Publié le 23/04/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Les entreprises ont récemment mis sur pied leur stratégie basée sur le Cloud et déjà une nouvelle évolution est annoncée : le traitement des données à la périphérie. C’est l’étape logique suivante dans un monde d’appareils de plus en plus connectés et intelligents. Est-ce la fin du Cloud et des datacenters classiques ? Pas directement. Nous évoluons vers un environnement hybride où les applications et les données se trouvent sur site, sur le Cloud ou à la périphérie du réseau.
La percée de l’Internet des Objets est une importante force motrice pour l’évolution actuelle des TICs. Des milliards de personnes et d’appareils connectés échangent toujours plus de données et nécessitent donc des solutions adaptées pour transporter, traiter et stocker de façon efficace ces données. En 2020, de l’ordre de 3% de la consommation mondiale d’énergie sera engloutie par les datacenters. “Cela pose un énorme défi pour le secteur des TICs” annonce Sebastian Born, IT Business VP chez Schneider Electric. “Nous devons concevoir des datacenters plus efficaces au niveau de la consommation d’énergie” ajoute Joris Verdickt.
Dans le même temps, les entreprises et les consommateurs ne cessent d’augmenter leur utilisation et leur dépendance des TICs. Ceci génère de nouveaux défis de management. En effet, cette gestion ne se limite plus à un datacenter mais à une combinaison de solutions, virtualisées ou non, en différentes localisations physiques et aussi sur le Cloud privé ou public. “Cette nouvelle structure autour des datacenters doit être simple, prévisible, disponible et efficace’ dit Sebastian Born.
Les limites du Cloud
Les applications liées à l’Internet des Objets sollicitent fort les infrastructures TIC. Il s’agit de grandes quantités d’appareils qui envoient beaucoup de données, ce qui demande une grande capacité de stockage et augmente la connectivité. Les frontières du monde hybride actuel apparaissent alors. En effet, aussi bien le datacenter local que le Cloud ont leurs limites. Il s’agit essentiellement du problème de latence. Certaines applications requièrent un temps de réponse très court. L’Internet des Objet pose aussi le problème de la bande passante. Comment transporter toutes ces données ? Tout cela nous mène au Edge Computing. Le nom l’indique, le poids se déplace vers la périphérie du réseau. Edge Computing est un domaine qui recouvre beaucoup d’aspects différents. “Le terme se réfère parfois aux objets connectés” déclare Pascal Kieboom, VP ITC au centre de recherche IMEC, “qui exécutent eux-mêmes certains traitements sur les données au lieu d’accéder pour cela au datacenter central”. Edge Computing peut tout aussi bien indiquer de petits datacenters locaux qui se trouvent à la périphérie du réseau et proches des objets connectés et des utilisateurs. Pascal Kieboom : “Dans le cas d’IMEC, je pense à des chercheurs qui ont besoin d’une certaine puissance locale de calcul. Ils ne travaillent pas avec un datacenter central ou le Cloud mais disposent d’un petit datacenter.”
Les pièces du puzzle
Il est clair que le Edge Computing fournit de nouvelles pistes vers un environnement TIC plus efficace et plus performant. Bien sûr, il faut conserver les parties saines. “Il est toujours intéressant de voir comment une nouvelle vague de TIC s’annonce” déclare Pascal Keiboom. “D’autre part, la meilleure solution est habituellement une combinaison de différents facteurs.” Il y a cinq ou dix ans, tout le monde pensait que les sociétés allaient consolider toute leur infrastructure sur le Cloud. Cela ne s’est pas produit. Il est probablement tout aussi inutile de transférer, tel quel, tout vers le Edge Computing. La meilleure manière d’évaluer une infrastructure TIC est de la considérer comme un puzzle. Tout l’art est de trouver les pièces qui s’assembleront le mieux. Le Edge Computing est une des nouvelles pièces disponibles.
La percée de l’Internet des Objets est une importante force motrice pour l’évolution actuelle des TICs. Des milliards de personnes et d’appareils connectés échangent toujours plus de données et nécessitent donc des solutions adaptées pour transporter, traiter et stocker de façon efficace ces données. En 2020, de l’ordre de 3% de la consommation mondiale d’énergie sera engloutie par les datacenters. “Cela pose un énorme défi pour le secteur des TICs” annonce Sebastian Born, IT Business VP chez Schneider Electric. “Nous devons concevoir des datacenters plus efficaces au niveau de la consommation d’énergie” ajoute Joris Verdickt.
Dans le même temps, les entreprises et les consommateurs ne cessent d’augmenter leur utilisation et leur dépendance des TICs. Ceci génère de nouveaux défis de management. En effet, cette gestion ne se limite plus à un datacenter mais à une combinaison de solutions, virtualisées ou non, en différentes localisations physiques et aussi sur le Cloud privé ou public. “Cette nouvelle structure autour des datacenters doit être simple, prévisible, disponible et efficace’ dit Sebastian Born.
Les limites du Cloud
Les applications liées à l’Internet des Objets sollicitent fort les infrastructures TIC. Il s’agit de grandes quantités d’appareils qui envoient beaucoup de données, ce qui demande une grande capacité de stockage et augmente la connectivité. Les frontières du monde hybride actuel apparaissent alors. En effet, aussi bien le datacenter local que le Cloud ont leurs limites. Il s’agit essentiellement du problème de latence. Certaines applications requièrent un temps de réponse très court. L’Internet des Objet pose aussi le problème de la bande passante. Comment transporter toutes ces données ? Tout cela nous mène au Edge Computing. Le nom l’indique, le poids se déplace vers la périphérie du réseau. Edge Computing est un domaine qui recouvre beaucoup d’aspects différents. “Le terme se réfère parfois aux objets connectés” déclare Pascal Kieboom, VP ITC au centre de recherche IMEC, “qui exécutent eux-mêmes certains traitements sur les données au lieu d’accéder pour cela au datacenter central”. Edge Computing peut tout aussi bien indiquer de petits datacenters locaux qui se trouvent à la périphérie du réseau et proches des objets connectés et des utilisateurs. Pascal Kieboom : “Dans le cas d’IMEC, je pense à des chercheurs qui ont besoin d’une certaine puissance locale de calcul. Ils ne travaillent pas avec un datacenter central ou le Cloud mais disposent d’un petit datacenter.”
Les pièces du puzzle
Il est clair que le Edge Computing fournit de nouvelles pistes vers un environnement TIC plus efficace et plus performant. Bien sûr, il faut conserver les parties saines. “Il est toujours intéressant de voir comment une nouvelle vague de TIC s’annonce” déclare Pascal Keiboom. “D’autre part, la meilleure solution est habituellement une combinaison de différents facteurs.” Il y a cinq ou dix ans, tout le monde pensait que les sociétés allaient consolider toute leur infrastructure sur le Cloud. Cela ne s’est pas produit. Il est probablement tout aussi inutile de transférer, tel quel, tout vers le Edge Computing. La meilleure manière d’évaluer une infrastructure TIC est de la considérer comme un puzzle. Tout l’art est de trouver les pièces qui s’assembleront le mieux. Le Edge Computing est une des nouvelles pièces disponibles.