18/11/2022 @ 18:15:36: Jeux Vidéos - Test Goat Simulator 3 (PS5)
La chèvre de l'année est là... après le succès du deuxième chapitre vient l'un des produits les plus no-nonsense qu'un humain puisse concevoir, nous vous parlons de Goat Simulator 3 ! P.S. Il s'agit de la critique d'un jeu vidéo où l'on contrôle une chèvre, il est donc difficile d'être sérieux et de le noter. Oui, il n'y a pas de deuxième chapitre c'est vrai, mais le véritable homme de culture, c'est-à-dire celui qui achète Goat Simulator 3 le premier jour, sans se soucier de God of War : Ragnarok, est conscient que le troisième chapitre du simulateur de chèvres est un jeu ironique et délibérément absurde. Le joueur contrôle Pilgor, une chèvre fière amenée en ville par un fermier avec d'autres chèvres (la première scène est une référence très drôle à un jeu Bethesda). Pilgor se retrouve donc dans une ville folle où l'on peut à juste titre tout détruire et tout lécher (génial !), comme déjà dit Goat Simulator 3 n'a aucun sens et est un teasing brillant déjà depuis le premier trailer qui se moque de Dead Island 2. Après être avoir commencé une brève mission initiale qui illustre, de manière assez explicative, les contrôles de base du gameplay, nous sommes lâchés dans un monde ouvert, libres de faire tout ce qu'une chèvre ferait. Plus ou moins. Pilgor peut marcher, bêler, faire des sauts périlleux sur des trampolines et conduire des voitures. Goat Simulator 3 n'a pas une histoire profonde à suivre, mais plus d'une fois il arrachera un rire gras au joueur et c'est précisément son but. C'est parce que Goat Simulator 3, comme son prédécesseur, est un titre qui repose sur la folie pure. Nous pouvons gorger tout ce qui se trouve devant nous, ou peut-être le lécher et l'emporter avec nous où nous voulons. Là encore, on peut s'essayer au nouveau manège de murs ou s'amuser à donner un coup de tête de type Dragon Ball pour envoyer n'importe quelle voiture ou piéton voler au-dessus de l'horizon.
Auteur: Nic007