ligne devraient débuter lorsque les enfants commencent à fureter sur Internet. C’est un bon début que de leur expliquer que le réel et le numérique sont les deux faces d’une même médaille et que, tout comme dans le monde réel, le monde en ligne est le théâtre de bonnes et de mauvaises choses.
C’est pareil pour le message : “ne fais pas en ligne ce que tu ne ferais pas dans la vraie vie”. Par exemple, partager des informations personnelles ou parler à des inconnus sur Internet où, plus que dans la vraie vie, personne n’est celui ou celle qu’il ou elle semble être. Ce message pourrait être l’occasion d’expliquer pourquoi ils ne devraient pas ouvrir des messages ou cliquer sur des liens envoyés par des personnes inconnues parce qu’il pourrait s’agir d’un message d’hameçonnage (“phishing”).
Bien entendu, ces premiers pas dans la jungle de l’Internet devraient se faire sous votre surveillance. Conseils et encadrement les aideront à développer un sens critique et leur seront utiles lorsqu’ils seront plus grands et mieux armés pour utiliser Internet sans chaperon.
Il faut montrer l’exemple
“Les enfants n’ont jamais été très forts lorsqu’il s’agit pour eux d’écouter leurs aînés mais ils n’ont de cesse de les imiter”, déclarait l’auteur et activiste James Baldwin. La meilleure façon d’accrocher les enfants est de leur montrer l’exemple afin qu’ils puissent s’en inspirer. Expliquez-leur que tout ce que l’on fait sur Internet laisse une trace et que tout ce qui est partagé ou publié peut potentiellement y subsister à jamais. Montrez-leur qu’une bonne hygiène en matière de mots de passe peut en fait être amusante lorsqu’on en fait une activité stimulante consistant à combiner aléatoirement lettres et mots.
On a maintenant la preuve que l’utilisation que les parents font des nouveaux médias influence directement le temps que leur progéniture consacre à la technologie. Plus les parents passent du temps sur Internet ou à regarder la télévision, plus leurs enfants ont de chances de devenir de gros consommateurs de technologie. Nous devrions réfléchir à limiter le temps que nous passons sur nos écrans afin qu’ils n’aient pas le sentiment de devoir les concurrencer pour attirer notre attention.
Nous devons être attentifs à la qualité et à la longueur des contenus en ligne que consomment les enfants. Tous les contenus en ligne ne sont pas égaux entre eux et la technologie peut être utilisée à de multiples fins, y compris l’apprentissage, la création de contenus, la consommation passive et des moments de pur délassement. Si vous vous inquiétez de les voir succomber à une gloutonnerie Internet, réfléchissez à la possibilité d’édicter des règles et des agendas pour le temps qu’ils passent en ligne. Le génie est sorti de sa bouteille et il y a peu de chances que vous réussissiez à imposer une interdiction Internet. Il est dès lors important de veiller à un équilibre entre le temps que passe l’enfant en mode connecté et “débranché”.
Médias sociaux?
Jusqu’à ce que Facebook lance Messenger Kids, aucun enfant n’était autorisé à utiliser un réseau social majeur avant l’âge de 13 ans, en théorie. Il a toujours été quasi impossible d’appliquer cette règle et il est établi que de nombreux enfants de moins de 13 ans fréquentent au moins un site de média social.
Il faut inculquer aux enfants une méfiance vis-à-vis des menaces qui les guettent sur les réseaux sociaux. Cela commence par les mettre en garde contre le fait de se lier d’amitié avec des personnes qu’ils ne connaissent pas dans la vie réelle et par leur intimer la prudence à propos du type d’informations qu’ils partagent. Les réseaux sociaux ont, sur les individus de mauvaise réputation, un effet d’attraction, du genre herbe aux chats.
Lorsqu’ils interagissent avec leurs pairs, les enfants peuvent également être les témoins ou les victimes de cyber-harcèlement ou d’autres formes habituelles de comportements abusifs. En maintenant un dialogue ouvert au sujet des différentes facettes du cyberespace, vous vous assurez qu’ils auront nettement plus tendance à se tourner vers vous lorsqu’ils feront face à du cyber-harcèlement. Cela peut contribuer à enclencher un processus propre à tuer le problème dans l’œuf.
Quand la technologie permet de déjouer les abus de la technologie
Même si vous avez appris à vos enfants à adopter un comportement responsable en ligne, il est plutôt difficile de s’assurer qu’ils ne s’aventurent pas dans les recoins les plus obscurs de la Toile, que ce soit par accident ou par curiosité. La technologie peut vous y aider.
Plusieurs options s’offrent à vous. Par exemple, la création de comptes utilisateur à accès limité pour les enfants et/ou le déploiement d’outils de contrôle parental conçus afin de vous aider à faire en sorte que vos enfants utilisent l’Internet de manière sûre et productive. De tels contrôles peuvent être déployés de diverses manières, y compris au niveau du réseau, de l’équipement ou de l’application.
Ce genre de fonctionnalités peuvent filtrer et bloquer des contenus inappropriés en fonction de l’âge, limiter le type d’informations qui peuvent être partagées, et tenir à l’œil le temps que les enfants passent à l’écran. Elles peuvent également tenir des registres d’activités, vous donnant une idée précise du type de contenus en ligne auxquels vos enfants ont accès. Au final, il est important de comprendre ce que font les enfants sur la Toile, en particulier parce que cela peut vous aider à mettre en œuvre une stratégie familiale de cyber-hygiène plus pertinente.
De nos jours, tous les principaux systèmes d’exploitation, que ce soit sur ordinateur ou sur mobile, autorisent d’office l’une ou l’autre forme de contrôle parental. Il existe par ailleurs un large éventail de logiciels dédiés, conçus pour protéger les enfants contre des contenus inappropriés.
N’oubliez pas le b.a.-ba de votre boîte à outils de sécurité connectée. Par exemple, tenir à jour tous vos systèmes et logiciels et de sauvegarder les données. Le fait d’installer un intégré de sécurité multi ouches réputé — ce qui d’ailleurs permet habituellement de paramétrer une série de contrôles parentaux — contribuera grandement à un renforcement des cyberdéfenses de votre petite famille.
Conclusion
Le fait de protéger les enfants contre les dangers de la Toile peut avoir toutes les apparences d’un problème technologique mais il s’agit en fait d’une question de responsabilité parentale. Une autre manière de les protéger, qui se calque et vient compléter ce que vous faites dans le monde réel. Ils vous en seront reconnaissants plus tard.
Pour toute information complémentaire, consultez le site www.eset.com