Nokia vient d'annoncer qu'ils autorisent le projet du Kernel Linux à utiliser n'importe lequel de ses brevets! Mais alors que tout le monde se congratule, qu'en est-il réellement de ces brevets?
Tout d'abord, Nokia n'énonce pas clairement une liste de brevets qui seraient ainsi disponibles, et il faut savoir que ces brevets n'ont d'ailleurs aucune valeur encore en Europe mais bien aux Etats-Unis alors que la base du noyau Linux est toujours Européenne... Néanmoins, cela assure au projet du noyau, et à lui seul, de ne pas se faire attaquer sur un quelconque brevet par Nokia.
D'un autre côté, Nokia milite activement comme Microsoft, IBM et bien d'autres pour une brevetabilité sans limite des logiciels en Europe, et certains pointent cette ouverture du doigt comme étant une faveur à la communauté libre pour montrer au parlement Européen que les brevets ne menaceront pas les projets libres... Entre manipulation ou réelle volonté d'ouverture, la question est ouverte, mais la nouvelle n'est pas aussi joyeuse que l'on pourrait imaginer!
Tout d'abord, Nokia n'énonce pas clairement une liste de brevets qui seraient ainsi disponibles, et il faut savoir que ces brevets n'ont d'ailleurs aucune valeur encore en Europe mais bien aux Etats-Unis alors que la base du noyau Linux est toujours Européenne... Néanmoins, cela assure au projet du noyau, et à lui seul, de ne pas se faire attaquer sur un quelconque brevet par Nokia.
D'un autre côté, Nokia milite activement comme Microsoft, IBM et bien d'autres pour une brevetabilité sans limite des logiciels en Europe, et certains pointent cette ouverture du doigt comme étant une faveur à la communauté libre pour montrer au parlement Européen que les brevets ne menaceront pas les projets libres... Entre manipulation ou réelle volonté d'ouverture, la question est ouverte, mais la nouvelle n'est pas aussi joyeuse que l'on pourrait imaginer!
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