Publié le 30/03/2009 Dans Wii
Le Chevalier Noir.
Quelques mois à peine après le volet Unleashed, Sonic fait son retour sur Wii dans une production inédite. Spécialement pensé pour la console de Nintendo, le titre propose également une histoire originale. Point de Dr Eggman ou de Robotnik, l'ennemi du jour se nomme le roi Arthur, qui a été touché par un maléfice après qu'il est pris en main le fourreau d'Excalibur, la mythique épée. Arthur qui n'est donc plus que l'ombre de lui même, a envoyé ses chevaliers terroriser la population du royaume d'Avalon. Sonic, appelé en ce lieu par la magicienne Merlina, va donc de voir agir. Projeté dans un monde empreint de magie, Sonic est accompagnée à présent d'une épée, qui lui permettra de trancher dans le vif du sujet et de traverser sans trop d'encombres les célèbres contes médiévaux. Vous voici donc parti dans des environnements Moyen-Ageux, guidé par des musiques modernes mais en parfaite adéquation, et un bestiaire d'ennemis qui s'est incrusté dans le décor et qu'il va falloir rapidement éliminer.
Une fois la partie débutée, on constate que SEGA a choisi une jouabilité originale pour son nouveau Sonic. Au contraire de Sonic and the Secret Rings, cet épisode requiert l'ensemble Nunchuck/ Wiimote. Le Nunchuk permet en effet de guider le personnage, tandis qu'agiter la Wiimote permettra de donner un coup d'épée. Un tutorial sera de toute façon présent en début de partie pour vous présenter tout en action. Néanmoins, les affrontements ne demandent pas excessivement de technique et leur grande répétition risque de lasser.
Une réalisation chatoyante.
Si beaucoup de productions Wii ne bénéficient toujours pas d'une réalisation digne d'un GameCube dans ses meilleurs jours, Sonic et le Chevalier Noir est quant à lui, très réussi de ce point de vue là . Les graphismes du jeu se montrent très colorés et les mondes à parcourir font preuve d'une belle variété. Comme d'habitude, Sonic est un jeu où la vitesse à son importance, mais cet épisode manque malheureusement de punch. La faute à des combats très présents et qui empêchent de dévaler coteaux et vallons à pleine allure. Le principe reste évidemment similaire, gagner l'arrivée avec le meilleur score possible, mais en fonction de vos actes, vous pourrez débloquer de nouvelles compétences, permettant d'utiliser de nouveaux mouvements.
Après quelques minutes d'entrainement, nous maitrisons parfaitement les rouages du personnage. En réalité, le joueur est très encadré car le jeu est sur rails, autant dire qu'il est impossible de se perdre. Notons une gestion de la caméra plutôt correcte cette fois ci. Coté son, nous retrouvons beaucoup de morceaux musicaux. Les doublages américains se montrent corrects (le jeu est sous titré en Français). Enfin, Sonic propose un mode multijoueur, où vous pourrez vous affronter jusqu'à quatre dans des duels.
VERDICT
Très axé sur les combats, Sonic and the Black Knight manque le coche, faute d'un gameplay plus nerveux, et d'une action mieux construite. En l'état, nous retrouvons un joli jeu,sympathique à jouer, mais vite redondant.
Quelques mois à peine après le volet Unleashed, Sonic fait son retour sur Wii dans une production inédite. Spécialement pensé pour la console de Nintendo, le titre propose également une histoire originale. Point de Dr Eggman ou de Robotnik, l'ennemi du jour se nomme le roi Arthur, qui a été touché par un maléfice après qu'il est pris en main le fourreau d'Excalibur, la mythique épée. Arthur qui n'est donc plus que l'ombre de lui même, a envoyé ses chevaliers terroriser la population du royaume d'Avalon. Sonic, appelé en ce lieu par la magicienne Merlina, va donc de voir agir. Projeté dans un monde empreint de magie, Sonic est accompagnée à présent d'une épée, qui lui permettra de trancher dans le vif du sujet et de traverser sans trop d'encombres les célèbres contes médiévaux. Vous voici donc parti dans des environnements Moyen-Ageux, guidé par des musiques modernes mais en parfaite adéquation, et un bestiaire d'ennemis qui s'est incrusté dans le décor et qu'il va falloir rapidement éliminer.
Une fois la partie débutée, on constate que SEGA a choisi une jouabilité originale pour son nouveau Sonic. Au contraire de Sonic and the Secret Rings, cet épisode requiert l'ensemble Nunchuck/ Wiimote. Le Nunchuk permet en effet de guider le personnage, tandis qu'agiter la Wiimote permettra de donner un coup d'épée. Un tutorial sera de toute façon présent en début de partie pour vous présenter tout en action. Néanmoins, les affrontements ne demandent pas excessivement de technique et leur grande répétition risque de lasser.
Une réalisation chatoyante.
Si beaucoup de productions Wii ne bénéficient toujours pas d'une réalisation digne d'un GameCube dans ses meilleurs jours, Sonic et le Chevalier Noir est quant à lui, très réussi de ce point de vue là . Les graphismes du jeu se montrent très colorés et les mondes à parcourir font preuve d'une belle variété. Comme d'habitude, Sonic est un jeu où la vitesse à son importance, mais cet épisode manque malheureusement de punch. La faute à des combats très présents et qui empêchent de dévaler coteaux et vallons à pleine allure. Le principe reste évidemment similaire, gagner l'arrivée avec le meilleur score possible, mais en fonction de vos actes, vous pourrez débloquer de nouvelles compétences, permettant d'utiliser de nouveaux mouvements.
Après quelques minutes d'entrainement, nous maitrisons parfaitement les rouages du personnage. En réalité, le joueur est très encadré car le jeu est sur rails, autant dire qu'il est impossible de se perdre. Notons une gestion de la caméra plutôt correcte cette fois ci. Coté son, nous retrouvons beaucoup de morceaux musicaux. Les doublages américains se montrent corrects (le jeu est sous titré en Français). Enfin, Sonic propose un mode multijoueur, où vous pourrez vous affronter jusqu'à quatre dans des duels.
VERDICT
Très axé sur les combats, Sonic and the Black Knight manque le coche, faute d'un gameplay plus nerveux, et d'une action mieux construite. En l'état, nous retrouvons un joli jeu,sympathique à jouer, mais vite redondant.