NBA Live revient dans une version encore plus complète que son prédécesseur et un rythme de jeu plus réaliste que l'an passé. On y trouvera encore les ligues Nationales pour la France, l'Argentine, la Grèce, l'Italie, l'Allemagne, la Chine, l'Espagne, et les Etats Unis. Il est donc possible d'accèder au championnat du monde de la FIBA et espèrer décrocher la couronne mondiale. En outre un mode scénario est implanté et le système se base sur les performances du joueur NBA en question. Tony Parker (par exemple) est ainsi en mesure d'effectuer des passes très efficaces, ce qui peut permettre de remporter plus facilement le défi. Mais pour savoir quels sont les points forts des joueurs, il n'est pas nécessaire de se plonger dans la championnat NBA. En effet, Electronic Arts a intégré un système permettant de voir d'où le joueur peut tirer. Quand c'est rouge, c'est bon, Jaune c'est moyen, bleu c'est mauvais. C'est bon à savoir.
Et encore une fois, des modifications ont été réalisées dans les modes puisque le mode Dynasty gère désormais davantage de paramètres et une pléthore d'options, sans oublier le fait que le mode ADN permet de simuler le jeu d'un joueur précis. Techniquement parlant, le jeu offre un résultat graphique très réussi. Les modélisations sont très réalistes et le public n'est pas un vulgaire carte pâte. Bonne nouvelle, l'IA des joueurs fait un bond en avant par rapport au 2009. La jouabilité reste très accessible et les matchs sympathiques. La bande son est heureusement variée et l'ambiance bien retranscrite (textes en Français et commentaires assurée par le duo George Eddy et Eric Besnard). Le jeu intègre également des options online assez nombreuses même si on rencontre encore des problèmes de lags. Enfin une mise à jour dite NBA Live 365 permettra de profiter des statistiques mises à jour, mais l'option sera payante.
VERDICT
Une édition de NBA Live exhaustive et un jeu qui s'améliore d'années en années.