Publié le 08/05/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Mardi 8 mai 2018 — Diegem - Les géants mondiaux de la technologie, Dimension Data et Cisco, ont annoncé aujourd'hui qu'ils étendaient leur programme de Protection connectée contre le braconnage en Zambie, au Kenya et au Mozambique pour continuer à protéger les rhinocéros et aider aussi à lutter contre le braconnage des éléphants de la savane africaine, qui a atteint des chiffres effrayants. Ce développement fait suite à un projet pilote réussi qui a vu les deux sociétés installer une technologie parmi les plus sophistiquées au monde dans une réserve de chasse privée située à côté du parc national Kruger, de renommée mondiale, en Afrique du Sud.
Depuis que la technologie de protection connectée a été déployée dans la réserve privée en novembre 2015, le nombre d'incidents de braconnage de rhinocéros a été réduit de 96 %. En 2017, aucun rhinocéros de la réserve n'a été braconné.
Chaque jour, des centaines de fournisseurs et d'entrepreneurs, d’équipes, de personnel de sécurité et de touristes entrent et sortent des réserves de faune et des parcs du monde entier. Souvent l'activité humaine dans ces environnements n'est pas surveillée car la réserve se trouve dans un emplacement isolé, avec une infrastructure informatique et un contrôle d'accès basiques, des processus de sécurité manuels et une communication très limitée.
« De nombreuses organisations sont engagées dans la protection des animaux et utilisent diverses dispositions préventives, telles que l'écornage ou l'insertion de capteurs dans la corne et dans la couche sous-cutanée du derme », explique le directeur du groupe Dimension Data, Bruce Watson. « Toutefois, le problème avec les dispositions préventives est qu’au moment où les gardes de la réserve atteignent l’animal, celui-ci a été tué et les défenses de l’éléphant ou la corne du rhinocéros ont été déjà emportées.
Avec le modèle de protection connectée, la technologie est conçue pour protéger de manière proactive le terrain contre les humains. Les animaux ne sont pas touchés, et errent librement, tandis qu'un ensemble superposé de technologies sophistiquées, de gardes et de gadgets les protègent. »
L’idée de Cisco et de Dimension Data est de reproduire cette solution en Afrique du Sud, en Afrique et dans le monde entier, pour protéger toutes les formes d'espèces menacées telles que le lion, le pangolin, l'éléphant, les tigres en Inde et en Asie, ainsi que les requins et les raies dans les océans. Le prochain projet est déjà amorcé dans un parc sans nom en Zambie. Suivront ensuite le Kenya puis le Mozambique, avec un souci particulier pour la protection de l'éléphant.
Selon le Great Elephant Census (GEC) (grand recensement des éléphants) de 2016 réalisé par Vulcan Inc, basée à Seattle, qui est à l'origine du réseau d'organisations et d'initiatives du philanthrope et cofondateur de Microsoft Paul G. Allen, la population d'éléphants de savane a diminué de 30 % entre 2007 et 2014, ce qui équivaut à 144 000 éléphants. Le taux de déclin actuel est de 8 % par an, principalement en raison du braconnage. En Zambie, le nombre d'éléphants était de 21 758, avec un « taux de carcasses » de 85 % ² dans le parc national de Siomi Ngwezi, et de 3 % pour le reste de la Zambie, ainsi que des déclins substantiels le long du Zambèze.
La recherche a également révélé qu'entre 4 000 et 6 000 braconniers habitaient dans les zones de gestion de la faune (GMA pour Game Management Areas). Cela inclut le pêcheur parcourant de grandes étendues d’eau dans le parc de la faune.
Une salle de contrôle pour l'unité spéciale de sécurité nautique de Zambie est en cours de construction, pour surveiller les opérations sur le lac et dans le parc, et un second bateau à moteur sera ajouté pour faciliter les interceptions avant que les braconniers n'atteignent les animaux.
Les autres équipements déployés en Zambie comprennent :
Des caméras thermiques fixes montées sur des mâts radio, qui créent une barrière virtuelle permanente sur le périmètre du parc. Ces caméras qui balaient les portes d'entrée et de sortie du parc sont contrôlées par des opérateurs situés dans la salle de contrôle.
Une analyse CCTV sera effectuée pour créer une ligne de déplacement virtuelle qui détectera automatiquement les mouvements des pêcheurs et des bateaux sur le lac. Petit à petit, les responsables du parc pourront analyser les données et établir un modèle de mouvement, mais aussi alerter les opérateurs lorsqu'il y aura des mouvements nocturnes qui franchiront la barrière virtuelle.
Un Wi-Fi extérieur sera également installé sur les mâts radio afin que les appareils portatifs et les caméras thermiques utilisés par les gardes et les équipes de sécurité puissent être visualisés et partagés et que le personnel au sol puisse se connecter et communiquer sans que leurs conversations ne soient interceptées par des braconniers.
« Nous travaillons également avec les autorités locales zambiennes et la communauté des pêcheurs pour créer un système de permis de pêche numérique centralisé qui surveillera les individus qui se présenteront comme des pêcheurs en étant en fait des braconniers », a déclaré M. Watson.
Karen Walker, vice-présidente et directrice du marketing chez Cisco, a déclaré : « Plus que jamais, la technologie nous donne la capacité de changer le monde, pas demain, pas un jour donné, mais maintenant. Chez Cisco, nous nous consacrons à changer les choses en connectant le monde et en protégeant les animaux les plus âgés et les plus vulnérables grâce à la technologie de connectivité la plus récente.
En travaillant en étroite collaboration avec Dimension Data, nous avons établi un réseau sécurisé et fiable qui fonctionne 24 heures sur 24 dans les réserves de faune en Afrique du Sud et en Afrique. Nous sommes extrêmement fiers de faire partie du programme de protection connectée en Afrique, destiné à sauver davantage d'espèces menacées. »
M.Watson a ajouté : « En partenariat avec Cisco, notre objectif est d'éliminer toutes les formes de braconnage dans le monde grâce à l'innovation continue dans la technologie, pour protéger les espèces les plus vulnérables dans un plus grand nombre de pays. »
Depuis que la technologie de protection connectée a été déployée dans la réserve privée en novembre 2015, le nombre d'incidents de braconnage de rhinocéros a été réduit de 96 %. En 2017, aucun rhinocéros de la réserve n'a été braconné.
Chaque jour, des centaines de fournisseurs et d'entrepreneurs, d’équipes, de personnel de sécurité et de touristes entrent et sortent des réserves de faune et des parcs du monde entier. Souvent l'activité humaine dans ces environnements n'est pas surveillée car la réserve se trouve dans un emplacement isolé, avec une infrastructure informatique et un contrôle d'accès basiques, des processus de sécurité manuels et une communication très limitée.
« De nombreuses organisations sont engagées dans la protection des animaux et utilisent diverses dispositions préventives, telles que l'écornage ou l'insertion de capteurs dans la corne et dans la couche sous-cutanée du derme », explique le directeur du groupe Dimension Data, Bruce Watson. « Toutefois, le problème avec les dispositions préventives est qu’au moment où les gardes de la réserve atteignent l’animal, celui-ci a été tué et les défenses de l’éléphant ou la corne du rhinocéros ont été déjà emportées.
Avec le modèle de protection connectée, la technologie est conçue pour protéger de manière proactive le terrain contre les humains. Les animaux ne sont pas touchés, et errent librement, tandis qu'un ensemble superposé de technologies sophistiquées, de gardes et de gadgets les protègent. »
L’idée de Cisco et de Dimension Data est de reproduire cette solution en Afrique du Sud, en Afrique et dans le monde entier, pour protéger toutes les formes d'espèces menacées telles que le lion, le pangolin, l'éléphant, les tigres en Inde et en Asie, ainsi que les requins et les raies dans les océans. Le prochain projet est déjà amorcé dans un parc sans nom en Zambie. Suivront ensuite le Kenya puis le Mozambique, avec un souci particulier pour la protection de l'éléphant.
Selon le Great Elephant Census (GEC) (grand recensement des éléphants) de 2016 réalisé par Vulcan Inc, basée à Seattle, qui est à l'origine du réseau d'organisations et d'initiatives du philanthrope et cofondateur de Microsoft Paul G. Allen, la population d'éléphants de savane a diminué de 30 % entre 2007 et 2014, ce qui équivaut à 144 000 éléphants. Le taux de déclin actuel est de 8 % par an, principalement en raison du braconnage. En Zambie, le nombre d'éléphants était de 21 758, avec un « taux de carcasses » de 85 % ² dans le parc national de Siomi Ngwezi, et de 3 % pour le reste de la Zambie, ainsi que des déclins substantiels le long du Zambèze.
La recherche a également révélé qu'entre 4 000 et 6 000 braconniers habitaient dans les zones de gestion de la faune (GMA pour Game Management Areas). Cela inclut le pêcheur parcourant de grandes étendues d’eau dans le parc de la faune.
Une salle de contrôle pour l'unité spéciale de sécurité nautique de Zambie est en cours de construction, pour surveiller les opérations sur le lac et dans le parc, et un second bateau à moteur sera ajouté pour faciliter les interceptions avant que les braconniers n'atteignent les animaux.
Les autres équipements déployés en Zambie comprennent :
Des caméras thermiques fixes montées sur des mâts radio, qui créent une barrière virtuelle permanente sur le périmètre du parc. Ces caméras qui balaient les portes d'entrée et de sortie du parc sont contrôlées par des opérateurs situés dans la salle de contrôle.
Une analyse CCTV sera effectuée pour créer une ligne de déplacement virtuelle qui détectera automatiquement les mouvements des pêcheurs et des bateaux sur le lac. Petit à petit, les responsables du parc pourront analyser les données et établir un modèle de mouvement, mais aussi alerter les opérateurs lorsqu'il y aura des mouvements nocturnes qui franchiront la barrière virtuelle.
Un Wi-Fi extérieur sera également installé sur les mâts radio afin que les appareils portatifs et les caméras thermiques utilisés par les gardes et les équipes de sécurité puissent être visualisés et partagés et que le personnel au sol puisse se connecter et communiquer sans que leurs conversations ne soient interceptées par des braconniers.
« Nous travaillons également avec les autorités locales zambiennes et la communauté des pêcheurs pour créer un système de permis de pêche numérique centralisé qui surveillera les individus qui se présenteront comme des pêcheurs en étant en fait des braconniers », a déclaré M. Watson.
Karen Walker, vice-présidente et directrice du marketing chez Cisco, a déclaré : « Plus que jamais, la technologie nous donne la capacité de changer le monde, pas demain, pas un jour donné, mais maintenant. Chez Cisco, nous nous consacrons à changer les choses en connectant le monde et en protégeant les animaux les plus âgés et les plus vulnérables grâce à la technologie de connectivité la plus récente.
En travaillant en étroite collaboration avec Dimension Data, nous avons établi un réseau sécurisé et fiable qui fonctionne 24 heures sur 24 dans les réserves de faune en Afrique du Sud et en Afrique. Nous sommes extrêmement fiers de faire partie du programme de protection connectée en Afrique, destiné à sauver davantage d'espèces menacées. »
M.Watson a ajouté : « En partenariat avec Cisco, notre objectif est d'éliminer toutes les formes de braconnage dans le monde grâce à l'innovation continue dans la technologie, pour protéger les espèces les plus vulnérables dans un plus grand nombre de pays. »