24 boîtes comportant 24 gains allant de 1 centime à 1 000 000 euros. 22 régions Françaises, 1 représentant des DOM-TOM, 1 des pays Francophones. C'est A prendre ou à Laisser présenté par Arthur ... enfin du moins en principe, puisque l'animateur est totalement absent du jeu. Le principe est cependant identique : Après avoir répondu à une question, vous allez devoir commencer à ouvrir les boites et espèrer gagner le gros lot. Cependant, le banquier appellera fréquemment afin de vous proposer un gain pour stopper la partie. Libre à vous d'accepter l'offre ou non, voire d'échanger votre boite contre celle d'un autre concurrent. Le but du jeu sera naturellement d'obtenir le meilleur score possible, et par rapport à la version TV, APOAL comprend deux modes inédits. Dans l'un d'entre eux, vous vous plongez dans la peau du banquier et devez donc arnaquer faire des propositions financières au joueur (incarné par l'IA), et dans le dernier, des gages vous sont attribués. Cela peut être de chanter, de faire 20 pompes, etc etc
Si le principe d'APOAL est sympathique, la réalisation est hélas en dents de scie. Que ce soit d'un point de vue graphique ou sonore, APOAL manque cruellement de soin. Le rendu est terne et on aurait aimé une interface plus clinquante, même si la jouabilité est on ne peut plus simple, le jeu se jouant intégralement au tactile.
VERDICT
A Prendre ou à Laisser se montre assez fidèle au jeu télévisé. Malgré une réalisation assez légère, il devrait plaire aux amateurs du programme.