Belgacom poursuit sa lutte sans relâche contre le spam et les virus.
Publié le 10/07/2009 Dans Proximus
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Belgacom poursuit son combat contre le spam et redouble ses efforts pour rester le leader en matière de lutte contre le spam en Belgique. L'utilisation du courrier électronique à la seule fin d'envoyer massivement des messages publicitaires non sollicités (spam) demeure un problème majeur tant pour les utilisateurs de messageries électroniques que pour les gestionnaires de réseaux, les fournisseurs d'accès, les opérateurs et les carriers. En 2006, le spam représentait près de 80 % de tout le courrier en circulation. En 2008, les e-mails non sollicités représentaient 90,75 % du trafic. Au cours du premier semestre de cette année, une légère baisse a été perceptible, hormis sur le marché professionnel.

Les techniques de spam ne cessent de se perfectionner et le volume du courrier non sollicité continue de croître. Souvent, le spam est doté de mécanismes lui permettant de contourner les filtres antispam. Boîtes aux lettres électroniques surchargées, baisse de la productivité, etc., les conséquences du spam sont multiples. La plupart du temps, spam rime avec fraude, celle-ci étant effectuée au détriment des carriers, des fournisseurs d'accès internet et des utilisateurs finaux.

Spams et virus en nombre croissant

En 2004, pour le marché résidentiel, le réseau de sécurité de Belgacom est parvenu à intercepter à la source un total de 1,1 milliard de virus et de messages publicitaires non sollicités (spam). En 2005, ce nombre est passé à 3,3 milliards, soit trois fois plus. Au premier semestre de 2007, 6,4 milliards de spams déjà avaient été interceptés par Belgacom. Depuis, l'effet boule de neige ne cesse de prendre de l'ampleur et en avril de cette année, le compteur de Belgacom affichait le 100 milliardième spam intercepté.

Grâce à sa plateforme de sécurité, Belgacom est parvenue à multiplier le nombre de virus et de spams interceptés. En 2008, plus de 30 milliards de messages non sollicités, déjà, avaient été bloqués.

Évolution du pourcentage de messages non sollicités sur le marché résidentiel :

2006 : 80 %

2007 : 88,5 %

2008 : 90,75 %

Premier semestre de 2009 : 87,3 % (- 3,45 % par rapport à 2008), un pourcentage en légère diminution.

Le marché professionnel connaît en revanche une légère croissance :

2008: 95,3 %

Premier semestre de 2009 : 95,4% (+0,1 %), un pourcentage en légère progression.

Belgacom intercepte la plupart de ces messages non sollicités pour ses clients de manière totalement transparente. Durant les week-ends principalement, 9 e-mails sur 10 sont non sollicités, car le trafic de courrier électronique "légitime" est alors moins important.

Les techniques antispam sont de plus en plus perfectionnées, obligeant tous les acteurs, et particulièrement, Belgacom à innover en permanence dans son approche. Les concepteurs de logiciels malveillants et les expéditeurs de spam travaillent régulièrement main dans la main. Un logiciel malveillant (cheval de Troie, ver ou virus) permet à un expéditeur de spam de prendre le contrôle d'un grand nombre d'ordinateurs qu'il utilise ensuite pour l'envoi de messages non sollicités. De cette manière, des clients innocents deviennent les victimes de cette nouvelle forme de criminalité

Mesures

Pour lutter contre ce phénomène, au-delà des mesures de protection que chacun doit prendre pour limiter ces intrusions sur sa connexion, Belgacom s'appuie sur sa plateforme de sécurité "in the cloud", comprenant des systèmes antivirus et antispam, des firewalls, un filtre URL, etc. L'expression "in the cloud" signifie qu'aucun système n'est installé chez le client : ces équipements sont hébergés dans les centres de données de Belgacom. Grâce à cet ensemble de services partagés, les clients observent une amélioration de leur productivité, une diminution du nombre de boîtes e-mail saturées, un allègement de la charge de leur réseau, une réduction de leur empreinte écologique, etc. Dans le contexte économique actuel, Belgacom entend mieux armer encore ses clients dans cette lutte en leur offrant davantage de services "in the cloud". Ces derniers dispensent les clients d'investir eux-mêmes dans ce type de systèmes (achat, installation et maintenance). Belgacom garantit un haut niveau de continuité et de fiabilité de ses activités et services, permettant ainsi à ses clients de consacrer l'essentiel de leurs moyens à leurs propres domaines d'activité.

Mondialisation de la cybercriminalité

La croissance de la cybercriminalité semble ne pas connaître de limite. La technologie évolue à pas de géant (y compris dans les pays émergents), les pirates informatiques sont de plus en plus ingénieux et adoptent de nouvelles techniques (usurpation d'identité, scareware, rootkit, vers...). Dans le même temps, plusieurs entreprises prennent le risque de réduire leurs ressources humaines et techniques dédiées à la sécurité informatique. Ce contraste accroît le risque d'infection par des logiciels malveillants.

Fournisseur de solutions de sécurisation ICT

La sécurisation au niveau du réseau ne suffit malheureusement pas. Chaque client a également intérêt à protéger ses ordinateurs ou son réseau. Vous pouvez tester gratuitement la vulnérabilité de votre PC à l'adresse suivante :

http://www.belgacom.be/private/nl/jsp/dynamic/product.jsp?dcrName=hbs_skynet_security_check

Belgacom offre un large éventail de solutions de sécurité telles que Belgacom Secure Mail, Business Backup Online, Dedicated Firewall, Belgacom PC Security, Total EndPoint Protection et Belgacom IT Assistant (=helpdesk).

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