Publié le 15/11/2009 Dans Wii
Retour dans les années 1980.
Bien avant Dragon Ball Z, un dessin animé Dragon Ball officiait sur les écrans. En France, il fut diffusé dans les années 1980 dans le Club Dorothée, ce qui ne nous rajeunit pas vraiment. Pourtant les jeux issus de la série sont assez rares et même du temps de la Super Nintendo, on préférait miser sur DBZ qui était plus porteur.
Aujourd'hui Media Vision, auteur de la série Wild Arms nous propose Dragon Ball Revenge of King Piccolo, un titre qui couvre une partie de l'histoire du DA. Le jeu commence avec la première rencontre avec l'Armée du Ruban Rouge et se termine lors du combat contre Piccolo. Dans le mode Scénario on retrouve des phases d'action et des combats purs et durs. Les personnages débloqués dans ce mode sont disponibles dans le Championnat du Monde, une option Versus totalement raté. Le bas blesse quelque peu du côté de la durée de vie qui apparaît vite montrer ses limites. C'est pourquoi les développeurs ont laissé la possibilité de refaire le jeu pour débloquer des bonus supplémentaires. A noter d'ailleurs que les développeurs ont parfois pris des libertés au niveau scénaristique. ....
Une réalisation à la hateur ?
Graphiquement le jeu se révèle fidèle au manga et on retrouve les environnnements de la jeunesse de Son Goku. L'Armée du Ruban Rouge, la tour du Muscle, Maître Karine, le championnat du monde, Kamé House, etc ... Rien à dire, le design est très élaborée et le jeu ne manque pas de rythme. L'animation des personnages est de bon niveau malgré certains ralentissements et on regrettera un certain manque de coup disponibles. Mais le principal bémol vient cependant de la jouabilité d'une relative imprécision, en particulier lors des phases de plate-forme.
Du côté sonore, on ne retrouve pas les thèmes du DA et les compositions maisons sont donc moins percutantes. Les bruitages sont réussies pour leur part, et la présence des voix japonaises est un vrai plus.
VERDICT
Cette plongée dans l'enfance de Songoku aurait pu marquer les esprits, mais la jouabilité parfois récalcitrante du jeu, accompagnée de certains défauts dans le level design, fait que l'on s'y ennuie assez rapidement. Regrettable tant l'univers était charmant.
Bien avant Dragon Ball Z, un dessin animé Dragon Ball officiait sur les écrans. En France, il fut diffusé dans les années 1980 dans le Club Dorothée, ce qui ne nous rajeunit pas vraiment. Pourtant les jeux issus de la série sont assez rares et même du temps de la Super Nintendo, on préférait miser sur DBZ qui était plus porteur.
Aujourd'hui Media Vision, auteur de la série Wild Arms nous propose Dragon Ball Revenge of King Piccolo, un titre qui couvre une partie de l'histoire du DA. Le jeu commence avec la première rencontre avec l'Armée du Ruban Rouge et se termine lors du combat contre Piccolo. Dans le mode Scénario on retrouve des phases d'action et des combats purs et durs. Les personnages débloqués dans ce mode sont disponibles dans le Championnat du Monde, une option Versus totalement raté. Le bas blesse quelque peu du côté de la durée de vie qui apparaît vite montrer ses limites. C'est pourquoi les développeurs ont laissé la possibilité de refaire le jeu pour débloquer des bonus supplémentaires. A noter d'ailleurs que les développeurs ont parfois pris des libertés au niveau scénaristique. ....
Une réalisation à la hateur ?
Graphiquement le jeu se révèle fidèle au manga et on retrouve les environnnements de la jeunesse de Son Goku. L'Armée du Ruban Rouge, la tour du Muscle, Maître Karine, le championnat du monde, Kamé House, etc ... Rien à dire, le design est très élaborée et le jeu ne manque pas de rythme. L'animation des personnages est de bon niveau malgré certains ralentissements et on regrettera un certain manque de coup disponibles. Mais le principal bémol vient cependant de la jouabilité d'une relative imprécision, en particulier lors des phases de plate-forme.
Du côté sonore, on ne retrouve pas les thèmes du DA et les compositions maisons sont donc moins percutantes. Les bruitages sont réussies pour leur part, et la présence des voix japonaises est un vrai plus.
VERDICT
Cette plongée dans l'enfance de Songoku aurait pu marquer les esprits, mais la jouabilité parfois récalcitrante du jeu, accompagnée de certains défauts dans le level design, fait que l'on s'y ennuie assez rapidement. Regrettable tant l'univers était charmant.