Après le lancement des cartes graphiques « Arc Battlemage », Intel prépare probablement déjà la prochaine génération. Ces dernières semaines, les rapports se sont accumulés selon lesquels le géant des puces électroniques envisageait un bond en avant technologique avec les GPU portant le nom de code Celestial. Intel se concentre apparemment sur deux innovations importantes : une nouvelle architecture de puce appelée Xe3P et peut-être, pour la première fois, la production dans ses propres installations de fabrication. L'architecture Xe3P pourrait apporter des améliorations significatives en termes de performances et d'efficacité. Similaire aux dernières générations de GPU d'AMD et de Nvidia , cela pourrait permettre des avancées dans la mise à l'échelle de l'IA, le traitement des données et la génération d'images. Cela pourrait aider Intel à réduire davantage l’écart technologique avec ses concurrents.

Comme le rapporte le célèbre leaker Raichu sur Twitter/X, Intel envisage apparemment également de produire les puces Celestial dans ses propres usines plutôt que chez TSMC comme auparavant. Cela donnerait à l’entreprise plus de contrôle sur le développement et la production. Mais cela comporte également un risque de retard, auquel Intel a été confronté à plusieurs reprises dans le passé. Le passage à une production interne serait remarquable. Jusqu'à présent, Intel faisait produire à la fois les GPU Arc Alchemist et Battlemage actuels par le fabricant sous contrat taïwanais TSMC. La production interne de puces a longtemps été considérée comme le talon d’Achille d’Intel. Ces dernières années, l'entreprise a toutefois investi massivement dans de nouvelles installations de production et semble désormais convaincue que les problèmes de rendement et autres difficultés similaires appartiennent désormais au passé.

C'est une nouvelle passionnante pour les joueurs et les passionnés de PC. Intel a déjà été en mesure de commercialiser des produits milieu de gamme solides avec des cartes Battlemage telles que l'Arc B580. Cependant, ils sont encore loin d’égaler les modèles haut de gamme de Nvidia et AMD . Avec Celestial, Intel pourrait désormais faire un pas vers la classe supérieure. Celestial pourrait arriver sur le marché fin 2025 ou début 2026 au plus tôt.

Ce sont des semaines et des mois difficiles pour le géant des puces Intel . Depuis quelque temps, les choses ne vont pas du tout comme prévu dans l’entreprise. Depuis la fin de la pandémie, les choses semblent n'avoir fait qu'empirer, dans tous les domaines. Plus récemment, une analyse complète du Wall Street Journal a brossé un tableau sombre . Intel perd rapidement sa domination dans tous les domaines . C’est également le cas des processeurs destinés aux centres de données. Dans ce segment, le concurrent AMD a pu briser pour la première fois la domination de Xeon avec ses processeurs Epyc et vendre plus d'unités . Cela est dû, entre autres, à la chute massive des chiffres de vente d’Intel dans ce domaine. C'est ce que montrent les données de SemiAnalysis, une société de recherche et d'analyse indépendante spécialisée dans l'industrie des semi-conducteurs et de l'IA, sur X. Le nombre de puces de serveur Intel vendues a plus que diminué de moitié en trois ans et a atteint son niveau le plus bas depuis 14 ans. En raison de la forte augmentation de la demande de centres de données cloud au milieu des années 2010, les ventes d'Intel ont explosé. De plus, l’équipe bleue n’avait pratiquement aucune concurrence sérieuse à cette époque. Ce n'est qu'en 2019 qu'AMD est entré en scène et a pu pour la première fois faire une petite brèche dans les chiffres de vente d'Intel. Avec la pandémie de Corona et l'augmentation de la demande de services cloud qui en a résulté, des records ont à nouveau été établis en 2020 et 2021. Mais ensuite le déclin a commencé.

D'une part, AMD a présenté ses processeurs Epyc de quatrième génération en 2022, qui, avec leurs 96 cœurs, ont laissé derrière eux toutes les variantes Xeon de l'époque. D’autre part, on assiste à une évolution vers des serveurs d’IA qui s’appuient principalement sur les GPU comme accélérateurs et nécessitent moins de CPU. Cependant, dans ce domaine, Intel est loin derrière ses concurrents. Il y a quelques jours à peine, la nouvelle est arrivée selon laquelle la société avait arrêté le développement de son propre GPU IA appelé Falcon Shores . L’idée était en fait de lancer une autre attaque contre AMD et Nvidia. Dans ces circonstances, Intel a un chemin difficile devant lui. Quoi qu'il en soit, l'entreprise continue d'avancer sans le PDG licencié Pat Gelsinger . Au moins avec les nouvelles cartes graphiques Battlemage, ils ont pu obtenir un petit succès récemment . Mais si Intel ne met pas un terme au déclin de son activité de puces, cela ne servira pas à grand chose.

Pour résumer, avec des processeurs bas de gamme ou plus anciens, les GPU Battlemage ont d'énormes baisses de performances dans les jeux gourmands en CPU. Bien plus que les GPU d'AMD ou de Nvidia. Cette baisse est si importante qu'elle fait que le B580 a des performances comparables à celles d'une GTX 1060. Cela signifie que l'achat d'un B580 pour effectuer une mise à niveau rapide et bon marché pour un système plus ancien ou bas de gamme entraînera des problèmes de performances dans plusieurs jeux. De plus, ReBar continue d'être très important pour que les GPU Intel aient de bonnes performances. Assurez-vous donc que cette fonctionnalité est activée sur votre système. Intel a été informé et travaille à découvrir quel est le problème avec ses pilotes.

Il y a une excellente nouvelle pour le roaming européen : à partir de 2025 , le trafic de données disponible lorsque nous voyageons en Europe augmentera . Il s'agit d'une innovation absolument attendue, qui fait partie de la norme qui depuis 2017 révolutionne la façon dont nous nous connectons en Europe. L'itinérance européenne a joué un rôle fondamental dans la connectivité de tous les utilisateurs qui se déplacent en Europe, même pour de courts trajets ou déplacements. Et dans le cadre de son expansion , quelques bonnes nouvelles arriveront à partir du 1er janvier 2025. Pour rappel, le roaming européen fait référence à la législation qui, à partir de 2017, a introduit la possibilité pour tous les utilisateurs européens d'utiliser une partie du trafic de données disponible dans leur pays de résidence même en voyage , sur tous les territoires de l'Union européenne. Depuis son entrée en vigueur, l'Union européenne a fixé des seuils à respecter . Et ces seuils de trafic de données disponibles au sein du roaming européen ont été programmés pour augmenter régulièrement jusqu'en 2027 . Nous arrivons désormais à 2025, année où une nouvelle augmentation des seuils de trafic de données pour le roaming européen est attendue.

En effet, à partir du 1er janvier 2025, tous les utilisateurs disposeront de plus de Gigaoctets disponibles en roaming européen qu'ils n'en avaient jusqu'au 31 décembre 2024, au même prix de l'offre qu'ils ont active. La formule générale de calcul du seuil de trafic de données en roaming européen, nous le rappelons, correspond à : "Seuil de données à l'étranger = (coût mensuel du forfait téléphonique HT / coût de gros par Go) x 2". Dans la formule que nous venons de voir, la variable est, outre la dépense supportée par l'utilisateur qui évolue évidemment en fonction de l'offre active, le coût des Gigaoctets de gros. Il s'agit d'un paramètre imposé par l'Union européenne pour calculer le seuil de trafic de données que les opérateurs doivent accorder en roaming européen. Pour l'ensemble de l'année 2024, ce paramètre valait 1,55 euros . Cela signifie que pour un utilisateur moyen qui paie 10 euros par mois pour son offre, il y avait au moins 10,57 Go disponibles en roaming européen. Soit 10 euros / 1,22 (pour séparer la TVA), divisé par 1,55 et multiplié par 2. À compter du 1er janvier 2025, le paramètre du coût de gros en GB tombe à 1,30 . Donc, toujours pour l'hypothétique utilisateur moyen qui paie 10 euros par mois, il y aura au moins 12,60 Go disponibles. Il s'agit d'une augmentation d'environ 16 % .

L’augmentation du trafic de données à partir de 2025 n’est pas la seule nouvelle positive en termes de roaming européen. En effet, la législation prévoit que, toujours à partir du 1er janvier 2025, le coût de consommation hors seuil passera de 0,00189 à 0,00154 euro par mégaoctet, TVA incluse. C'est le coût que devront supporter les utilisateurs s'ils dépassent le trafic de données en roaming européen mis à disposition par les opérateurs. Cela ne s'arrête pas là : les coûts d'envoi de SMS et d'appels depuis l'étranger (toujours depuis les territoires de l'UE) vers la Belgique sont également en baisse. Le coût des appels passe de 0,022 €/minute à 0,019 €/minute . Tandis que le coût des SMS passe de 0,004€/SMS à 0,003€/SMS .

Comme l'ont noté plusieurs utilisateurs de médias sociaux , les premiers fabricants de cartes mères proposent désormais la mise à jour du microcode connue sous le nom de 0x114 couplée au firmware CSME 1854v2.2 sous la forme de mises à jour du BIOS. Il s’agit cependant encore de versions bêta avant que les éditions finales ne soient disponibles un peu plus tard. Cette combinaison vise à garantir que les performances de jeu des nouveaux processeurs de la série Intel Core Ultra 200S augmentent légèrement et atteignent ainsi enfin le niveau promis par Intel lors du lancement. Les nouveaux processeurs ont commencé avec quelques problèmes, qu'Intel a annoncé qu'il allait les résoudre il y a quelques semaines. Intel a récemment donné quelques détails selon lesquels il souhaitait résoudre immédiatement quatre problèmes majeurs sur cinq. Dans le même temps, le géant des puces a annoncé que la mise à jour du microcode et du firmware, désormais fournie en version bêta par les fabricants de cartes mères, serait livrée en janvier, franchissant ainsi la cinquième et la plus importante étape vers l'élimination des problèmes. Apparemment, les fabricants de cartes mères taïwanais n'ont pas attendu plus longtemps et ont déjà commencé à livrer les mises à jour. Même si le microcode 0x114 était auparavant disponible en version bêta, les fabricants de cartes mères fournissent désormais le kit de firmware avec la version 19.0.0.1854v2.2 ou supérieure, ce qui, selon Intel, est essentiel pour résoudre les problèmes des nouvelles puces. .

Gigabyte, ASRock et ASUS ont tous commencé à déployer les mises à jour actualisées du BIOS avec les nouvelles versions du microcode et du micrologiciel. Cependant, il s'agit toujours de versions bêta, c'est pourquoi seul Gigabyte les distribue via son site officiel, tandis qu'ASRock et ASUS fonctionnent via des canaux non officiels tels que Overclock.net et le propre forum ROG d'ASUS . Puisqu'il s'agit de versions bêta, dont certaines sont distribuées via des sources non officielles, les utilisateurs intéressés doivent faire preuve d'une certaine prudence. Les versions finales devraient paraître dans les prochains jours ou début janvier. Ensuite, Intel souhaite également commencer à introduire de nouvelles puces de la famille « Arrow Lake » lors du CES 2025, car jusqu'à présent, il n'a vendu que des variantes haut de gamme. Les fabricants de cartes mères devraient alors introduire de nouvelles cartes mères moins chères avec le chipset B860, qui peuvent être combinées avec de nouvelles variantes "Arrow Lake" avec une perte de puissance de 65 watts.

Intel a déjà confirmé que les processeurs Panther Lake seraient commercialisés courant 2025. Les observateurs du secteur s'attendent à un lancement au second semestre. Michelle Johnston Holthaus, co-PDG par intérim d'Intel, a seulement déclaré lors d'un événement pour les investisseurs que Panther Lake serait publié en 2025, mais n'a fourni aucun autre détail . Mais ce que l'on sait : les nouvelles puces, qui devraient être commercialisées sous le nom d'"Intel Core Ultra 300", utilisent le procédé de fabrication avancé 18A d'Intel. Dans ce dernier, la couche métallique destinée à l’alimentation est située au dos des transistors. Cela vise à réduire la complexité de la fabrication et à améliorer les performances. Même si le lancement prévu sur le marché est encore loin, les premiers échantillons techniques ont déjà été livrés à des partenaires OEM sélectionnés. Il n’est pas rare que les partenaires disposent de délais de livraison longs. Ces premiers échantillons de test, appelés en interne ES0, marquent une étape importante dans le développement. Selon le nouveau rapport de Golem , huit fabricants ont déjà testé avec succès les puces pour la première fois. Cela indique un état de développement prometteur et laisse espérer un lancement planifié sur le marché. Intel prévoit de produire à nouveau la majorité des puces Panther Lake dans ses propres usines. Selon les déclarations précédentes de l'ancien PDG Pat Gelsinger, plus de 70 pour cent de la production aura lieu en interne. Cela promet des avantages financiers pour l’entreprise

Intel XeSS, ou Xe Super Sampling, est la réponse de la société au DLSS de NVIDIA et au FSR d'AMD. Cependant, comme il utilise le matériel d'IA et les moteurs XMX présents dans tous les produits Arc Graphics, il est souvent considéré comme une meilleure solution que le FSR pour maintenir la qualité de l'image. Parallèlement à l'annonce par Intel de son premier GPU Battlemage de nouvelle génération avec le nouveau Intel Arc B580 aujourd'hui, la société a également levé le voile sur Intel XeSS 2. Et oui, il inclut la génération d'images. Lorsque NVIDIA a lancé DLSS 3 Frame Generation aux côtés de la série GeForce RTX 40, il a fallu une minute ou deux pour comprendre ce qui se passait. XeSS 2 est similaire dans le sens où il combine trois éléments de technologie : XeSS Super Resolution, XeSS-FG Frame Generation et XeLL Low Latency. Super Resolution effectue la mise à l'échelle de l'IA. Frame Generation exploite la « reprojection de flux optique » alimentée par l'IA et d'autres données de jeu pour créer une nouvelle image. XeLL réduit considérablement la latence du système pour améliorer la réactivité.

Oui, c'est une nouveauté, mais comme DLSS et XeSS, il nécessite une intégration dans le jeu, il faudra donc un certain temps avant qu'il ne soit facilement disponible dans de nombreux jeux. À ce propos, Intel a annoncé les premiers jeux XeSS 2 : Assassin's Creed Shadows, Harry Potter Quidditch Champions, RoboCop Rogue City, Like a Dragon: Pirate Yakuza in Hawaii, Dying Light 2, F1 24, Ascendant, Marvel Rivals, Killing Floor III et Citadels. Avec XeSS disponible dans plus de 150 jeux et Arc Graphics et XeSS 2 couvrant à la fois la série B d'Intel Arc et les APU mobiles d'Intel avec puces Arc intégrées, il y a de fortes chances que le support de XeSS 2 s'intensifie dans les mois à venir.

Intel a annoncé ses nouveaux GPU Arc basés sur l’architecture Xe2-HPG, nom de code « Battlemage ». Il s’agit de la même architecture sous-jacente que celle du Core Ultra 200V « Lunar Lake », qui s’est avéré compétitif sur le marché des GPU intégrés. Intel souhaite que ses GPU Battlemage perturbent le marché, mais ne rivaliseront pas sur le segment haut de gamme. Au lieu de cela, ils cibleront le niveau d’entrée ou de milieu de gamme, comparable à la série RTX 4060. L’Arc B580 est une carte graphique basée sur BGM-G21 qui dispose de 20 cœurs Xe2. Ce modèle sera livré avec 12 Go de mémoire GDDR6 sur un bus mémoire de 192 bits. Il sera boosté jusqu’à 2,67 GHz, avec des performances encore plus élevées disponibles dans des conceptions personnalisées de partenaires de la carte. Officiellement, cette carte nécessite 190 W de puissance. Intel lance également un modèle plus compact appelé Arc B570, qui dispose de 18 cœurs Xe2 et de 10 Go de mémoire GDDR6 sur un bus mémoire de 160 bits. Cette configuration se traduit par une bande passante mémoire inférieure à celle de la B580. Elle nécessitera encore moins d'énergie, soit 150 W. Les deux cartes sont équipées d'une interface PCIe 4.0 x8 et de connecteurs DisplayPort 2.1 (UHBR13.5). Intel a annoncé que la B580 sera vendue au prix de 249 $ et sera disponible à partir du 13 décembre, tandis que la B570 sera vendue au prix de 219 $ et sera lancée le 16 janvier 2025.

Le patron d'Intel, Pat Gelsinger, a déjà annoncé que l'entreprise souhaitait transformer son département de fabrication de produits semi-conducteurs en une société indépendante. La nouvelle société, baptisée Intel Foundry, sera alors également ouverte aux investisseurs externes. Cependant, une vente complète n’est évidemment pas prévue, même si les spéculations se multiplient. Le contexte est constitué par les subventions désormais promises par le gouvernement américain dans le cadre de la loi dite CHIPS, en vertu de laquelle des fonds gouvernementaux s'élevant à 7,85 milliards de dollars américains doivent être versés. Afin de recevoir ces fonds, Intel doit remplir un certain nombre de conditions qui rendent impossible la vente de la production de puces. Selon un rapport d'Intel à la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis, cité par l' agence de presse Reuters , Intel doit généralement rester l'actionnaire majoritaire d'Intel Foundry et donc toujours conserver au moins 50,1 % de la division. Même si Intel Foundry est scindée en une société distincte dont Intel n'est plus le principal actionnaire, un maximum de 35 % des actions peuvent être vendues à un seul investisseur.

Si Intel souhaite réduire davantage ses parts dans la division de fabrication de puces alors indépendante, il faudrait d'abord que le ministère américain du Commerce donne son accord, bien que cela soit considéré comme extrêmement improbable. Intel doit donc adhérer aux directives du gouvernement afin de continuer à investir avec l'argent de l'État dans ses différents projets visant à étendre ses capacités de fabrication de puces. Au total, Intel investit actuellement environ 90 milliards de dollars dans la construction de sa propre capacité de fabrication de processeurs et d'autres puces sur plusieurs sites américains dans les États de l'Arizona, du Nouveau-Mexique, de l'Ohio et de l'Oregon. Avec ses lignes directrices, le gouvernement américain veut garantir qu'Intel investit principalement aux États-Unis et continue à y fabriquer des puces de pointe.

Le fabricant taïwanais de cartes mères ASRock a annoncé aujourd'hui dans un communiqué publié sur son site Web que de nouveaux pilotes pour la série Z890 maison sont disponibles en téléchargement, destinés à améliorer les performances des processeurs Intel Core Ultra 200S . Selon les informations, cela sera probablement réalisé, entre autres, en mettant à jour la plate-forme Power Management (PPM) d'Intel vers la version 1007.20240913. La nouvelle version ajuste dynamiquement la fréquence et la tension du processeur en fonction de la charge du système et offre une gestion de l'énergie plus efficace. Cela offre aux utilisateurs des performances système et de jeu améliorées. ASRock parle d'une augmentation des performances des processeurs Arrow Lake allant jusqu'à 13,23 pour cent. Final Fantasy XIV Dawntrail a été testé en 1080p avec un Core Ultra 9 285K et une AMD Radeon RX 7900 . Cependant, le résultat peut varier en fonction de la configuration matérielle.

Avec le lancement des puces Core Ultra 200V pour ordinateurs portables, les processeurs Intel portant un nouveau nom ont en fait célébré des débuts prometteurs. C'est pourquoi ils voulaient franchir une nouvelle étape pour sortir de la crise avec Arrow Lake dans le secteur des ordinateurs de bureau. Mais quelques jours seulement avant leur publication, les premiers rapports faisant état d'une performance plutôt décevante ont été divulgués . Dans certains cas, il y avait même des indications d' instabilités renouvelées dans les nouvelles puces, qui avaient déjà affecté la génération précédente de processeurs Raptor Lake . Début novembre, Intel a annoncé par l'intermédiaire de son directeur principal du marketing technique, Robert Hallock, qu'il avait été surpris par les performances inférieures des processeurs Core Ultra . Lors des tests internes, les processeurs ont atteint des valeurs différentes de celles rapportées par les évaluateurs et les testeurs. Les raisons en sont probablement extrêmement diverses, estime Hallock. Cependant, ils travaillent déjà sur des mises à jour de micrologiciels et de logiciels qui contribueraient à une augmentation « significative » des performances. Cependant, l’homme d’Intel n’a donné aucun chiffre précis.